Le Cantal – Riom-ès-Montagnes – la Grande Rue

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Le Cantal pittoresque  – Rion-ès-Montagnes – la Grande Rue

E. F — L.U

édition Séguy -Dapon

Dos séparé – circulé à découvert

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Encore un fois le photographe est la distraction du jour pour le canton de Riom-ès-Montagnes .

En 1911 , ce canton de 8 communes abrite 10 228 habitants le député  et Maire est Monsieur Brun.

Les petits commerces de bouches  ne manquent pas  à Riom-ès-Montagnes  , 6 bouchers , 4 boulangeries , 11 épiceries , fromagers , charcutiers ,  etc etc .

Mais  surtout 16 cafés pour désaltérer les 10 228 Riomois et Riomoises de cette époque !

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Le Mans – Maison Colas – Ameublements

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COLAS , 98,Quai louis.Blanc, LE MANS

Goutal ,Photographe

Dos séparé – circulé à découvert en 1909

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En 1909 ,pas de mousse ni de compresseur chez la maison COLAS  pour confectionner un fauteuil  .

J’ai eu la chance de travailler en tapisserie  comme à l’ancienne , c’est à dire avec des matériaux noble comme le crin animal et le crin végétal ,pas de mousse ou  de sangles élastiques pour remplacer  les vrais ressorts  que l’on guidaient à la force du poignée .

Ce qui me fait  mal au ventre, c’est quand je vois un vendeur dans un grand magasin de meubles raconter que les fauteuils de style sont fait façon tapissier ,tout simplement parce qu’il y a  des clous dorés en finition .

Enfin ,si je peux vous donner un conseil et si vous voulez  vous acheter ou faire réparer un petit fauteuil de style ,allez voir un tapissier mais un vrai et demander lui de ne pas mettre de mousse ni de sangles élastique  et je peux vous assurer que dans 50 ans voir plus votre siège sera peut être défraichi mais toujours la !!

Voici deux sièges que j’ai fait parmi des milliers façon traditionnel !!

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Tournan – ancienne place du Marché au Blé

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Tournan – ancienne place du Marché au Blé

Malherbe .lib , tournan (S. -et- M.)

Dos séparé – circulé à découvert en 1907

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Au Moyen Age les foires de Tournan étaient très importantes :

– Une foire existait, près de l’église de la Madelaine , c’est à dire près de la poste actuelle, selon un document datant de 1182, sous Philippe Auguste.
– La foire au blé se tenait au pied du pont-levis, c’est à dire sur l’actuelle place du jet d’eau.
– Sous Henri III, les remparts de la ville tombaient en ruine. Pour financer ces réparations, les tournanais obtinrent en 1588 la création d’un octroi puis en 1595 l’autorisation de créer deux foires : l’une le 4 novembre, l’autre le lundi de la Pentecôte. Cette dernière date est toujours l’occasion de festivités.

A lire l’histoire de Tournan -en -Brie

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Villeneuve-l’Archevêque ( yonne ) Rue Gambetta

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Villeneuve-l’Archevèque ( yonne ) Rue Gambetta

André , photo ,éditeur

Dos séparé -circulé à découvert en 1920

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Belle animation sur cette carte de  la commune de Villeneuve-l’Archevêque .

les Villeneuviens prennent la pose pour être immortalisés sur une carte postale .

Regardez bien le curieux fagot de branches accroché à la potence à droite sur la carte , à votre avis a quoi pouvait-il bien servir !!

Cette question avait été posée sur le site cparama et la réponse est arrivée 160 jours plus tard .

