Carte Postale Ancienne – La fontennelle-place principale

41-la fontennelle-place principale

41-la fontennelle-place Principale

 La Fontenelle (Loire et Cher) Place Principale
éditeur Leconte
Dos séparé – circulé à découvert
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Petite carte postale avec un petit attelage pour un petit dimanche bien rempli d’émotion et de découverte
À lundi avec une Top carte postale…!

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Olivet – Grande Cavalcade de la mi-carême – Le Char de la crise du logement

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45-Olivet-Grande cavalcade de la mi-careme-char de la crise du logement

Olivet – Grande Cavalcade de la mi-carême – Le Char de la crise du logement
éditeur L. Lenormand à Orléans 
Dos séparé – non circulé
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Et oui dans les années 1920 la crise du logement existe déjà, les organisateurs de la cavalcade d’Olivet n’ont pas hésité à faire un char représentant un pont à louer et une famille vivant dessous.

À la sortie de la Première Guerre mondiale 1914/1918 la crise du logement devient un sujet urgent à traiter, de nombreuses lois seront votées mais à la fin des années 1920 la crise du logement se fait encore plus grande.
Avant la guerre elle était surtout qualitative et il s’agissait moins de construire beaucoup que de bien construire. La lutte contre le taudis, urbanisme, hygiène du logement, telles étaient les préoccupations principales d’avant-guerre.

C’est au début du mois de juillet 1928 que sera votée la loi « Loucheur », le projet est de taille … 200.000 habitations à bon marché, 60.000 logements à loyers modérés, tels sont deux des projets de cette loi voulant ainsi qu’un père de quatre enfants vivant en banlieue parisienne ou en province, puisse acquérir sa maison moyennant un versement annuel de 1.400 francs.

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Olivet – Grande Cavalcade de Mi-Carême de 1927 – Char de la Musique

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Olivet – Grande Cavalcade de Mi-Carême  – Char de la Musique 
éditeur L.Lenormand
Dos séparé – non circulé
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Les jeunes de la ville d’Olivet font la fête en cette année de 1927, les pierrots et Pierrettes et autres déguisements sont de rigueur en ce jour de mi-carême.   

Dans cette même série : OLIVET, Grande Cavalcade de Mi-carême de l’éditeur L.Lenormand à Orléans,  il existe aussi les cartes légendées :

 Char du Laitier – Char de la crise du Logement – Le raffut – La croix-rouge  – Les madelons  – Sa majesté carnaval – Pousse-pousse Chinois – Landau de la Reine 1 et 2  – Char de la pouponnière – Char du contribuable – La Jeune France  – Charlatan 1 et 2 –  Char de la musique   – Char du fromage d’Olivet  – Clique de la Garde Nationale – Garde Champêtre de Noras  – Le Char du réveil sportif – Char du  Boeuf Gras – Char du Vigneron – Pierrettes et Pierrot chanteurs – Char du cochon gras – Char du tank Fleuri – « Les litrons au Far-west » (sans certitude).

Bien sur si vous connaissez d’autres cartes postales de cette série de L.Lenormand  n’hésitez pas à me laisser un message. 

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Carte Postale Ancienne de Boisville-La-Saint-Père – La rue de la Gare

28-Boisville-La-Saint-Père-la rue de la Gare - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

28-Boisville-La-Saint-Père-la rue de la Gare – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 1.   Boisville-La-Saint-Père – La rue de la Gare
éditeur ND Phot
Dos séparé – circulé à découvert en 1913
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Le mois de juin c’est la belle époque des vide greniers et on trouve encore quelques cartes postales dans des boîtes à cartons ou dans des vieux albums… Bien sur comme tous les passionnés de ces petits bouts de cartons on cherche dans les boîtes et on ouvre les albums .

Bien évidemment 9 fois sur 10 c’est la déception car les cartes postales dans les cartons sont là depuis des lustres et sont pour la plupart du temps sans intérêt, et pour les classeurs c’est très souvent des classeurs qui ont été refaits, je m’explique certaines personnes achètent ou trouvent un vieil album des années 1900 vide de cartes postales et le remplissent de cartes que l’on appelle communément « drouilles ».

