Groslay Rue du Chemin de Fer

Groslay Rue du Chemin de Fer

Groslay Rue du Chemin de Fer

Groslay Rue du Chemin de Fer
éditeur Voillereau 
Dos séparé – circulé à découvert en 1923
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Groslay est une commune française située dans le département du Val-d’Oise en région Île-de-France à 20 kilomètres de Pontoise. Les Groslaisiens et les Groslaisiennes en 1911 sont au nombre de 1695 et le maire est monsieur Révillion. A noter que les châteaux de Groslay sont les propriétés des familles; Benasson-Marignac, Durey-Sohy, Lesieur. Je n’ai pas retrouvé cet endroit avec google-Maps, alors si vous connaissez cet endroit n’hésitez pas à me laisser un message.   

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Chatillon-Coligny – Le Pont avec tablier métallique au dessus du canal de Briare

Chatillon-Coligny-Pont-avec-tablier-métallique

Chatillon-Coligny – Le Pont avec tablier métallique au dessus du canal de Briare

Chatillon-Coligny  ( Loiret)  Pont avec tablier métallique au dessus du canal de Briare et de la rivière le Loing ( 68 mètres de longueur) 
Dos séparé – circulé à découvert 
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Laissons Paris et l’illustrateur POULBOT, pour retrouver la campagne et le département du Loiret. Aujourd’hui, direction Châtillon-Coligny, son canal de Briare, mais surtout son pont de la ligne de tramways du Loiret « Nogent sur Vermissonà Châtillon-Coligny. Dans les années 1910 la ville compte 2175 habitants administrés par le maire Mr Vilvé (G). Le pêcheur que l’on voit sur cette carte postale a dû acheter ces articles chez les marchands Rahon ou Ruet-Bourdet. À noter qu’à cette époque que le château de Bonniere est la propriété de la famille Malâtre, celui de Châtillon à la comtesse De-Dauvet, celui de Perraults à M. Pigeon et celui des Viviens à la famille Martin.       

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Au Camp de Chalons – Debarquement des Voitures – Librairie Militaire Guerin, Mourmelon

 51-Au Camp de Chalons-Debarquement des Voitures - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

51-Au Camp de Chalons-Debarquement des Voitures – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

28 – Au Camp de Chalons-Debarquement des Voitures
Librairie Militaire Guerin, Mourmelon 
Dos simple – voyagé à découvert en 1903
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Nous sommes en 1901 et les manoeuvres continuent, aujourd’hui on débarque les voitures qui viennent d’arriver par le chemin de fer.

En agrandissant la carte (clic sur l’image), on aperçoit au beau milieu des militaires la silhouette d’une femme coiffée d’un beau chapeau et tenant une ombrelle … Mais que pouvait faire cette femme en pleine manœuvre Militaire … Peut-être la femme d’un haut gradé du camp de Châlons ?      

 

 

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Suite et fin du terrible accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904

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L’accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

579 – L’Accident de fer de Chouzy (L-etC) – le 21 Octobre 1904 
éditeur Marcel MARRON, Orléans
Dos séparé – circulé à découvert en 1904
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Hier l’envoyé spécial était prêt à partir à Chotisy pour parler avec le maçon  Villanet, sur lequel disait-on tout d’abord pesait de si lourdes charges..! 

M. Louvet, jugé d’instruction, mis au courant de certains racontars, avait tenu à entendre sur place et sans retard un témoin précieux. La gendarmerie fut donc chargée d’alter jusqu’au bourg de Chouzy où habitait le maçon pour lui transmettre la convocation du magistrat. Mais villanet, qui travaille en ce moment aux Grouëts, était depuis longtemps déjà parti et les gendarmes allèrent le réclamer sur son chantier. Ces allées et venues de la maréchaussée, ce témoignage réclamé, tout cela prit des proportions énormes dons l’esprit des habitants. On fit donc bientôt de Villanet un inculpé…Le parquet  et c’était son devoir strict ne pouvait négliger un détail quelconque : les magistrats ne se contentèrent pas seulement de l’interrogatoire du maçon et allèrent jusqu’à la perquisition.
Les résultats en furent négatifs et Villanet, qui n’avait cessé de protester de son innocence, rentrait chez lui. Le logis était vide, ce matin, quand je m’y  suis  présenté, mais j’ai longuement causé avec quelques voisins qui paraissent tenir le maçon en grande estime et le jugent incapable d’un acte criminel. Villanet est un homme de cinquante ans ; sa femme travaille dans une biscuiterie de Blois ; un de ses fils est soldat, un autre garçon fréquente l’école de Chouzy, où la famille réside depuis une douzaine d’années.
On a parlé de difficultés entre Villanet et une garde-barrière de la voie ferrée ; il n’y a, dans les faits énoncés, rien qui puisse permettre d’accepter l’hypothèse d’une vengeance du maçon.
Car l’hypothèse d’un attentat s’accrédite de plus en plus tant à la direction de la Compagnie d’Orléans qu’au parquet de Blois.
Si le substitut du procureur de la République, M. Pierre Berger, est un homme aimable, c’est aussi un fonctionnaire discret. Un peu malgré lui, j’ai réussi à me procurer des renseignements précis  sur les constatations auxquelles le parquet a procédé sur les lieux de l’accident de concert avec les ingénieurs de la Compagnie.
On dit, vous le savez, que quarante-deux tire-fonds ont été enlevés sur la longueur d’un rail et qu’une éclisse aurait été également déboulonnée du côté extérieur de la voie  suivie par le rapide 31.

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Suite du récit du terrible accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904

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L’accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

578 – L’Accident de fer de Chouzy (L-etC) – le 21 Octobre 1904 
éditeur Marcel MARRON, Orléans
Dos séparé – circulé à découvert en 1904
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Hier, nous étions restés sur l’hypothèse d’un acte criminel , continuons le récit de ce terrible accident de 1904. 

Le 22 octobre. Sans trêve ni repos, les équipes de poseurs et d’ouvriers empruntés aux dépôts de Tours et de Blois, travaillent sur les lieux où s’est produite la catastrophe. Comme Vous le savez, la circulation a pu être rétablie dès vendredi soir, à l’aide d’une voie provisoire unique et d’un service de pilotage. Sur le chantier, où règne une fébrilité active, on a, grâce à de puissants appareils d’éclairage, amenés par le train de secours; travaillé toute la nuit dernière.

Pour dégager la voie obstruée par les débris du train 18, on a, par des terrassements, facilité le glissement de la locomotive, du tender et du fourgon ce dernier les roues en l’air  qui maintenant gisent dans le large fossé bordant la voie, Les ingénieurs feront procéder à un, démontage sur place.

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