D’hier à Aujourd’hui – Angers – Rue Voltaire

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114 – Angers – Rue Voltaire .

Éditeur : – LL. ( Levy ,Lucien et Fils )

Dos simple – circulé à découvert en 1905

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La rue Voltaire fait partie des rues les plus commerçantes d’Angers, sur la CPA  le tramway est déjà en service à Angers depuis 1896 et fonctionnera pour la dernière fois sur le parcours  (Angers – Trélazé) le 30 avril 1949.

Comme le progrès a du bon sens, 60 ans après le tramway Angevin est de retour avec même des ambitions de nouvelles lignes d’ici 2020.

Mais sur la carte de 1905 il y a  aussi un attelage , à quand le retour des fiacres et des attelages hippomobiles à la place des voitures et camions !!


Photo d'aujourd'hui sur google maps
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Boulogne sur Seine – Quartier et Rue des Menus

Boulogne sur Seine rue des menus - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

77 – Boulogne sur Seine – Quartier et Rue des Menus

Dos séparé – circulé à découvert le 04/10/1911

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Le quartier des Menus le quartier des italiens

Quelques-uns au recensement de 1866 , c’est la destruction de Saint Cloud en 1871 qui en amenera un grand nombre, la plupart originaires de la même paroisse de Boccolo di Tassei.

Leur nombre a grossi considérablement et la plupart ont fini par devenir des nationaux en gardant souvent certains caractères particuliers du fait de leurs mariages entre eux.

Le Quartier des Menus n’a pas perdu complètement son caractère ancien, mais il est surtout devenu le quartier italien.

Avant 1914, ce caractère était plus prononcé qu’à présent.

Les Italiens vivaient assez en vase clos et les jeunes gens des environs ne pouvaient, sans risquer la bagarre, pénétrer dans les bals musettes du quartier.

La réciproque était d’ailleurs vraie.

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D’hier à Aujourd’hui , la même rue 100 ans après !

Rue des Menus

photo sur google maps

Les rues de Boulogne-Billancourt


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La Station du Métro – Rue d’Avron

Station du métro , rue d'Avron - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

638 . – Paris  . –  La Station  du Métro, Rue d’Avron

Dos séparé – circulé à découvert le 30 avril 1905

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La Station  du Métro, Rue d’Avron

La station Avron se situe sur le Boulevard de Charonne, c’est-à-dire en limite des XIème et XXème arrondissements de Paris.

La limite entre les deux arrondissements étant le Boulevard de Charonne.

La station doit son nom à la rue d’Avron toute proche.

Cette rue est une ancienne section du Chemin de Paris à Montreuil, devenu ensuite rue de Montreuil.

La partie Est de cette rue a reçue, en 1877,  le nom de rue d’Avron en mémoire de la résistance héroïque du Plateau d’Avron pendant la guerre de 1870, la partie Ouest gardant le nom de rue de Montreuil.

La station ne possède qu’un seul accès, situé sur le terre-plein central, en face du numéro 35 du Boulevard de Charonne.

Cet accès est doté d’un entourage Guimard à écussons et fond arrondi, posé en 1903, et toujours en place.

La station est ouverte le 2 avril 1903, lors de la mise en exploitation du dernier tronçon Bagnolet – Nation de la ligne 2.

Un grand merci à Dominique 1594 
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Paris Vécu- Aux champs-Élysée – L’heure du Goûter

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Paris Vécu- Aux champs-Élysée – L’heure du Goûter ( N°19 )

L.J & Cie, éditeur , Angoulême – Paris

Dos simple –  circulé à découvert en 1904

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L‘heure du goûter, encore un souvenir de notre enfance, qui ne se rappelle pas d’une brioche onctueuse, d’un pain au chocolat, d’un riz au lait à l’ancienne ou d’un bout de pain beurré avec un carré de chocolat !

Personnellement c’est le petit pain au lait avec une barre de chocolat noir Suchard !


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Paris Vécu – Les Petites Marchandes

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Paris Vécu- Les Petites Marchandes ( N°65 )

L.J & Cie, éditeur , Angoulême – Paris

Dos séparé –  non circulé

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Les petites marchandes des quatre saisons avec leur charrette à bras, comme le nom l’indique ces marchandes vendaient un peu de tout en fonction, justement de la saison.

A la veille de la première guerre mondiale les petits marchands de quatre saisons étaient très nombreux dans les rues de Paris.

Il ne faut pas oublier  qu’une grande partie des Parisiens (près de 4 millions intra-muros) faisaient partie de se qu’on à appelé ‘le petit peuple’ et les fins de mois étaient souvent difficiles.

Les légumes étaient la nourriture de base et la plus abordable servant à faire la soupe que l’on mangeait régulièrement  matin, midi et soir.

De nombreux marchands et marchandes de quatre saisons se fournissaient aux halles mais il y avait aussi les maraîchers de la région Parisienne qui avait leurs revendeurs spécialisés de leur production propre à leur ville.

Des villes comme Arpajon ou Brétigny sur orge étaient réputées pour leurs haricots blancs ou flageolets, Montlhéry pour ces potirons, Chambourcy pour ses choux fleurs, Mézières et ses poireaux, Rosny pour ses petits choux de Bruxelles, Montesson pour les navets .

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