Au Camp de Chalons – Debarquement des Voitures – Librairie Militaire Guerin, Mourmelon

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28 – Au Camp de Chalons-Debarquement des Voitures
Librairie Militaire Guerin, Mourmelon 
Dos simple – voyagé à découvert en 1903
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Nous sommes en 1901 et les manoeuvres continuent, aujourd’hui on débarque les voitures qui viennent d’arriver par le chemin de fer.

En agrandissant la carte (clic sur l’image), on aperçoit au beau milieu des militaires la silhouette d’une femme coiffée d’un beau chapeau et tenant une ombrelle … Mais que pouvait faire cette femme en pleine manœuvre Militaire … Peut-être la femme d’un haut gradé du camp de Châlons ?      

 

 

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Au Camp de Chalons – Un Coin de campement

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 77 – Au Camp de Chalons – Un coin de campement 
Librairie Militaire Guerin, Mourmelon 
Dos simple – voyagé à découvert en 1903
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Ce camp a été créé en 1856 par Napoléon III, il était conçu pour accueillir 25 000 militaires et 6 000 chevaux en manœuvre.
Le camp est géré comme une grande ville et les soldats font leurs 2 ans de service militaire au rythme des manœuvres et des parades militaires .
C’est encore le temps des manœuvres et on dort sous les tentes, Ils ne savent pas encore que la plupart d’entre eux partiront quelques années plus tard sur les champs de bataille… et que malheureusement la plupart d’entre eux n’en reviendront pas !

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La Main Ensanglantée qui Étreint l’Allemagne en 1918

La-main qui Étreint illustrateur – A-MAUTHÉ – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

La Main qui Étreint

Illustrateur A-MAUTHÉ- édition DUMAS, 31 cours Gambetta, Lyon

Dos séparé – non circulé

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Il faudra encore attendre 2 ans pour que chaque doigt représentant un pays sur cette main ensanglantée se resserre complètement sur l’Allemagne et que l’armistice soit signé le 11 novembre 1918.

C’est le  lundi 11 novembre 1918, à 5hl5 du matin que l’Allemagne accepte les conditions d’armistice, mettant ainsi fin à quatre années de combats sanglants.

L’armistice sera signé au carrefour de Rethondes, au beau milieu de la forêt de Compiègne, dans le wagon N°2419D qui  été aménagé en bureau par la Société des Wagons-Lits pour le Maréchal Foch.

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Bon anniversaire à mon frère né le 11 novembre 1948 … et oui déjà 64 ans … que le temps passe vite .. trop vite ..!!


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carte postale de l’Église du Val de grâce – Vue prise de l’intérieur

Église du Val de grâce - cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

21  – Église du Val de grâce – Vue prise de l’intérieur

Dos séparé – non circulé

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Voila ce que l’on pouvait lire en 1900 sur  l’hôpital militaire et école du  le Val-de-grâce
277 bis, R. Saint-Jacques

Fondé par Anne d’Autriche sous le nom de « Val de Grâce de Notre Dame de la Crèche à l’occasion de la naissance de Louis, XIV.

Bâti en 1645 par Mansard Il Sert d’abord de Couvent aux Bénédictins,
  l’Église est surmontée d’un Dôme peint par Mignard, et séparée de la rue St-Jacques par une cour où se dresse la statue de Larrey.

Très vaste et magnifique Jardin, l’École et l’Hôpital sont situés à droite au fond de LA Cour.

Même organisation que tous les Hôpitaux militaires, mais servant en outre d’École d’Application où viennent passer un an les Docteurs en Médecine ou Pharmaciens sortant de l’École de Santé Militaire de Lyon, avant d’être nommés Médecins ou Pharmaciens.

 

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Artillerie Lourde de Campagne – les ‘Rimailho’ devant Aras

Artillerie lourde - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Artillerie Lourde de Campagne – les Rimailho « devant Aras

Illustrateur : F Chamouin

Dos séparé -circulé à découvert le 6 janvier 1916

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Carte postale illustrée de F.Chamouin.

L’artillerie lourde de campagne , les « Rimailho » étaient des canons du nom de l’artilleur et ingénieur français Émile Rimailho.

le 155 CTR Rimailho avait une portée très courte  et il fallait  le rapprocher le plus prés des lignes de feu, alors que les gros obusiers allemands portaient à douze kilomètres se tenant hors d’atteinte.

De plus c’est un matériel très lourd qui pèse trois fois le poids de 75 ce qui posait des problèmes pour les mises et sorties de batterie .
Afin de le rendre plus mobiles le capitaine Rimailho met au point un système de charriots ce qui permet de le transporter en deux fardeaux avec un chariot porte canon . Mais cela induit une manœuvre supplémentaire .

Les modèles ultérieurs mis en service en 1917 seront en un seul fardeau
Leur emploi systématique avec de fortes charges propulsives pour allonger cette dernière entraîna une usure prématurée des tubes, qui furent peu à peu retirés du service actif.

Il a été construit à 122 exemplaires et restera un service jusqu’à usure complète et au 1e Avril 1917 33 canons de ce type sont encore en service et en 1918 on n’en compte plus aucun
Au début de la guerre 4 obusiers de ce type étaient en dotation dans les Corps d’Armées

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Source et texte sur le site :   Maquetland

 

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