Villa Draveil – Avenue des Marronniers dans les années 1900

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Villa Draveil – Avenue des Marronniers

Éditeur. Ledouble  –  Simi-Bromure A.Breger,9 rue Thénard, Paris (Déposé)

Dos séparé – circulé à découvert en 1912
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Nous voici avenue des Marronniers (aujourd’hui Émile Fruchard) à l’angle de la rue Jean-Jacques Rousseau.

Draveil dans les années 1910 est une ville de Seine-et-Oise située à 11 kilomètres de Corbeil, le nombre des habitants est de 2924 administrés par le maire Monsieur Aubeau.

Citons quelques noms des hôtels de l’époque qui peuvent rappeler des souvenirs à certains ; L’hôtel de Gibraltar; L’hôtel La Preuvote; L’hôtel Jouanneau qui était situé Villa Draveil; L’hôtel Mathubert situé aussi à Villa Draveil et l’hôtel Ponelle.

Aujourd’hui dans la rue Jean Jacques Rousseau habite un grand cinéaste et musicien…je ne peux que vous donner son prénom … Éric …!

Comme d’habitude un petit tour avec Google-Maps et un petit montage photo pour voir comment est cette avenue des marronniers 100 ans après.

Draveil – l’avenue des Marronniers 100 ans après – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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92 Rueil – Avenue du Chemin de Fer et l’Avenue de Paris

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57.  –  Rueil – Avenue du Chemin de Fer et l’Avenue de Paris

éditeur l’Abeille Paris

Dos séparé – circulé à découvert en 1916

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A l’époque où cette boulangerie et le restaurant chez Billebault existaient, Rueil était déjà une grande ville de 12437 habitants.

 Situé à 13 kilomètres de Versailles et de 14 kilomètres de Paris, son maire était  Monsieur Guenne auguste.

Rueil à cette époque fait partie du département de l’Oise et ce n’est qu’en 1964 avec l’éclatement du département de Seine-et-Oise que Rueil-Malmaison devient l’une des 36 communes du département des Hauts-de-Seine.

En cherchant avec google-maps l’endroit 100 ans après… on tombe souvent sur des bonnes ou mauvaises surprises, la boulangerie située à l’angle de l’avenue du chemin de fer et de l’avenue de Paris dans les années 1900 existe toujours.

Bien sûr les rues ont changé de nom, l’avenue de Paris est devenue l’avenue Paul Doumer et l’avenue du chemin de fer s’appelle l’avenue Albert 1er, mais on a l’impression que le temps s’est arrêté en 1910 à l’angle des deux rues.

La preuve en image avec cette boulangerie 100 ans après, cela ne mérite même pas un un petit montage photo car cette boulangerie de 1910 était vraiment moderne pour l’époque…!

La boulangerie à RUEIL à l’angle de l’avenue Albert 1er et Paul Doumer

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Carte postale de 1900 – Colombes -Villa de la Reine Henriette

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8.  Colombes – Villa de la Reine Henriette

éditeur H.D.

Dos séparé -circulé à découvert en 1906

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Il existe une bonne quinzaine de clichés de cette entrée de la villa Henriette à Colombes, mais à mon avis cette carte postale est certainement une des plus belles.

Quelques mots sur la ville de Colombes en 1910, les 28864 habitants sont administrés par le maire Monsieur GEOFROIX
Le Secrétaire de la Mairie est Mr CHARIER, le Percepteur et receveur municipal est Mr VITTOZ et l’Architecte-*Voyer* Mr GALLOT.

J’ai par habitude de rechercher sur google maps ce qu’est devenu l’endroit du lieu de la carte postale 100 ans après ..Bien sûr le château où mourut Henriette Marie de France n’existe plus puisque le château fut démoli en 1846 quasiment deux siècles après la mort de celle qui fut une reine consort d’Angleterre, fille du roi de France Henri IV et de la reine Marie de Médicis, mais j’espérais au moins retrouver une partie de ce grand portail.

