Athis-Mons – Café restaurant A.Desnoé

Athis-Mons-Café restaurant A-Desnoé

Athis-Mons-Café restaurant A-Desnoé – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Athis-Mons – Café restaurant A.Desnoé
éditeur A.Desnoé
dos séparé – non circulé
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Cette carte postale est bien connue des collectionneurs de cette ville d’Athis-Mons. Comme dit le proverbe, on n’est jamais mieux servi que par soi-même alors le propriétaire du café-restaurant-hôtel Desnoé a fait éditer cette carte postale par centaines voire par milliers. Ces petits éditeurs de fortunes étaient très nombreux à cette époque car il était facile de faire imprimer le cliché souhaité par un imprimeur ou éditeur établi et de faire marquer son nom comme éditeur. Ensuite les cartes postales étaient mises en vente généralement à 10 centimes la carte, laissant au passage un bénéfice au petit éditeur, qui d’une pierre deux coups faisait la publicité pour son établissement. 

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Levallois-Perret – La Rue de Courcelles en 1901

Levallois-Perret-la Rue de Courcelles

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133 -Levallois-Perret – La Rue de Courcelles 
éditeur C.M  ( éditeur Malcuit)
dos séparé – circulé sous enveloppe le 4 juin 1907
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Un petit tour à Levallois-Perret commune des Hauts-de-Seine dans les années 1900.
Au premier plan la Papeterie de Courcelles vend des cartes postales, la Gazette et le Républicain, un peu plus loin sur le même trottoir au numéro 41 le Restaurant Hallet et au 43 bis l’épicerie de la famille Petit.
Un petit détail sur l’éditeur de cette carte postale C.M., Sous ces deux initiales se cachait la maison « Malcuit », installé 3 rue Bourdaloue . Ces artistes éditeurs signèrent leurs cartes par les initiales C.M. ou E.M.

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Billancourt-Sortie des ouvriers des Usines Renault

Billancourt-Sortie des ouvriers des usines Renault

Billancourt – Sortie des ouvriers des usines Renault

Billancourt-Sortie des ouvriers des usines Renault
éditeur  E M ( E.Malcuit )
dos séparé – circulé à découvert le 5 novembre 1917
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Nous ne sommes pas encore à la sortie des usines de l’Ile Seguin, mais la marque Renault a déjà commencé à acquérir de nombreux terrains de Billancourt qui s’étend en petites parcelles, le long du quai de Billancourt, jusque vers la Place Nationale.
Malgré les nombreuses protestations des habitants de Billancourt, l’industriel Renault étend de plus en plus son territoire en installant ces ateliers dans les rues et sur les terrains de la municipalité. Mais c’est réellement en 1929 que Renault devient le maitre des lieux en acquérant la majeure partie de l’île Seguin, où il installe le cœur de son nouvel ensemble de production et qui sera reliée en 1928 avec le pont routier construit par Henri Daydé. Avant la Deuxième Guerre mondiale c’est plus de 30000 salariés qui sortiront de ces usines, après la guerre et dans les années 1960 Renault construira d’autres gros sites de production et diminuera les effectifs de Billancourt, la fermeture du site sera annoncée en 1989 mais c’est en 1992 que sortiront les dernières voitures de l’entreprise.

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Chalautre-La-Petite – Les vaches dans la Rue de la Fontaine-d’Orson.

Chalautre-la-Petite-la-rue-de-la-Fontaine-dOrson.

Chalautre-la-Petite-la-rue-de-la-Fontaine-dOrson.- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Chalautre – La Petite – La Rue de la Fontaine-d’Orson.
éditeur – A. Vernant 
Dos séparé – circulé à découvert le 13 février 1906
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Les vaches sont de sortie dans la rue de la Fontaine d’Orson à Chalautre-La-Petite.

Située à 4 kilomètres de Provins dans le département de la Seine et Marne, Chalautre-La-Petite est en 1910 une petite ville bien paisible de 518 habitants administrés par le maire monsieur Bouchet. A cette époque on compte 4 épiceries à Chalautre-La-Petite, Bourgeoisat; Devinat; Malbouvier; Noé (B) et l’épicerie tabac de Mr Verrier. Les autres petits métiers ne manquent pas non plus , le boucher Mr Trugeon ; le boulanger Mr Devinat; Le brossier Mr Berger; Les Charons, Mr Brignon et Tissier; les Marechaux, Mr Duchêne et Guilbert et le magasin de nouveautés de la maison Devinat-Fonbostier.

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29 Juin 1936 – Les ouvriers de l’atelier en grève lèvent le poing

les grèves de 1936

29 Juin 1936 – Les ouvriers de l’atelier en grève lèvent le poing – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Carte photo du 29 juin 1936 – Les ouvriers de l’atelier en grève lèvent le poing
dos séparé – non circulé

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Il ne m’a pas été facile de dater exactement cette carte photo, mais grâce à l’agrandissement du journal « l’humanité » tenu par deux des ouvriers de cet atelier, j’ai pu retrouver cette première page… la voici

Journal-de-L'humanite-du-29-juin-1936

Journal de L’humanité du 29-juin-1936

Voici ce que l’on pouvait lire en première page ce jour du 29 Juin 1936 sur l’humanité ( organe central du Parti Communiste) … Cinquante mille poitrines ont entonné le chant généreux de la « Marseillaise » et de « l’internationale » réconciliées. 

« Nous avons renouvelé la Fraternité populaire de 1789-92 » s’écriait hier, au gymnase Huygnens, devant tes délégués de 250.000 Français antifascistes, un radical du rang, Grosclaude. 

« Voici réconciliées la République et les traditions de la grande Révolution ! »
lançait, à la même heure ; devant la statue de Rouget de Lisle à Choisy, le ministre radical Pierre Cot. 

Voila donc affirmée encore la grande unité retrouvée de notre Histoire répondant aux mâles accents de la Liberté chérie. Et cette déclaration est faite devant une foule de peuple qui en atteste sur le champ la vérité, sous un soleil aussi chaud qu’à la fête de la Fédération, 146 ans plus tôt ! 
Là, sous les drapeaux tricolores et rouges, battaient du même rythme, aux éclats glorieux de la Marseillaise et aux accents fervents de l’Internationale, cinquante mille cœurs, celui de l’ouvrier communiste de cette banlieue – nouveau faubourg de l’ardent Paris – et celui du, sénateur Steeg, vétéran du parti radical. Continuer la lecture

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