Deuil – l’intérieur de la gare – l’arrivée du train à vapeur

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10 – Deuil-l’interieur-de-la-Gare
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )
Dos séparé – circulé à découvert
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Les Deuillois et les Deuilloises attentent patiemment l’arrivée du train sur le quai de la gare, pendant que le photographe de la maison le Delley appuie sur son déclencheur.

La gare de Deuil-Montmagny sera ouverte en 1877 par la compagnie des chemins de fer du Nord, ligne de Paris à Luzarches.

La ville de Deuil dans les années 1900 est une ville petite ville de 3040 habitants située en Seine et Oise à 21 kilomètres de Pontoise et 12 kilomètres de Paris, son Maire à cette époque est Monsieur Dollé. Les commerces en 1900 à Deuil ne manquent pas, mais aujourd’hui citons quelques noms de petits métiers de cette époque.
La fabrique de Vannerie est l’affaire de Mr Bardoux, les tonneliers sont Mr Clément et Mr Legros; Les Marbriers sont Mr Samson et Mr Thévenin; Les Maréchaux-ferrants sont au nombre de 3, Mr Blaise, Mr Deprez et Mr Pinel; Le Charron est Mr Lefévre et terminons sur le souffleur de verre Mr Cugnier.
À noter les 2 châteaux de la commune, La Chevrette de Mr Bailly et La Tourelle de Mr Ferté.

 

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Villiers-le-Bel – La Mairie et les écoles avant 1914

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11 – Villiers-le-Bel
La Mairie et les écoles
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )
Dos séparé – circulé à découvert en 1914
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Villiers-le Bel en 1911 est encore qu’une petite ville bien paisible de 1718 habitants administrée par le Maire Monsieur Boursier.

Située à 28 kilomètres de Pontoise et 15 kilomètres de Paris le tramway à vapeur est en service reliant la station de Villiers-le-Bel à la localité.

Les enfants sur cette photo profitent de la présence du photographe pour monter sur les grilles, chose interdite à l’époque devant les professeurs… bien des années plus tard d’autres enfants arracheront des grilles devant d’autres photographes…. mais ça c’est une autre histoire d’une époque qui  m’intéresse malheureusement de moins en moins..!  

 

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Bourget Aviation le Monoplan-Benard – L’oiseau Tango de Tarascon et Laulhé – Paris New-York

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Bourget Aviation le Monoplan-Benard 
L’oiseau Tango de Tarasconet Laulhé – Paris New-York
éditeur Rigal – GBouchetal Phot-edit, 72 Bd de l’Hôpital Paris 
Dos séparé – non circulé

LES PRÉPARATIFS  DE L’ OISEAU TANGO » TOUCHENT A LEUR FIN
Les préparatifs de l’Oiseau Tango, le monoplan Bernard, construit sur les plans de l’ingénieur Hubert, en vue de la traversée de l’Atlantique projetée par Tarascon et Laulhé, touchent à leur fin.

L’expresse du Midi : L’avion « Tango » fera aujourd’hui les essais de consommation, Le Bourget, 2 septembre 1927
Des essais du canot pneumatique de « l’Oiseau Tango » ont été effectués hier matin à Suresnes. Ce canot construit pour 3 personnes peut tenir la mer fort longtemps. Il porte l’inscription « Les Mouettes « , un poste de T. S. F. est installé à bord, réglé sur la longueur d’ondes de 600 mètres. Le radio-télégraphiste Ducaud a été définitivement choisi comme devant être le troisième membre de l’équipage Tarascon et Laulhe.
L’avion tango a été pesé hier soir à vide sur la bascule du port aérien du Bourget, comportant toutefois- ses accessoires. Son poids est de 2.115 kilos. Aujourd’hui auront lieu des essais de consommation sur la distance Paris-Abbeville et Paris-Marseille, avec escale au Bourget pour le ravitaillement.
Tout doit être prêt au début de la semaine prochaine.

Deux mois après ces essais, le 06 novembre 1927 l’ingénieur Jean Hubert qui avait construit l’Oiseau Tango, à bord duquel Tarascon et Laulhé projetaient de tenter le raid Paris-New-York … se tue en auto.  

