91-Soisy-sous-étiolles – Des Pêcheurs vers le pont

91-Soisy-sous-etiolles - pecheurs vers le pont

91-Soisy-sous-etiolles – pecheurs vers le pont

204 – Soisy-sous-Etiolles – Pêcheurs vers le pont
éditeur ND – Phot
dos séparé – circulé à découvert en 1913
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Que le temps est agréable et reposant quand on pêche en barque, j’ai eu ce plaisir de nombreuses fois et à chaque fois mes pensées étaient agréables, avec cette drôle de sensation de faire corps avec l’eau.
Que de souvenirs, et je ne peux m’empêcher de penser à mon père quand je vois ces pêcheurs… comme le dit une certaine personne qui pêche aussi en barque … Nostalgie quand tu nous tiens …!

 

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Asnières – Le cimetière des chiens – Plus je vois les Hommes plus j’aime mon chien !

92-Asnieres-le cimetiere des chiens

92-Asnieres-le cimetiere des chiens

31  –  Asnières – Cimetières des Chiens
dos séparé -circulé à découvert en 1913
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En 1900, Paris compte pas moins de 40000 chiens déclarés, et oui en 1900 la législation obligeait tout propriétaire d’un Chien de le déclarer par écrit à la Mairie de son arrondissement un contrôleur venait ensuite à votre domicile et déterminait la qualité du Chien déclaré : ou comme Chien de garde qui était constamment tenu à l’attache pendant le jour, c’est à-dire exclusivement destiné à la garde ou comme Chien de luxe de première catégorie. Cette taxe était de 10 frs. par an pour les chiens de luxe et 5 frs pour les chiens de garde.

C’est en 1899 que Marguerite Durand et Georges Harmois fondent la Société française anonyme du cimetière pour chiens et autres animaux domestiques, la même année ils achètent du terrain sur l’île des ravageurs située vers le pont de Clichy à Asnières (station avenue de Clichy en 1900 par le chemin de fer), ce cimetière sera le premier cimetière animalier au monde.

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Aulnay-lès-Bondy- Ferme Saint Antoine de Savigny – intérieur de la cour

93-Aulnay-lès-Bondy- Ferme Saint Antoine de Savigny – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

410 – Ferme Saint Antoine de Savigny (S-et Oise) Intérieur de la cour
éditeur H.W
dos séparé -circulé sous enveloppe
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La légende de cette carte postale est prometteuse quand on collectionneur la ville de Savigny-sur-Orge, et pourtant il n’en est rien car nous sommes à Aulnay-lès-Bondy.

Aulnay les Bondy dans les années 1900 était située dans le département de Seine et-oise Oise au même titre que Savigny-sur-Orge et bien d’autres villes de l’ile de France. Il faut quand même expliquer la réorganisation de la région Parisienne suite à loi du 10 juillet 1964 et mise en vigueur au 1er janvier 1968. Cette loi supprimant les départements de la Seine, « remplacé par ceux de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis, et du Val-de-Marne » et de Seine-et-Oise « remplacé par ceux de l’Essonne, des Yvelines, et du Val d’Oise », seule la Seine-et-Marne ne fut pas concernée par ce redécoupage.

Mais revenons à cette ferme de Saint-Antoine de Savigny ( pas sur orge malheureusement) et de son emplacement exact dans les années 1900, nous sommes donc à Aulnay les Bondy à 37 kilomètres de Pontoise et 15 kilomètres de Paris.
Le maire à cette époque des 1878 habitants d’Aulnay les Bondy est monsieur Buchet (C), les agriculteurs sont les familles Dalleux, Frotiée Pierre et Henri, Marcognet, Papillon et Féculier.

Dés l’ouverture de la gare Paris-Soissons en 1875, la petite ville prendra très vite de l’ampleur  au point  de vouloir couper en deux la ville d’un coté le vieux Pays  » Aulnay-les-Bondy  » et de l’autre la ville plus urbaine d’Aulnay-sous-Bois …

Le temps fera l’histoire d’Aulnay-sous-Bois, mais qui se rappelle encore de d’Aulnay-lès-Bondy…? 