Bien sûr ce mot drouille est très subjectif car une « drouille » (carte sans aucun intérêt) sera peut-être une thématique pour d’autres (exemple un monument aux morts ou la façade d’une église en gros plan..!

Mais revenons à nos vide greniers et  ces vendeurs qui devant notre mine de déception nous demandent inévitablement ce que l’on recherche …!

« Et bien si possible des belles cartes », et c’est après cette réponse que la question fatidique tombe comme un couperet … Et c’est quoi pour vous une belle carte postale…?
Et à chaque fois je commene par des explications, une belle carte c’est souvent une carte avec de l’animation, des gros plans des scènes de la vie de cette époque, des attelages etc. etc etc …. et enfin on se perd dans des explications qui pour le néophyte ne seront q’une source d’erreurs pour leurs prochaines ventes.

Alors à tous ceux qui se posent encore la question de savoir comment est une belle carte postale et bien voici une carte de Boisville-La-Saint-Père, qui n’est pas bien sûr une carte exceptionnelle et rare…mais elle est tout simplement BELLE.

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Suite et fin du terrible accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904

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L’accident de Chemin de Fer de Chouzy le 21 octobre 1904- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

579 – L’Accident de fer de Chouzy (L-etC) – le 21 Octobre 1904 
éditeur Marcel MARRON, Orléans
Dos séparé – circulé à découvert en 1904
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Hier l’envoyé spécial était prêt à partir à Chotisy pour parler avec le maçon  Villanet, sur lequel disait-on tout d’abord pesait de si lourdes charges..! 

M. Louvet, jugé d’instruction, mis au courant de certains racontars, avait tenu à entendre sur place et sans retard un témoin précieux. La gendarmerie fut donc chargée d’alter jusqu’au bourg de Chouzy où habitait le maçon pour lui transmettre la convocation du magistrat. Mais villanet, qui travaille en ce moment aux Grouëts, était depuis longtemps déjà parti et les gendarmes allèrent le réclamer sur son chantier. Ces allées et venues de la maréchaussée, ce témoignage réclamé, tout cela prit des proportions énormes dons l’esprit des habitants. On fit donc bientôt de Villanet un inculpé…Le parquet  et c’était son devoir strict ne pouvait négliger un détail quelconque : les magistrats ne se contentèrent pas seulement de l’interrogatoire du maçon et allèrent jusqu’à la perquisition.
Les résultats en furent négatifs et Villanet, qui n’avait cessé de protester de son innocence, rentrait chez lui. Le logis était vide, ce matin, quand je m’y  suis  présenté, mais j’ai longuement causé avec quelques voisins qui paraissent tenir le maçon en grande estime et le jugent incapable d’un acte criminel. Villanet est un homme de cinquante ans ; sa femme travaille dans une biscuiterie de Blois ; un de ses fils est soldat, un autre garçon fréquente l’école de Chouzy, où la famille réside depuis une douzaine d’années.
On a parlé de difficultés entre Villanet et une garde-barrière de la voie ferrée ; il n’y a, dans les faits énoncés, rien qui puisse permettre d’accepter l’hypothèse d’une vengeance du maçon.
Car l’hypothèse d’un attentat s’accrédite de plus en plus tant à la direction de la Compagnie d’Orléans qu’au parquet de Blois.
Si le substitut du procureur de la République, M. Pierre Berger, est un homme aimable, c’est aussi un fonctionnaire discret. Un peu malgré lui, j’ai réussi à me procurer des renseignements précis  sur les constatations auxquelles le parquet a procédé sur les lieux de l’accident de concert avec les ingénieurs de la Compagnie.
On dit, vous le savez, que quarante-deux tire-fonds ont été enlevés sur la longueur d’un rail et qu’une éclisse aurait été également déboulonnée du côté extérieur de la voie  suivie par le rapide 31.

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