Collection Artistique – Houlgate – La pêche à l’équille

 

Houlgate - La pêche à l'équille

Houlgate – La pêche à l’équille

Collection Artistique –  3  Houlgate – La pêche à l’équille
Ruthmann, éditeur, Paris 
dos séparé – circulé sous enveloppe le 10 octobre 1916
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Voici un thème que j’ai très peu abordé et qui pourtant est très apprécié de certains collectionneurs et amoureux de la pêche à pied de bord de mer. Aujourd’hui partons pêcher l’équille, ce petit poisson qui a la marée basse, s’enfonce dans le sable et qui fait le bonheur des pêcheurs. Bien souvent cette pêche se pratique à plusieurs, l’un des pêcheurs se charge de bêcher ou fait de longs sillons dans le sable, pendant que les autres attrapent ou « cueillent » les poissons qui ont été désablés. La pêche terminée il suffira de nettoyer et plonger les équilles dans l’huile bouillante et de les laisser dorer … salez poivrez selon votre goût et préparez l’apéro … j’arrive !   

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Mer – Dans le Loir-et-Cher – Le Marché au Beurre

 41-Mer-le Marché-au-Beurre - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

41-Mer-le Marché-au-Beurre – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Mer – Le Marché au Beurre 
J.Breton, éditeur 
dos séparé – circulé à découvert en 1906
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En 1900 à Mer, le marché était tous les lundis de l’année … grain beurre et autres denrées était attendu par les 3797 Merois et Meroises de cette charmante ville située à 19 kilomètres de Blois. À cette époque le maire est Monsieur Gauvin (Eusèbe), son juge de paix Mr Vernon.
Cette carte postale sans être rare est bien appréciée par les collectionneurs du thème des petits Marchés de France, il faut dire que les marchés au beurre en France étaient très appréciés et ce n’est pas pour rien que la France est aujourd’hui le premier consommateur mondial de beurre avec près de 8 Kg par habitant et par an.

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Le HAVRE – Paquebots La Lorraine mesurant 177 m 10 de long, sur 18m20 de large

 

Le Havre- le plus grand Paquebot-La Lorraine - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Havre- le plus grand Paquebot-La Lorraine – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Le HAVRE – La Lorraine 
édition Barriaux – dos séparé – non circulé 
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Un passionné de bateaux et plus particulièrement de paquebots m’a demandé par mail s’il existait des cartes postales anciennes sur ce sujet, la réponse est bien sûr OUI … très peu de sujets n’ont pas fait l’objet d’édition de cartes postales et c’est le côté passionnant de la cartophilie.
Alors comme il en faut pour tous les gouts, aujourd’hui faisons plaisir aux passionnés des paquebots et navires en tous genres avec cette carte postale d’un des plus grand paquebot de la Compagnie Générale Transatlantique, mesurant 177 m 10 de long, sur 18m20 de large; un tramway aurait pu passer de front dans ses cheminées dont le diamètre était de 5 mètres. Ce navire à 18 chaudières occupait 195 chauffeurs et dévorait de 12.000 à 15.000 kilos de charbon par heure ; La force de ses machines était de 22.000 chevaux, sa vitesse de 40 kilomètres à l’heure.
Ce bateau franchissait en 6 jours la distance qui sépare Le Havre de New York, parcourant ainsi 6.000 kilomètres ; le personnel du bord comprenait 410 personnes et le bateau pouvait recevoir 1400 passagers soit un total de 1.810 âmes, c’est-à-dire, une population supérieure à celle de bon nombre de chefs-lieux du canton de l’époque.

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Marine nationale – Exercice – Cerf volant du capitaine Saconney

Marine nationale -exercise du cerf volant du capitaine Saconnay - Cliquez   sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Marine nationale -exercise du cerf volant du capitaine Saconnay – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Marine nationale – Exercice du cerf volant du capitaine Saconnay – Vue prise du poste d’observation à 150 mètres d’altitude 

éditeur ELD   ( Ernest Louis le Deley )

Dos séparé – non circulé

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Voici une carte postale ancienne pour les amoureux de la marine nationale et je sais qu’ils sont nombreux.