Voici le texte qui explique tout sur ce qu’on appelle « le bouchon »

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Une ordonnance royale. Historiquement, le « bouchon » dont l’appellation provient du vieux français « bousche » (petite botte, petite gerbe) est le nom donné généralement au branchage que tout débiteur de boisson se devait de mettre à la façade de sa maison. Dès le XIVe siècle, nous trouvons trace de cette obligation. En 1680, une ordonnance royale dicte encore plus clairement à tout vendeur de vin « à huis coupé et pot renversé » : « Nul ne pourra tenir taverne sans faire déclaration, ni mettre bouchon. » Le bouchon ne serait donc que l’ancêtre de l’actuel droit de licence de nos débits de boisson instauré en 1816.

Dans de nombreux villages, la pose du bouchon avait lieu la veille de la fête du pays. Les « jeunes gens » (groupe d’âge pouvant aller des conscrits à tous les hommes non mariés) allaient déposer l’ancien « bouchon » (le brûlant parfois) et suspendre le nouveau de café en café, en échange de quoi le patron de chaque établissement se devait de l’arroser. Les bouteilles vides étaient alors accrochées au « bouchon ».

Du genévrier ou du sapin. Le bouchon devait être choisi dans une essence d’arbre à feuillage persistant. Dans notre région, c’était généralement le genévrier qui faisait les frais de cette tradition, et parfois le sapin. L’arbuste ou la branche était alors décoré de rubans de couleurs (dits « fleurets ») et accroché indifféremment cime en l’air ou en bas. Un inventaire réalisé à partir des cartes postales anciennes a permis de dénombrer 183 communes différentes dont les cafés, au début du XXe siècle apparaissent ornés d’un « bouchon ». Cela représente plus de 52 % des 349 communes que comptait alors le Loiret.

Ces communes à bouchon se situaient essentiellement en Beauce, Gâtinais occidental, Orléanais et Puisaye. Dans ces secteurs, la coutume a perduré encore assez longtemps. En 1962, Jean Driard déclare à propos du Gâtinais de l’Ouest : « On voit également dans ma contrée le bouchon de genévrier au-dessus de la porte des petits cafés de village, mais cela tend à se perdre ». On en trouve cependant encore trace, dans les années 1970, dans une dizaine de communes. Aujourd’hui rares sont celles, à l’exemple de Charmont-en-Beauce, Guignonville ou Gondreville-la-Franche, à maintenir la tradition.


 (texte pris sur le site "Loiret.com")


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Sancerre – Rue des trois Piliers

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9  –  Sancerre – Rue des trois Piliers

éditeur B.F., Paris (Berthaud frère)

dos séparé – circulé à découvert en 1906

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En cherchant quelques histoires sur la rue des 3 piliers  , j’ai trouvé quelques photos mais surtout ce qu’est devenue cette boucherie , après être restée sans repreneurs  .

je vous laisse lire une partie du texte tiré du berry.fr .

je trouve  l’idée intéressante et amusante ,discuter de livres en buvant un petit coup de sancerre

« cela me plait bien » !

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Rue des Trois-Piliers, à l’emplacement de l’ancienne boucherie Tissier, le futur café-librairie La Boucherie conservera le décor extérieur, pour rappeler l’antériorité historique des lieux. À compter du samedi 13 décembre 2008, la licence IV permettra de consommer toutes sortes de boissons, à l’intérieur ou dans la cour arrière qui sera aménagée en terrasse. « Ce ne sera pas un bistrot concurrent, ni un salon de thé, ni une bibliothèque », assure Olivier Bourdon.

Sur les rayonnages, on trouvera de la littérature contemporaine, des classiques, des romans, polars, livres de jeunesse, des ouvrages consacrés au vin ou à la gastronomie, à l’environnement, aux voyages. « Toutes les maisons d’édition » seront représentées ».

S’agissant encore du contenu culturel de l’établissement, son fondateur évoque la priorité à la convivialité des lieux, estimant « intéressant d’apporter des animations complémentaires : séances de lecture, contes pour enfants, apéro-concert, expositions, dédicaces, rencontres littéraires, conférence ».

Le café-librairie sera ouvert du mardi au samedi et le dimanche après-midi, au 4, rue des Trois-Piliers..


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