Carte Postale Ancienne – Montlhéry – Station des Tramways

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Montlhéry – Station des Tramways
éditeur BF paris 
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Montlhéry est située à vingt-cinq kilomètres au sud-ouest de Paris dans le département de l’Essonne en région Île-de-France. En 1900 le service des tramways à vapeur dessert la ligne de Paris à Arpajon. À cette époque le nombre d’habitants est de 2320 administrés par le maire Mr Saintin. La fanfare municipale est dirigée par Mr Joly et le commandant des pompiers est Mr Lelarge. Sur cette carte postale on peut lire sur une des façades des maisons, Mr Chavy (S) Maréchal-Ferrant, mais en 1900 Montlhéry comptait deux autres Maréchaux, Mr Contant et Mr Papillon.

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Paris – Dépôt des tramways – Avenue de Versailles

Paris - Depot des tramways-Avenue de Versailles

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Paris – Dépôt des tramways-Avenue de Versailles
éditeur ELD – Ernest Louis le Deley
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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 On ne pouvait monter en tramway avec des paquets de nature à incommoder les autres voyageurs. Les receveurs étaient tenus d’aider les voyageurs et surtout les femmes et les enfants à monter et à descendre. Le receveur et le cocher n’avaient pas le droit de fumer pendant le service. Le Cocher pouvait le faire quand l’impériale était inoccupée. Les voyageurs étaient tenus de faire l’appoint de la monnaie, c’est-à-dire de payer exactement leurs 15 ou 30 centimes. On ne pouvait obliger le receveur à faire la monnaie d’une pièce. Il était interdit de cracher à l’intérieur d’un tramway. De même, on ne pouvait pas se tenir debout sur l’impériale. Voila c’étaient des conseils que l’on pouvait lire dans les années 1900.  

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Clery – Le-Tramway Electrique de Clery à Amboise

Clery-le-Tramway-electrique

Clery – Le-Tramway Electrique de Clery à Amboise

571  –  Clery – Le-Tramway Electrique de Clery à Amboise 
Unis France – dos séparé – non circulé 
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Nous voici à Clery-sur-Loire dans les années 1910 avec cette carte postale très appréciée des collectionneurs de ce thème, le nom de Saint André n’est encore qu’une commune de Cléry et une halte du tramway du Loiret de la ligne d’Orléans à Neug-sur-Breuvron. En 1910 Clery-sur-Loire est une ville de 2388 habitants, située dans le département du Loiret en région Centre. Le maire à cette époque est Mr Tristan Pierre, son juge de paix est Mr Guillot. Cette carte postale nous montre une partie du personnel de ce tramway et de cette gare de la Compagnie des tramways du Loiret. Cette compagnie avait été fondée en 1905 par les frères Fougerolle. Le tramway est très vite apprécié de tous, mais surtout il permet aux gens des campagnes de se rendent plus facilement en ville et aux petits cultivateurs d’acheminer leur petite production sur les marchés des plus grandes villes. Bien sûr je n’ai pas connu ces tramways, mais je me rappelle quand même de ces petites Michelines que l’on prenait pour arriver au plus près de nos petites villes de campagne, en l’occurrence dans les années 1970 j’allais de Paris à Clamecy et ensuite je prenais la Micheline qui m’emmenait à la gare de Dirol installé le long du canal du Nivernais. Aujourd’hui vous arrivez à Clamecy et débrouillez-vous pour aller à Dirol ! C’est le modernisme, remarquez il aura fallu près de 100 ans pour revoir le tramway à Paris, alors à quand la réouverture de nos petites gares de campagne ? 

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Cherbourg – La rue de la Fontaine et la Poste dans les années 1900

Cherbourg.jpg-la rue de la Fontaine et la poste  - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cherbourg – La rue de la Fontaine et la Poste – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

18  – Cherbourg – la rue de la Fontaine et la poste  
Collection AD 
Dos séparé – circulé à découvert en 1906
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En face de l’hôtel des postes, sur le trottoir de droite un magasin de la compagnie Singer, un peu plus loin le petit bazar et son écriteau pour vanter les montres oméga.

C’est en novembre 1896 que la Compagnie des tramways de Cherbourg ouvrira la première ligne de tramways au public, on peut voir encore la vapeur des motrices sur cette carte éditée avant 1910 date à laquelle il sera procédé à l’électrification de la ligne du tramway du centre-ville. 

La guerre de 1940 aura raison des derniers tramway de Cherbourg avec les bombardements et surtout celui du 29 mai 1944 détruisant le dépôt de matériel de la compagnie.    

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Suite et fin du terrible accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904

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L’accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

579 – L’Accident de fer de Chouzy (L-etC) – le 21 Octobre 1904 
éditeur Marcel MARRON, Orléans
Dos séparé – circulé à découvert en 1904
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Hier l’envoyé spécial était prêt à partir à Chotisy pour parler avec le maçon  Villanet, sur lequel disait-on tout d’abord pesait de si lourdes charges..! 

M. Louvet, jugé d’instruction, mis au courant de certains racontars, avait tenu à entendre sur place et sans retard un témoin précieux. La gendarmerie fut donc chargée d’alter jusqu’au bourg de Chouzy où habitait le maçon pour lui transmettre la convocation du magistrat. Mais villanet, qui travaille en ce moment aux Grouëts, était depuis longtemps déjà parti et les gendarmes allèrent le réclamer sur son chantier. Ces allées et venues de la maréchaussée, ce témoignage réclamé, tout cela prit des proportions énormes dons l’esprit des habitants. On fit donc bientôt de Villanet un inculpé…Le parquet  et c’était son devoir strict ne pouvait négliger un détail quelconque : les magistrats ne se contentèrent pas seulement de l’interrogatoire du maçon et allèrent jusqu’à la perquisition.
Les résultats en furent négatifs et Villanet, qui n’avait cessé de protester de son innocence, rentrait chez lui. Le logis était vide, ce matin, quand je m’y  suis  présenté, mais j’ai longuement causé avec quelques voisins qui paraissent tenir le maçon en grande estime et le jugent incapable d’un acte criminel. Villanet est un homme de cinquante ans ; sa femme travaille dans une biscuiterie de Blois ; un de ses fils est soldat, un autre garçon fréquente l’école de Chouzy, où la famille réside depuis une douzaine d’années.
On a parlé de difficultés entre Villanet et une garde-barrière de la voie ferrée ; il n’y a, dans les faits énoncés, rien qui puisse permettre d’accepter l’hypothèse d’une vengeance du maçon.
Car l’hypothèse d’un attentat s’accrédite de plus en plus tant à la direction de la Compagnie d’Orléans qu’au parquet de Blois.
Si le substitut du procureur de la République, M. Pierre Berger, est un homme aimable, c’est aussi un fonctionnaire discret. Un peu malgré lui, j’ai réussi à me procurer des renseignements précis  sur les constatations auxquelles le parquet a procédé sur les lieux de l’accident de concert avec les ingénieurs de la Compagnie.
On dit, vous le savez, que quarante-deux tire-fonds ont été enlevés sur la longueur d’un rail et qu’une éclisse aurait été également déboulonnée du côté extérieur de la voie  suivie par le rapide 31.

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