 Enfin après de nombreuses hésitations je pense avoir retrouvé cet endroit où ces enfants posaient pour le photographe, le portail n’existe plus mais la maison de gauche semble identique à la bâtisse de la carte postale.

Cet endroit se trouve au croisement de la rue de la Reine Henriette et de la rue Léon Renault ..à droite la maison des jeunes et de la culture de colombes.

Un petit montage photo pour le plaisir

A votre avis  ?

Colombes-Villa de la Reine Henriette 100 ans après – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails


Spécial post pour Valérie qui se reconnaîtra…

 

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Carte Postale Ancienne d’Asnières rue de Colombes

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173  –  Asnières rue de Colombes

éditeur B.F., Paris  ( Berthaud Frères)

dos séparé – non circulé

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Tout semble calme rue de Colombes à Asnières dans les années 1910, les enfants se promènent au beau milieu de la route et les passants se saluent en se croissant.

Le photographe de la maison Berthaud a installé son trépied Avenue d’Argenteuil.

Tout de suite à gauche de la carte au numéro 17 de la rue Colombes la Charcuterie MOREAU, un peu plus loin au N° 19 la boucherie BOHGOLTZ et ses quartiers de viandes accrochés en vitrine.

À droite et à l’angle du N°18 rue de Colombes et du N° 55 avenue d’Argenteuil la pharmacie RABY.

En 1910 Colombes est un Arrondissement de Saint-Denis, Chef-Lieu du Canton et compte 3 5 4 9 5 habitants .

Son Maire est Monsieur FONTAINE, le Secrétaire de la Mairie est Monsieur PERRET, son Juge de Paix Monsieur LABARRIERE.

Pour les infractions s’adresser au Commissaire de Police Monsieur PLANSON et pour payer les impôts allez voir le Percepteur  Monsieur MOREL.

Le Receveur Municipal était Monsieur FOUQUOIRE et l’Architecte *VOYER*  Monsieur HUBERSQN.

Les architectes *VOYERS*exercent des fonctions techniques ou administratives dans les domaines de l’architecture,

 de l’environnement, de l’urbanisme, de la construction, de l’aménagement foncier et urbain

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Juvisy-sur-Orge-Les Belles Fontaines route de Fontainebleau

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Juvisy – Les Belles-Fontaines, route de Fontainebleau

éditeur M.A – Paris

Dos séparé-circulé à découvert en 1904

Continuons notre balade dans l’Essonne et plus précisément route de Fontainebleau à Juvisy-sur-Orge.

Au XVIIIe siècle, Louis XV décide de détourner la route Royale, qui relie Paris à Lyon en traversant le bourg de Juvisy.

La côte est si raide que les calèches y patinent et pour réaliser cette déviation, il faut remblayer le coteau et construire un pont pour franchir l’Orge.

 L’ouvrage, bâti entre 1725 et 1728, est hors du commun, en plus de l’arche supérieure, sept petites arches assurent la solidité de l’ensemble sur un secteur très pentu.

Sur le pont, deux magnifiques fontaines donnent son nom à l’ouvrage, en haut de ces fontaines un globe aux armes de France, soutenu par un groupe d’enfants, avec trophées à la gloire du roi.

Ce monument sera restauré en 1813 sous le règne de Napoléon le grand, elles seront déplacées en 1970 pour permettre l’élargissement de la nationale 7, pour se retrouver installées dans le parc Ducastel de la Mairie de Juvisy.

Depuis, des milliers d’automobilistes passent chaque jour sur ce pont, sans soupçonner une seconde que ce trésor architectural est classé monument historique depuis près d’un siècle.

Voici une vue Google-Maps une bonne centaine d’années après l’édition de cette carte postale.

je n’ai pas pu m’empêcher de faire un petit montage photo pour voir si ces statues auraient encore fière allure à leur place initiale.

Juvisy-sur-orge-les-belles-fontaines-100-ans-apres – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Source : Le Parisien du 21.01.2012
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