Dunkerque – Le Travail au Port – Bois de Mines

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Dunkerque – Le Travail au Port – Bois de Mines
édition Cayez 1905 
Dos séparé – circulé à découvert en 1906
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A la fin du XIXème siècle, avec l’ancrage du chemin de fer, Dunkerque développe son rôle d’entrepôt et devient le 3ème port de France. Une huilerie s’installe, faisant progresser l’importation d’oléagineux, puis une scierie mécanique. Mais le grand pourvoyeur de travail sera l’industrie du jute qui emploiera jusqu’à 5 000 salariés en 1914. En 1898, les Ateliers et Chantiers de France sont fondés à Dunkerque. D’autres sociétés viendront enrichir le tissu industriel local, favorisant le trafic portuaire : Usine de Borax en 1900, l’usine Lesieur en 1908, l’usine des Dunes en 1912. A l’automne 1914, les Allemands sont bloqués par les troupes Continuer la lecture

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Le HAVRE – Paquebots La Lorraine mesurant 177 m 10 de long, sur 18m20 de large

 

Le Havre- le plus grand Paquebot-La Lorraine - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Havre- le plus grand Paquebot-La Lorraine – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Le HAVRE – La Lorraine 
édition Barriaux – dos séparé – non circulé 
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Un passionné de bateaux et plus particulièrement de paquebots m’a demandé par mail s’il existait des cartes postales anciennes sur ce sujet, la réponse est bien sûr OUI … très peu de sujets n’ont pas fait l’objet d’édition de cartes postales et c’est le côté passionnant de la cartophilie.
Alors comme il en faut pour tous les gouts, aujourd’hui faisons plaisir aux passionnés des paquebots et navires en tous genres avec cette carte postale d’un des plus grand paquebot de la Compagnie Générale Transatlantique, mesurant 177 m 10 de long, sur 18m20 de large; un tramway aurait pu passer de front dans ses cheminées dont le diamètre était de 5 mètres. Ce navire à 18 chaudières occupait 195 chauffeurs et dévorait de 12.000 à 15.000 kilos de charbon par heure ; La force de ses machines était de 22.000 chevaux, sa vitesse de 40 kilomètres à l’heure.
Ce bateau franchissait en 6 jours la distance qui sépare Le Havre de New York, parcourant ainsi 6.000 kilomètres ; le personnel du bord comprenait 410 personnes et le bateau pouvait recevoir 1400 passagers soit un total de 1.810 âmes, c’est-à-dire, une population supérieure à celle de bon nombre de chefs-lieux du canton de l’époque.

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Comment s’appelle ce fameux Trois Mâts fin comme un oiseau ?

Trois Mats en Rade – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

2161 –  Trois Mats en Rade

éditeur  LL. (éditeur  « Lévy Lucien fils » )

Dos séparé – circulé à découvert en 1908

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Allez aujourd’hui c’est vous qui allez travailler, les amateurs et connaisseurs de voiliers et particulièrement des Trois Mâts.

Comment s’appelle ce fameux trois-mâts fin comme un oiseau Hissez haut Hissez haut
Dix-huit nœuds quatre cents tonneaux et ils sont fiers d’y être matelot .?

Allez les connaisseurs !!

Pour me faire pardonner d’avoir changé les paroles de cette superbe chanson de Hugues Aufray en voici une version bien sympathique avec de belles images d’un beau voiliers.

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CPA – Le croiseur cuirassé Dupuy-de-Lôme en 1909

Dupuy de Lôme - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

48  –    Marine Militaire – Le Dupuy-de-Lôme

collection ND Phot

Dos séparé – non circulé

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Pas vraiment, voire pas du tout connaisseur en navires de guerre, voici une carte d’une longue série de cartes postales

Si ce genre de cartes vous plait, laissez-moi un commentaire…  je posterai de temps en temps ses petites sœurs !

Un croiseur cuirassé (1890 – 1910) mis en chantier à Lorient le 4 juillet 1888, et mis à flot le 27 octobre 1890. Il est présent le 20 juin 1895, avec le Hoche et le Surcouf lors de l’inauguration du canal de Kiel. En 1897, il rallie la division navale de la Baltique pour remplacer le Bruix en avarie. Il est intégré à l’escadre du Nord de janvier à octobre 1898. On le retrouve à Cronstadt en mai 1902, où il porte la marque du Président de la République Emile Loubet. Après un grand carénage à Brest, il fait un séjour au Maroc, et arrive le 14 septembre 1909 à Lorient en provenance de Tanger. Il est alors mis en réserve normale le 22, puis en réserve spéciale le 9 novembre. Désarmé le 1er février 1910, il n’est plus utilisé par la suite.

Le 11 Juillet 1911, il est acquis par la marine péruvienne. Du 23 août 1911 au mois d’avril 1912, une période de travaux a lieu. En mai 1912, le gouvernement péruvien demande d’en retarder la livraison. Le 19 septembre 1912, passe sous pavillon péruvien et il est renommé Commandant Elias Aguirre.

Mais ne sera toutefois jamais livré, suite à l’entrée en guerre. En octobre 1914, l’équipage péruvien est débarqué (il rentrera au Pérou par le cargo péruvien Urumba) les munitions sont débarquées et le croiseur amené au fond du port de Lorient où il reste sans être utilisé, mais reprend son nom de baptême. Les canons sont débarqué en 1915 et envoyés à Ruelle pour transformation au profit de l’artillerie de terre. Après la guerre, il est laissé privé de son armement et de ses agrés au fond de la citadelle de Port Louis, revenant parfois quand il y avait de la place, mouiller en rade de Pan-Mané.

En 1918, il est vendu au gouvernement Belge. Il quitte alors Lorient, sous pavillon belge, le 30 août 1918 pour Bordeaux où il est transformé en cargo d’août 1918 à décembre 1919. Il quitte Bordeaux le 27 décembre 1919, sous le nom de Péruvier, et appareille vers Cardiff où il prend 4 000 tonnes de houille pour le Brésil. Le 5 juin 1920, il est en avarie, avec le feu à bord, à Pernambouco. Le 26 octobre 1920, il revient en Europe remorqué par le Gasconnier (4 186 milles à parcourir soit 35 jours à 5 noeuds). Il est définitivement rayé en 1922.
(Caractéristiques : 6400 t ; 14000 cv ; 114 x 15,7 x 7,9 m ; Plans de Bussy ; En acier ; 20 chaudières du Temple ; 3 hélices ; 480 h ; II.194 + VI.164 + 12).

A lire l’intégralité du texte sur l’excellent  site :      Net Marine

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