Robert Bénoist-Champion du Monde-sa Voiture-son Huile

Robert Benoist - champion du monde-sa voiture-son huile - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Robert Bénoist – champion du monde-sa voiture-son huile – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Robert Bénoist – Champion du Monde – sa Voiture – son Huile

édition Kervoline -Photos Lorelle

Dos séparé – non circulé

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Cette carte postale pourrait n’être qu’une carte publicitaire d’un champion du monde automobile vantant son huile (Kervoline) et sa voiture (Hotchkiss), mais ce champion et résistant de la Seconde Guerre mondiale aura un destin tragique.

Né le jeudi 21 mars 1895 à Auffargis, Robert Bénoist sera pilote d’avion pendant la Première Guerre mondiale avant de devenir dans les années 1920 /1930 un grand champion automobile.

Vainqueur de plusieurs grandes courses automobiles, il sera champion du monde en 1927 et vainqueur des mythiques 24 heures du Mans en 1937.

Mais la Deuxième Guerre mondiale est déclarée et la France est occupée, Robert Bénoist partira en Angleterre et deviendra agent secret, parachuté en France il organise plusieurs cellules de sabotage et participe à plusieurs missions sur le sol français.

Arrêté par deux fois par les Allemands, il parviendra à s’évader et continuera la résistance en France en créant plusieurs réseaux, le dimanche 18 juin 1944 Marcel Charles Benoist sera de nouveau arrêté et sera déporté à Buchenwald, où il sera exécuté par les nazis le dimanche 10 septembre 1944 par pendaison.

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Savigny-sur-Orge – La Fontaine L’été de la place Davout

91-Savigny-la fontaine l'été-offert par Monsieur Auclair -  sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

91-Savigny-la fontaine l’été-offert par Monsieur Auclair – sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

9 – Savigny sur Orge (S et Oise) – L’ETE

Fonderie Durenne , Fontaine offerte à la ville le 20 septembre 1908, par M. Auclair, conseiller municipal.

Collection -Paul Allonge, –  Montlhéry -Série CI.18

Dos séparé -circulé à découvert en 1914

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Cette statue était située en bas de la gare de Savigny-sur-Orge sur la place Davout, imaginez la tranquillité de cette place à cette époque …!

Le marché les parkings et la vie moderne ont eu raison de cette fontaine … mais aucun habitant de Savigny à cette époque aurait eu l’idée de la détruire … il faudra attendre bien plus tard pour voir une sculpture détruite sur cette place …!

Saviniennes et Saviniens, pour mémoire … Suite à des manifestations d’étudiants en 2010, la sculpture en fer et en forme de boule avait été décelée en partie et pour la sécurité de tous, cette sculpture avait été retirée. 

Depuis 3 ans la mairie cherchait des boulons et des écrous pour remettre cette fontaine en acier en place… les boulons étant introuvable … il a été décidé de créer une aire de jeux pour les jeunes enfants ….

je me pose simplement cette question : Mais ou se trouve maintenant cette sculpture qui avait été inaugurée par le maire de l’époque « Jean Marsaudon » et que va-t-elle devenir ?

Si vous avez la réponse merci d’avance de me laisser un commentaire.

la boule et fontaine d'acier

la boule et fontaine d’acier

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Aspect de Port Aviation – Après les inondations de 1910

Port Aviation – Après les inondations de 1910-Juvisy et Viry Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Après les inondations de 1910

1234 – Juvisy Viry  (S.et.O.)

Aspect de Port Aviation le 24 Février; Les palissades de la route de Fontainebleau renversées

Collection Paul Allorge, Montlhéry – série C19

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La crue de 1910 n’a pas épargné le terrain d’aviation de Viry *Juvisy, difficile de localiser exactement cet endroit mais la route de fontainebleau peut donner un repère.
Bien sur si vous connaissez exactement cet endroit merci de laisser un commentaire.

Pendant l’année 1910 après les inondations de janvier et février, on voit se créer une dizaine d’écoles de pilotage.

Dès lors, jusqu’en janvier 1911, les pilotes du monde entier viennent en France et à Port Aviation pour passer leur brevet de pilotage. Par la suite, chaque pays délivrera ses propres brevets sous l’égide de la Fédération Aéronautique Internationale.

De 1911 à 1914, il y aura chaque week-end une activité particulière sur l’aérodrome, pour le plus grand plaisir des parisiens qui le trouvent « agréable et coquet ». Ainsi peuvent-ils assister à des meetings aériens avec ou sans acrobaties, à des expériences de parachutisme, mais aussi à des courses de chevaux, de vélos et de cross country.

Mais les progrès fulgurants de l’industrie aéronautique sont tels que le terrain de Viry Chatillon devient de plus en plus exigu pour les nouveaux appareils. Malgré tous leurs efforts, les organisateurs ne peuvent empêcher qu’à la veille de la Grande Guerre, en août 1914, Port Aviation ne devienne qu’un terrain herbeux sur lequel paissent quelques vaches. Quant aux installations bâties par Guillaume Tronchet, elles sont sans utilisation.

