Breuillet – Les usines Muller – édition Tabac Monel

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Breuillet
Les usines Muller
Imprimerie H.basuyau & cie Toulouse – édition Tabac Monel
Dos séparé – circulé à découvert en 1935
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Créer en 1921  la  briqueterie Muller à Breuillet 

Des le début de la Première Guerre mondiale, l’argile de Breuillet alimentait l’usine Émile Müller d’Ivry-sur-Seine, spécialisée en céramique d’art, produits réfractaires et émaillés. Une extension de cette usine est installée en 1921 à Breuillet, à flanc de coteau, au plus près de l’extraction de la matière première, de la route et du chemin de fer. Elle utilise de l’argile blanche mélangée à de la chamotte (argile cuite et broyée) pour fabriquer des briques réfractaires pour la grande industrie (Saint-Gobain, Sacilor. L’usine, se développant, a connu de nombreuses modifications et reconstructions pour devenir, sous le nom de Société nouvelle des établissements Müller, un des sites les plus importants de fabrication de produits réfractaires de France. Elle employait jusqu’à 450 salariés aumilieu du XXe siècle.

L’usine arrêtant complètement ses activités en 2002, le processus de fabrication est rendu peu lisible par le déménagement des machines en 2003. Seuls demeuraient en place, en 2006, un four tunnel à sole mobile et son séchoir (ensemble rare en Île-de-France), l’imposant «Soet Ferrum» destiné au séchage de l’argile crue, la centrale électrique d’appoint et son crue, la centrale électrique d’appoint et son moteur Duvant (alimenté au fioul), ainsi que quelques équipements annexes. La partie sud du site a été détruite et, le projet de transformation en équipement culturel n’ayant pas abouti, le sort des bâtiments subsistants reste incertain.

Texte du Dossier de la Maison de Banlieue  et de l’Architecture n ° 4 Communauté de communes Les Portes de l’ Essonne

 

 

 

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91-Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte

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 7 – Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte
édition EM  
Dos séparé – non circulé
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L’inondation de 1910 n’a pas épargné non plus la banlieue sud de Paris et la situation à été dramatique aussi pour les essonniens.
Mais passons les durs moments du mois de janvier et voyons le commencement de la décrue au début du mois de février.
Dans la vallée de l’orge, depuis Dourdan jusqu’à Juvisy, la situation est bien meilleure, sauf à Perray-Vaucluse, où la route et plusieurs chemins sont encore envahis et impraticables. L’orge et l’Yvette sont à peu près rentrés dans leurs lits.
À Ris-Orangis, Athis-Mons, Ablon, Viry-Châtillon, Draveil et Juvisy, la baisse de la Seine dans les dernières vingt-quatre heures n’a été que de dix centimètres ; le beau persistant, on s’attendait à mieux. La baisse précédente dans le même laps de temps avait été de quinze centimètres. Les chemins de halage, tout en n’étant pas tout à fait dégagés, sont praticables.
Dans la plaine, les lacs laissés par la crue diminuent sensiblement. Port-Aviation est en très grande partie dégagé.

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Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe

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 Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe Thibault, éditeur, Mandres.
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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Au restaurant du Lapin qui se rebiffe… rien que la légende de cette carte postale nous fait rêver.
En 1900 la ville de Varennes-Jarcy est une petite ville de Seine-et-Oise (aujourd’hui en Essonne) de 248 habitants située à 11 kilomètres de Corbeil et à 4 Km de Mandres.
Le maire de cette époque est Monsieur Bosquillon, Monsieur Dauvergne (L) est l’agriculteur, Monsieur Vinatier est Maçon, Monsieur Chalin (L) est polisseur d’acier et Monsieur Lamber est restaurateur à Jarcy.

Voici une vue google-maps de cet endroit plus de 100 ans après l’édition de cette carte postale, la rue du restaurant du Lapin qui se rebiffe est devenue la rue de la Libération et le restaurant une belle maison d’habitation.

Varennes-Jarcy- 100 ans après l'edition de cette carte postale

Varennes-Jarcy- 100 ans après l’édition de cette carte postale

 

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Deuil – l’intérieur de la gare – l’arrivée du train à vapeur

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10 – Deuil-l’interieur-de-la-Gare
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )
Dos séparé – circulé à découvert
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Les Deuillois et les Deuilloises attentent patiemment l’arrivée du train sur le quai de la gare, pendant que le photographe de la maison le Delley appuie sur son déclencheur.

La gare de Deuil-Montmagny sera ouverte en 1877 par la compagnie des chemins de fer du Nord, ligne de Paris à Luzarches.

La ville de Deuil dans les années 1900 est une ville petite ville de 3040 habitants située en Seine et Oise à 21 kilomètres de Pontoise et 12 kilomètres de Paris, son Maire à cette époque est Monsieur Dollé. Les commerces en 1900 à Deuil ne manquent pas, mais aujourd’hui citons quelques noms de petits métiers de cette époque.
La fabrique de Vannerie est l’affaire de Mr Bardoux, les tonneliers sont Mr Clément et Mr Legros; Les Marbriers sont Mr Samson et Mr Thévenin; Les Maréchaux-ferrants sont au nombre de 3, Mr Blaise, Mr Deprez et Mr Pinel; Le Charron est Mr Lefévre et terminons sur le souffleur de verre Mr Cugnier.
À noter les 2 châteaux de la commune, La Chevrette de Mr Bailly et La Tourelle de Mr Ferté.

 

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Villiers-le-Bel – La Mairie et les écoles avant 1914

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11 – Villiers-le-Bel
La Mairie et les écoles
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )
Dos séparé – circulé à découvert en 1914
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Villiers-le Bel en 1911 est encore qu’une petite ville bien paisible de 1718 habitants administrée par le Maire Monsieur Boursier.

Située à 28 kilomètres de Pontoise et 15 kilomètres de Paris le tramway à vapeur est en service reliant la station de Villiers-le-Bel à la localité.

Les enfants sur cette photo profitent de la présence du photographe pour monter sur les grilles, chose interdite à l’époque devant les professeurs… bien des années plus tard d’autres enfants arracheront des grilles devant d’autres photographes…. mais ça c’est une autre histoire d’une époque qui  m’intéresse malheureusement de moins en moins..!  

 

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