Neuilly-Plaisance – l’Avenir-Social – Salle de classe

Neuilly-Plaisance-l'Avenir-Social

Neuilly-Plaisance – l’Avenir-Social – Salle de classe

Neuilly-Plaisance – l’Avenir-Social 
5.- En Classe 
Edition de l’Avenir Social 
Dos séparé – non circulé 
§

C’est en 1906 que voit le jour L’Avenir social, révoltée par les conditions d’accueil et de l’éducation des enfants orphelins déshérités,  Madeleine Vernet, ouvre l’orphelinat à Neuilly-Plaisance. Elle en fera un nid où les enfants orphelins seront aimés, élevés et éduqués. Son action sera soutenue par le mouvement ouvrier.
Je ne crois pas aux dieux des foules : mais je crois
Que par delà les temps, les hommes et les lois.
Il est une justice éternelle, immuable. 
Qui sera pour les grands quelque jour redoutable 
Et qui, nous démasquant leurs criminels secrets. 
Viendra leur demander compte de leurs forfaits.
Pour que l’arrêt vengeur du destin s’accomplisse
Quelle forme prendra cette haute justice?
— Nul ne peut le prévoir : mais s’il faut qu’elle soit terrible et dure, ô grands vous n’aurez pas le droit

.
De l’accuser. Si pour exprimer sa colère
Elle prend tes accents de la voix populaire
Et c’est un remous du peuple révolté
Oui vous porte sa fière inflexibilité :
C’est qu’elle aura voulu, dans sa ferme sagesse
Que la main du martyr devint la main qui blesse ;
C’est qu’elle aura pensé que le droit de punir
N’appartenait vraiment qu’à la main du martyr.
— Oui, ce jour doit venir – ô puissants de ce monde,
 Entendez-vous déjà monter la voix qui gronde? 
Ecoulez sa rumeur, et tremblez en songeant
Que nul jamais n’a pu refouler l’Océan….
Madeleine Vernet ( Juin 1906).

Share Button

Carte Postale Ancienne de Montfermeil – La Corso de la fête

Montfermeil-La Corso de la fete

Montfermeil – La Corso de la fete

Montfermeil – La Corso de la fete
édition F.Warin  
Dos séparé -non circulé
§

C’est la fête à Montfermeil et les Montfermeillois et Montfermeilloises sont sortis de chez eux pour défiler rue Henri Barbusse, à gauche sur la carte, l’école Jeanne d’arc nous indique l’endroit exact ou le photographe s’est installé pour prendre ce cliché (à la hauteur du N°16 de la rue).

Share Button

Marchenoir – l’école des Filles

Marchenoir-l'ecole des filles

Marchenoir – l’école des Filles – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Marchenoir ( L-&-C) –  l’école des Filles
AG – Fontaine, éditeur 
Dos séparé – circulé à découvert
§ 

Aujourd’hui une carte du Loir et Cher pour faire un petit clin d’oeil à un collectionneur de cette région. Marchenoir en 1910 est une petite commune de 629 habitants administrée par le maire et docteur de son métier Mr Desgranges Henri. Citons quelques noms de cette époque qui ont fait vivre cette ville de Marchenoir; Le boulanger était Mr Denis ; Le bourrelier Mr Villiers; les marchands de chevaux, Mr Raineau, Mr Coutelier et Mr Huguiet; Le coutelier Mr Terrier; Le marbrier Mr Chandivert; Le pharmacien Mr Jourdanne; Le serrurier Mr Viron; La sage-femme Mlle Vorgère; Le sabotier Mr Dousset. Je n’ai pas cité tous les noms de cette époque mais je posterai d’autres cartes de cet endroit pour compléter cette liste.