Orthographié Saconnay avec un « A » sur cette carte postale, Jacques Théodore Saconney naît à Turin le 18 janvier 1874, il entre en 1885 à l’école Polytechnique et ensuite pour deux ans à l’école d’application d’ Artillerie et du Génie à Fontainebleau.

Sous-lieutenant en 1897, lieutenant en 1899 et général de division en 1929 il quitte l’armée en 1934 et décède  le 14 juillet 1935 à Dijon.

 Depuis 1904, Saconney est en relation régulière avec la marine pour des essais de photo aérienne. En 1911, un nouveau problème apparaît. Du fait de l’abandon des voiliers, les marins perdent les hautes superstructures des mâts comme point d’observation et l’ennemi étant lui aussi au ras de l’eau, il devient plus difficile à déceler. Parallèlement, l’artillerie marine progresse et elle peut tirer efficacement à 10 km. Le premier qui voit ayant l’avantage, il devient nécessaire d’élever un observateur. Les avions ne sont pas encore envisageables et les ballons à gaz sont repérables, très encombrants et risquent d’être incendiés par les escarbilles des chaudières des navires.

Restent les cerfs-volants. Les essais ont lieu du 8 août au 11 septembre à bord du croiseur Edgard Quinet en Méditerranée. Le matériel mis au point à terre doit être légèrement modifié à cause de l’exiguité de la plage arrière du cuirassé d’où sont effectués les lancements. L’observateur est facilement élevé jusqu’à 500 m de hauteur, mais Saconney juge que 300 m suffisent parce qu’au-dessus l’opacité de l’atmosphère diminue la vision. Le vol est possible à peu près dans toutes les conditions de vent. Il suffit d’utiliser le vent apparent résultant du vent réel et de celui engendré par la vitesse du navire, l’Edgard Quinet, qui file 25 nœuds.

En mars 1912, Saconney exerce des marins aux ascensions humaines à Saclay. Les expériences se poursuivent sur le bâtiment « La Fourche » du 6 septembre au 20 octobre , puis en 1913 à nouveau sur le « Quinet » du 17 mai au 7 juin, cette fois au cours des grandes manœuvres navales. Quelques hauts gradés montent dans la nacelle et se déclarent enchantés. Le cerf-voliste Donzella, alors sous les drapeaux, participe lui aussi aux manœuvres. La réussite n’est qu’apparente, la commission chargée d’évaluer les essais conclut que « les cerfs-volants ne sont susceptibles d’aucune utilisation militaire pratique et qu’il n’y a pas lieu d’adopter ce matériel dans la Marine de guerre ».

Ce refus est imputable en partie aux exigences des cerfs-volistes sur la direction des navires en fonction du vent. Selon Pantenier, le système Saconney nécessitait que les cerfs-volants soient très proches les uns des autres sur le câble et ce montage compliquait le lancement sur l’espace réduit d’un navire. Finalement, la marine adopte les ballons cerf-volant pour l’observation.

Pour tout savoir sur Jacques Théodore Saconney c’est sur l’excellent site :  Cerf volant ancien 

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Côte d’Azur – Bandol – Plage Renecros et le Golf Hôtel

Bandol Plage Renecros – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

6 . Côte d’Azur – Bandol – Plage Renecros et le Golf Hôtel

Dos séparé – non circulé

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En 1901 , on compte trois hôtel à Bandol , L’hôtel de la ville , Hôtel des bains de mer et l’hôtel du commerce.

 Pas de trace en 1901 du Golf Hôtel ! .. aprés quelques recherches  le Golf Hôtel  date des années 1910, il est dirigé par la même famille depuis 1971.

A noter une fabrique d’huile et d’immortelles  à Bandol en 1901 tenue par Monsieur Charles (M) Fils. 


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