Champ de courses du Tremblay – La foule pendant une course

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Champ de courses du Tremblay – La foule pendant une course
éditeur EM « Malcuit », phot, édit. Paris 
dos séparé – non circulé
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Suite à la fermeture du champ de course de Colombes, les courses seront  transférées  au Tremblay situé sur la commune de Champigny sur Marne à quelques kilomètres de Paris.

Le 19 septembre 1906 est inauguré le nouveau champ de courses, il sera considéré comme  l’un des plus fleuris et le plus coquet de France.
Les chevaux devaient être forts et courageux pour gagner les courses sur cette piste sélective avec une ligne d’arrivée montante.
En 1943 et en 1944 le Tremblay accueille exceptionnellement le grand Prix de l’Arc de Triomphe.
Le projet d’un parc de loisir et une décision d’expropriation, mettra fin aux dernières courses sur la piste du Tremblay et c’est ainsi que le 25 octobre 1967 le Tremblay voit sa dernière course.
Le parc de loisir sera bien crée en 1976, sur une étendue de 73 hectares sur la commune de Champigny-sur-Marne sur
l’ancien champ de courses du Tremblay !

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Breuillet-Village – l’église – Un attelage et une vache

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91-Breuillet-Villages – l’église
 Ménard à Breuillet – Simi-Aquarelle A. Breger, 9 rue Thénard, Paris 
Dos séparé – non circulé
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Voici une carte bien sympathique de la ville de Breuillet.
En 1910 Breuillet est une petite ville de 700 habitants située à 30 kilomètres de Rambouillet et 41 kilomètres de Paris.
Son maire à cette époque est Monsieur Hallé et l’éditeur de cette carte n’est autre que le propriétaire d’un des deux débits de tabac de Breuillet, l’autre tabac étant tenu par Monsieur Mouroux.
Sur cette carte une belle vache blanche et rousse attend tranquillement attachée à une charrette qui aurait pu appartenir à l’un de ces agriculteurs; Mr Broust, Mr Dubois, Mr Dupont, Mr Lepére ou Mr Ravet.
À citer aussi la fabrique de tuiles et de briques de Musmacques frères et Cie et la pisciculture de Monsieur Cavalier.
À noter les deux châteaux de Breuillet; le Chapitre appartenant à Mr Hallé (A) et celui du Colombier de madame Veuve Guilbert.

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Breuillet – Les usines Muller – édition Tabac Monel

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Breuillet
Les usines Muller
Imprimerie H.basuyau & cie Toulouse – édition Tabac Monel
Dos séparé – circulé à découvert en 1935
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Créer en 1921  la  briqueterie Muller à Breuillet 

Des le début de la Première Guerre mondiale, l’argile de Breuillet alimentait l’usine Émile Müller d’Ivry-sur-Seine, spécialisée en céramique d’art, produits réfractaires et émaillés. Une extension de cette usine est installée en 1921 à Breuillet, à flanc de coteau, au plus près de l’extraction de la matière première, de la route et du chemin de fer. Elle utilise de l’argile blanche mélangée à de la chamotte (argile cuite et broyée) pour fabriquer des briques réfractaires pour la grande industrie (Saint-Gobain, Sacilor. L’usine, se développant, a connu de nombreuses modifications et reconstructions pour devenir, sous le nom de Société nouvelle des établissements Müller, un des sites les plus importants de fabrication de produits réfractaires de France. Elle employait jusqu’à 450 salariés aumilieu du XXe siècle.

L’usine arrêtant complètement ses activités en 2002, le processus de fabrication est rendu peu lisible par le déménagement des machines en 2003. Seuls demeuraient en place, en 2006, un four tunnel à sole mobile et son séchoir (ensemble rare en Île-de-France), l’imposant «Soet Ferrum» destiné au séchage de l’argile crue, la centrale électrique d’appoint et son crue, la centrale électrique d’appoint et son moteur Duvant (alimenté au fioul), ainsi que quelques équipements annexes. La partie sud du site a été détruite et, le projet de transformation en équipement culturel n’ayant pas abouti, le sort des bâtiments subsistants reste incertain.

Texte du Dossier de la Maison de Banlieue  et de l’Architecture n ° 4 Communauté de communes Les Portes de l’ Essonne

 

 

 

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91-Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte

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 7 – Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte
édition EM  
Dos séparé – non circulé
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L’inondation de 1910 n’a pas épargné non plus la banlieue sud de Paris et la situation à été dramatique aussi pour les essonniens.
Mais passons les durs moments du mois de janvier et voyons le commencement de la décrue au début du mois de février.
Dans la vallée de l’orge, depuis Dourdan jusqu’à Juvisy, la situation est bien meilleure, sauf à Perray-Vaucluse, où la route et plusieurs chemins sont encore envahis et impraticables. L’orge et l’Yvette sont à peu près rentrés dans leurs lits.
À Ris-Orangis, Athis-Mons, Ablon, Viry-Châtillon, Draveil et Juvisy, la baisse de la Seine dans les dernières vingt-quatre heures n’a été que de dix centimètres ; le beau persistant, on s’attendait à mieux. La baisse précédente dans le même laps de temps avait été de quinze centimètres. Les chemins de halage, tout en n’étant pas tout à fait dégagés, sont praticables.
Dans la plaine, les lacs laissés par la crue diminuent sensiblement. Port-Aviation est en très grande partie dégagé.

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Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe

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Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Varennes-Jarcy – La grande-Rue vue prise au restaurant du Lapin qui se rebiffe Thibault, éditeur, Mandres.
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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Au restaurant du Lapin qui se rebiffe… rien que la légende de cette carte postale nous fait rêver.
En 1900 la ville de Varennes-Jarcy est une petite ville de Seine-et-Oise (aujourd’hui en Essonne) de 248 habitants située à 11 kilomètres de Corbeil et à 4 Km de Mandres.
Le maire de cette époque est Monsieur Bosquillon, Monsieur Dauvergne (L) est l’agriculteur, Monsieur Vinatier est Maçon, Monsieur Chalin (L) est polisseur d’acier et Monsieur Lamber est restaurateur à Jarcy.

Voici une vue google-maps de cet endroit plus de 100 ans après l’édition de cette carte postale, la rue du restaurant du Lapin qui se rebiffe est devenue la rue de la Libération et le restaurant une belle maison d’habitation.

Varennes-Jarcy- 100 ans après l'edition de cette carte postale

Varennes-Jarcy- 100 ans après l’édition de cette carte postale

 

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