Share Button

Villiers-le-Bel – La Mairie et les écoles avant 1914

Villiers-le-Bel - La Mairie et les écoles - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Villiers-le-Bel – La Mairie et les écoles – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

11 – Villiers-le-Bel
La Mairie et les écoles
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )
Dos séparé – circulé à découvert en 1914
§

Villiers-le Bel en 1911 est encore qu’une petite ville bien paisible de 1718 habitants administrée par le Maire Monsieur Boursier.

Située à 28 kilomètres de Pontoise et 15 kilomètres de Paris le tramway à vapeur est en service reliant la station de Villiers-le-Bel à la localité.

Les enfants sur cette photo profitent de la présence du photographe pour monter sur les grilles, chose interdite à l’époque devant les professeurs… bien des années plus tard d’autres enfants arracheront des grilles devant d’autres photographes…. mais ça c’est une autre histoire d’une époque qui  m’intéresse malheureusement de moins en moins..!  

 

Share Button

École de Chien de Police de Garde et de Défense – Dressage à Forfait-Pension-Vente

92-école de chien de Police de garde et de défense - cliquez sur l'image pour l'agrandir

92-école de chien de Police de garde et de défense – cliquez sur l’image pour l’agrandir

 

École de Chien de Police de Garde et de Défense
éditeur – P. Huc
Dos séparé – non circulé
§

Dressage à Forfait – Pension – Vente
Démonstration tous les jours de 2 à 4 heures – 68 Rue de Paris  –  BAGNEUX           ( Seine) Pour plus de Renseignements écrire T.P.R.

Médaille de Bronze – Médaille d’argent – Médaille de vermeil – Médaille d’Or . CARRAS le 10 septembre 1913 arrête et maintient 5 malfaiteurs à Bagneux.

Voici ci-dessous ce fait divers raconté sur le journal du « Petit Parisien du 10 septembre 1913 »

Deux malfaiteurs s’étaient hissés, hier matin, sur le mur de clôture dune propriété appartenant à M. Schmild, dans le quartier des Olivettes, à Bagneux.

La femme du propriétaire, se trouvant seule à la maison, avait vainement essayé de les mettre en fuite. Elle s’adressa alors à l’inspecteur Bourguet, qui s’empressa de venir lui prêter main-forte ; mais, à l’approche de ce dernier, les malfaiteurs qui, par l’arrivée de trois acolytes, se trouvaient au nombre de cinq, s’enfuirent dans la campagne, 
l’affaire en serait restée là sans l’arrivée de
 M. Schmild et. de son chien  Carras.

Il faut savoir que ce fidèle animal est un chien dressé, admirablement dressé
même, et d’une intelligence peu ordinaire, ce qui lui a valu plusieurs récompenses dans les divers concours, notamment dimanche dernier, à Montrouge, où il a obtenu une médaille de vermeil.

Aussitôt mis au courant des faits, M. Schmiid, accompagné de l’inspecteur Bourguet et de Carras, s’élança à la poursuite des fuyards, dont on put bientôt, grâce à quelques indications, retrouver la trace. Selon toute apparence, la bande était cachée dans les buissons et les herbages.
Sur l’ordre de son maître Carras se mit en quête.
Dix minutes ne s’étaient pas écoulées que l’animal revenait, l’air affairé, il avait trouvé. Loin derrière lui, on prit la poursuite et, quelques instants plus tard, on le retrouvait en arrêt devant les cinq malfaiteurs, toute la bande, tenus immobiles sous sa menace.
— Les mains en l’air ! cria M. Schmild.
Aussitôt, comme à la manœuvre, les pâles gredins s’exécutèrent. Mais l’un d’eux esquissa un geste. Il n’eut pas le temps de l’achever, car la bête lui avait déjà sauté à la gorge.
M. Schrnild rappela son chien et l’inspecteur Bourguet donna le signal du départ. Sous l’œil attentif de Carras, les cinq malfaiteurs s’alignèrent puis se mirent en marche.
Tout le long du chemin, la bête, à petits pas. les enferma dans le cercle étroit de ses voltes jusqu’au poste.

Share Button