 

 

 

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Pantin – La librairie Borni – 28 rue de Paris dans les années 1900

93-Pantin-La librairie Borni-28 rue de paris- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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17  Bis – Pantin – La librairie Borni – 28 rue de Paris dans les années 1900
G. Francq – éditeur Pantin 
Dos séparé – circulé à découvert en 1909

Nous voici à Pantin à la hauteur du 28 de la rue de Paris dans les années 1900.
L’expéditeur de cette carte postale a bien mentionné les numéros du 28 au 32 sur le recto de cette carte afin de bien faire voir l’endroit où il habitait…en l’occurrence au 32 .!
Au N° 28 comme l’indique la légende de cette carte se trouvait la librairie Borni, au même numéro la Maison Prat vendait et livrait son « Bois et Charbons' », un peu plus loin au N°34 on pouvait trouver le Bourrelier Mr Duval et au N°36 l’herboriste Mr Salles.
Quelques mots quand même de Pantin en 1910, Arrondissement de Saint-Denis … Chef-lieu du Canton, Pantin compte 32470 habitants administrés par le maire de cette époque Monsieur Flory.
Son juge de paix est Mr Becilu, le Commissaire de Police est Mr Monsarrat, le percepteur et Mr Barbier et le receveur Municipal Mr Sauvage.
À noter que Les Postes et Télégrammes se trouvaient au 104 rue de Paris et au 40 route d’Aubervilliers, la manufacture nationale des tabacs au 6 rue Courtois et la manufacture d’allumettes de l’État se situaient au 44 route de Flandre.
j’oubliais de vous dire qu’il existe une carte portant le numéro 17, cette carte est quasiment la même que la 17 bis à la seule différence qu’un tombereau passe juste devant l’objectif et se retrouve à la hauteur de la charrette et du cheval Blanc quand le photographe a déclenché son appareil photo.

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École de Chien de Police de Garde et de Défense – Dressage à Forfait-Pension-Vente

92-école de chien de Police de garde et de défense - cliquez sur l'image pour l'agrandir

92-école de chien de Police de garde et de défense – cliquez sur l’image pour l’agrandir

 

École de Chien de Police de Garde et de Défense
éditeur – P. Huc
Dos séparé – non circulé
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Dressage à Forfait – Pension – Vente
Démonstration tous les jours de 2 à 4 heures – 68 Rue de Paris  –  BAGNEUX           ( Seine) Pour plus de Renseignements écrire T.P.R.

Médaille de Bronze – Médaille d’argent – Médaille de vermeil – Médaille d’Or . CARRAS le 10 septembre 1913 arrête et maintient 5 malfaiteurs à Bagneux.

Voici ci-dessous ce fait divers raconté sur le journal du « Petit Parisien du 10 septembre 1913 »

Deux malfaiteurs s’étaient hissés, hier matin, sur le mur de clôture dune propriété appartenant à M. Schmild, dans le quartier des Olivettes, à Bagneux.

La femme du propriétaire, se trouvant seule à la maison, avait vainement essayé de les mettre en fuite. Elle s’adressa alors à l’inspecteur Bourguet, qui s’empressa de venir lui prêter main-forte ; mais, à l’approche de ce dernier, les malfaiteurs qui, par l’arrivée de trois acolytes, se trouvaient au nombre de cinq, s’enfuirent dans la campagne, 
l’affaire en serait restée là sans l’arrivée de
 M. Schmild et. de son chien  Carras.

Il faut savoir que ce fidèle animal est un chien dressé, admirablement dressé
même, et d’une intelligence peu ordinaire, ce qui lui a valu plusieurs récompenses dans les divers concours, notamment dimanche dernier, à Montrouge, où il a obtenu une médaille de vermeil.

Aussitôt mis au courant des faits, M. Schmiid, accompagné de l’inspecteur Bourguet et de Carras, s’élança à la poursuite des fuyards, dont on put bientôt, grâce à quelques indications, retrouver la trace. Selon toute apparence, la bande était cachée dans les buissons et les herbages.
Sur l’ordre de son maître Carras se mit en quête.
Dix minutes ne s’étaient pas écoulées que l’animal revenait, l’air affairé, il avait trouvé. Loin derrière lui, on prit la poursuite et, quelques instants plus tard, on le retrouvait en arrêt devant les cinq malfaiteurs, toute la bande, tenus immobiles sous sa menace.
— Les mains en l’air ! cria M. Schmild.
Aussitôt, comme à la manœuvre, les pâles gredins s’exécutèrent. Mais l’un d’eux esquissa un geste. Il n’eut pas le temps de l’achever, car la bête lui avait déjà sauté à la gorge.
M. Schrnild rappela son chien et l’inspecteur Bourguet donna le signal du départ. Sous l’œil attentif de Carras, les cinq malfaiteurs s’alignèrent puis se mirent en marche.
Tout le long du chemin, la bête, à petits pas. les enferma dans le cercle étroit de ses voltes jusqu’au poste.

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