Cependant, le déclenchement de la guerre va leur redonner une seconde vie :
– dans un premier temps, un détachement de 40 gardes voies de chemin de fer y sera cantonné pour garder les voies de la gare de Juvisy.
– dans un deuxième temps, dès le printemps 1915, un détachement de l’armée aérienne britannique est installé avec une dizaine d’appareils. En effet, les Etats Majors des pays belligérants n’avaient pas tardé à concevoir que les avions pouvaient être employés comme nouvelle arme de guerre.

1915, à l’automne, les anglais sont remplacés par les français qui vont installer un centre d’instruction. Pendant deux ans, de 1915 à 1917, plus de six cents pilotes y seront formés.

L’intégralité de ce texte et beaucoup plus (petit films) est sur le site , PORT AVIATION pour les passionnés de l’époque ou un des rêves les plus fous de l’homme était de  voler.

« Je tenais à remercier  « l’association ARAOMPA » qui a été créée en 2000 par quelques passionnés avec pour seul objectif de préserver et si possible valoriser ce patrimoine tout à fait unique, merci à eux de vouloir conserver notre patrimoine ! »


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Carte Postale – Sablonnières le bateau lavoir et le petit Morin

77-Sablonnières-le bateau-lavoir-et le petit Morin – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Sablonnières  (S.et M) – Le bateau-lavoir et le petit Morin

Phot. G.Brindelet, La Ferté-s-Jouarre – Repro.interdite

Imprimerie EDIA ,Versailles

Dos séparé -non circulé

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Sablonnières se situe à 19 kilomètres de Coulommiers et 6 kilomètres de Rebais, le petit Morin est le principal cours d’eau qui traverse la commune .

Dans les années 1910, la ville  compte 596 habitants administrés par Monsieur Lourdin, maire de son état et agriculteur de son métier.

La ville ne manque de rien ,comme souvent dans les années 1910 les magasins et petits métiers ne manquent pas.

Pour vous en rendre compte, dans cette petite ville de 596 habitants il y avait pas moins de 3 aubergistes ; Bonnot, Bourguignon, Notreamy ; 1 boucher ,MR Moutonnet, 1 Boulanger Mr Delambre; 2 coiffeurs, Deneufchâtel et Legers; 2 marchands de chaussures ,Bonnot et Gérard … et bien d’autres petits métiers et commerces divers de l’époque .

Je suis curieux de savoir combien on compte de magasins aujourd’hui à Sablonnières… ??

Les bateaux-lavoirs étaient le lieu des histoires et ragots colportés par les lavandières aux langues bien pendues.
Beaucoup de ces bateaux ne bougeaient pas de place, mais quelques-uns se déplaçaient le long des voies d’eau pour proposer leurs services.
Même à l’époque une réglementation avait été prévue pour ce genre de prestation, le propriétaire du bateau-lavoir devait se soumettre à des normes bien précises, et surtout de s’acquitter d’une patente pour exercer ce métier.
L’arrivée du lave linge dans les foyers a fait disparaître doucement ces bateaux de nos rivières, mais il reste quelques rescapés de ces bateaux que l’on peut visiter aujourd’hui comme un musée.

 

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Échampeu – D’hier à Aujourd’hui – La rue Rocquemont en 1900

77-Echampeu-la-rue-Rocquemont – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Échampeu (S-et-M) – La rue Rocquemont

Cliché Henry – Édition Menut – Bazar-de-l’Hôtel de Ville

(Henri, éditeur, 2 rue St Nicolas – Meaux )

Dos séparé – non circulé

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Voici une carte postale très peu courante d’Échampeu et très appréciée des collectionneurs, où le peu d’habitants se sont regroupés pour que le photographe Henri immortalise cet instant. 

Situé à une quinzaine de kilomètres de Meaux en Seine et-Marne, Échampeu est une ancienne commune de 180 habitants (recensement de 1836) qui a été absorbée en 1840 par la ville de Lizy-sur-Ourcq.

Par cette fusion en 1840 avec Lizy-sur-Ourcq, il m’est impossible de vous donner précisément les noms des habitants d’Échampeu, mais peut-être que certaines personnes citer ci-dessous habitaient à Échampeu ou se rendaient dans ces commerces

Lizy-sur-Ourcq : les Epiceriers, Bedeu, Boulanger, Comble, Familistere Rémois, Fouque, Garnier, Level, Marchal Mathe, Noel ; Les Cafetiers, Carré, Dollé, Malingue, Meyer, Moritz.

En 1901 une société importante était déjà implantée à Lizy-sur-Ourcq, il est très probable que de nombreux habitants d’Échampeu travaillaient pour cette société « Le FERRO-NICKEL » .

  Cette société avait son siège social 10 rue de Louvois et son dépôt 17 rue du pont aux choux à Paris.

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Allons faire un petit tour à Échampeu à l’aide de Google-maps et remontons le temps avec un petit montage photos…!

Echampeu -d’hier à d’aujourd’hui – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

 

 

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