Ivry-sur-Seine – Manufacture Française d’oeillets métalliques – Sortie des Ateliers

Ivry-sur-Seine - Manufacture Française d'oeillets métalliques - Sortie des Ateliers

Ivry-sur-Seine – Manufacture Française d’oeillets métalliques – Sortie des Ateliers

Ivry-sur-Seine – Manufacture Française d’oeillets métalliques – Sortie des Ateliers
 éditeur Gautrot à Ivry
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Si vous vous promenez rue Raspail à Ivry sur Seine, arrêtez vous place Émile Guénet pour voir que les bâtiments de cette usine sont toujours en place. À la différence des écoles du centre qui ont été anéanties, la halle, le bâtiment américain et le pavillon du gardien ont été inscrits, en 1996, au titre des Monuments Historiques…OUF. Aujourd’hui, l’ancienne manufacture Française d’Oeillets métalliques abrite le Centre d’art contemporain d’Ivry et l’École professionnelle Supérieure d’Arts graphiques et d’Architectes.

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Carte Postale Ancienne – Ivry sur Seine – Les écoles du centre Place de la République

Carte Postale Ancienne - Ivry sur Seine - Les écoles du centre Place de la République

Carte Postale Ancienne – Ivry sur Seine – Les écoles du centre Place de la République

Carte Postale Ancienne – Ivry sur Seine – Les écoles du centre Place de la République
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Sur le devant de leurs écoles les enfants de la maternelle et de l’école primaire filles et garçons sont heureux de poser pour le photographe et sans le savoir pour la postérité. Quand on imagine que certains de ces enfants ont du voir les bulldozers détruire tous ces bâtiments en 1984, je ne veux pas imaginer une seconde leur détresse. je ne connais pas vraiment la raison pour laquelle ce groupe scolaire a été complètement détruit..? Les bâtiments avaient 104 ans en 1984 et même si l’intérieur était vétuste, je ne pense pas que les fondations et les murs des façades étaient en ruine.? Je suis peut être dans l’erreur, alors si vous connaissez exactement toutes les raisons de ce gâchis architectural, merci de me laisser un commentaire..! 

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Givry-en-Argonne – l’Usine Etienne en 1900

Givry-en-Argonne-Usine Etienne

Givry-en-Argonne – Usine Etienne – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Givry-en-Argonne – Usine Etienne 
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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Retournons à la dure réalité de la vie et partons travailler dans l’usine Étienne à Givry-en-Argonne. Située dans le département de la Marne en région Champagne-Ardenne, cette commune en 1900 compte 582 habitants sur une surface d’environ 7 km2 de superficie. À cette époque le maire est Mr Baron . L’usine Étienne est en fait une société de mécanique et de construction de machines à Battre. Sur de nombreux documents on peut voir un ensemble de 3 bâtiments qui devait former une partie de cette usine « Etienne » et qui maintenant abrite le siège Communauté de Communes de la Région de Givry-en-Argonne, aux 11 bis rue d’Argonne.

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Breuillet – Les usines Muller – édition Tabac Monel

91-Breuillet-les usines Muller - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

91-Breuillet-les usines Muller – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Breuillet
Les usines Muller
Imprimerie H.basuyau & cie Toulouse – édition Tabac Monel
Dos séparé – circulé à découvert en 1935
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Créer en 1921  la  briqueterie Muller à Breuillet 

Des le début de la Première Guerre mondiale, l’argile de Breuillet alimentait l’usine Émile Müller d’Ivry-sur-Seine, spécialisée en céramique d’art, produits réfractaires et émaillés. Une extension de cette usine est installée en 1921 à Breuillet, à flanc de coteau, au plus près de l’extraction de la matière première, de la route et du chemin de fer. Elle utilise de l’argile blanche mélangée à de la chamotte (argile cuite et broyée) pour fabriquer des briques réfractaires pour la grande industrie (Saint-Gobain, Sacilor. L’usine, se développant, a connu de nombreuses modifications et reconstructions pour devenir, sous le nom de Société nouvelle des établissements Müller, un des sites les plus importants de fabrication de produits réfractaires de France. Elle employait jusqu’à 450 salariés aumilieu du XXe siècle.

L’usine arrêtant complètement ses activités en 2002, le processus de fabrication est rendu peu lisible par le déménagement des machines en 2003. Seuls demeuraient en place, en 2006, un four tunnel à sole mobile et son séchoir (ensemble rare en Île-de-France), l’imposant «Soet Ferrum» destiné au séchage de l’argile crue, la centrale électrique d’appoint et son crue, la centrale électrique d’appoint et son moteur Duvant (alimenté au fioul), ainsi que quelques équipements annexes. La partie sud du site a été détruite et, le projet de transformation en équipement culturel n’ayant pas abouti, le sort des bâtiments subsistants reste incertain.

Texte du Dossier de la Maison de Banlieue  et de l’Architecture n ° 4 Communauté de communes Les Portes de l’ Essonne

 

 

 

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