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Soisy-sous-étiolles – Bords de la Seine – Une lavandière

91-Soisy-sous-étiolles-Bords de la Seine

91-Soisy-sous-étiolles-Bords de la Seine

 

Soisy-sous-étiolles – Bords de la Seine
éditeur Touret – Photo Peinture A. Breger Freres, 9 rue Thénard, Paris. Déposé 
dos séparé – circulé à découvert
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La carte postale a un peu jauni mais sa texture façon toile de peintre est toujours bien marqué.
De nombreux éditeurs ont édité ce genre de carte postale qui se voulait ressembler le plus possible à un tableau… la maison A. Breger désignait ces cartes avec ces simples mots  » photo-peinture » qui pour moi est très commode comme définition à utiliser pour désigner ce genre de carte, d’autres cartophiles utiliseront les mots « cartes toilées »  » cartes vernis » etc. etc.

La ville de  Soisy-sous-étiolles a été rebaptisée en 1934 Soisy-sur-Seine, située entre la Seine et la foret de Sénard, proche de Draveil, Evry et Ris Orangis dans le département de l’Essonne. 

Bien sur sur cette carte le plus important est cette femme qui lave et rince son linge dans la Seine le dos cassé, il faudra encore attendre quelques décennies  pour entendre sur nos téléviseurs  » Ca c’est ben vrai ça !  Ces quelques mots devenus culte qui ont fait de la Mère Denis la star de la publicité en France et de la marque « vedette » durant les années 80.

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Champigny- Champ de courses du Tremblay – Baraques du Paris Mutuel

94-Champigny- Champ de courses du Tremblay-Baraques du Paris Mutuel

94-Champigny- Champ de courses du Tremblay-Baraques du Paris Mutuel

94-Champigny- Champ de courses du Tremblay – Baraques du Paris Mutuel
éditeur EM « Malcuit », phot, édit. Paris 
dos séparé – non circulé
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Nous voici de retour sur le champ de courses du Tremblay, l’arrivée de la deuxième course est affichée … premier F.Nourry et on commence déjà à se presser devant les baraques pour jouer dans troisième.

Voici ce que l’on pouvait lire sur le Petit Parisien du 29 juillet 1906.

La Société de sport de France, dont le comte H. Grelfulliè est le président, avait invité la presse spéciale à visiter le nouvel hippodrome qu’elle est en train de construire au Tremblay entre Joinville-Ie-Ponl, Champigny et Nogent-le-Perreux, sur les bords de la Marne, à deux pas du viaduc colossal du chemin de fer de l’Est. M. le comte Paul de Pourtalès et le comte Le Marois, commissaires de la Société, ont très aimablement reçu les journalistes qui s’étaient rendus à cette invitation, et leur ont fait les honneurs du champ de courses qui remplacera, dès le 17 septembre, l’hîppodrome de Colombes, à tout jamais abandonné. Le Tremblay ne le fera pas regretter ; c’est un vrai palais sportif ou plutôt ce sera un palais sportif incomparable le jour où il sera terminé. Il fait, dès à présent, le plus grand honneur à l’architecte, M. O. Raquin, et a. l’entrepreneur général, M. Marie. Les pistes sont dans un état merveilleux, et on pourrait y courir demain ; les tribunes demandent encore beaucoup de travail pour être achevées, il y a aussi pas mal de terrassements à faire ; avec de la bonne volonté, du zèle et pas de grève au moment psychologique, on sera suffisamment en mesure de courir en septembre, mais on ne sera tout à fait bien installé qu’en mars «prochain. en ce qui concerne les tribunes elles seront vastes et spacieuses ; elles sont plantées obliquement, par rapport à la piste d’arrivée, ce qui permettra aux spectateurs de suivre facilement tous les détails de la lutte définitive.

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