Soirée de Contrat – Oui.. Nous nous aimerons Toujours.

Soirée de Contrat-photographe Stebbing - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Carte illustrée : photo de studio du photographe ; Stebbing Paris
éditeur étoile à 5 branches la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT

Oui ……. Nous nous aimerons Toujours.

Deuxième carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque, Stebbing. La pension est terminée pour cette jeune femme et le brevet est en poche, il est temps maintenant de trouver un mari…c’était très souvent les familles des futurs mariés qui se chargeaient de cette mission. Un contrat était passé entre les parents et les futurs époux sur les conditions de la dote, de l’avenir des futurs mariés, de l’argent et mobilier que les deux familles se proposaient à léguer à leur enfant le jour du mariage.

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Sortie de Pension de jeune fille en 1900 – Les Lycées de Jeunes Filles

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Sortie de Pension
photographe ; Stebbing Paris
Paris éditeur étoile à 5 branches
Je suis heureuse, voila mes derniers prix et mon brevet

Première carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque Stebbing

Ces quatre cartes postales vont nous montrer la vie que l’on espérait pour les jeunes filles de bonne famille dans les années 1900.
Après des études en pensionnat ou au lycée, les jeunes filles étaient prêtes à commencer leur (vie de femme.) !
Quelques mots sur les lycées en 1900, les Lycées de Jeunes Filles, organisés en France grâce aux efforts de Monsieur, Jules Ferry et Camille Sée, avaient pour but d’offrir aux Jeunes Filles un enseignement parallèle à celui des établissements secondaires de Jeunes Gens. La constitution administrative était réglée par la loi du 21 décembre 1880, complétée par décret du 14 janvier 1882. Le premier Lycée fondé en France a été celui de Montpellier. Paris possédait en 1900, 5 Lycées qui comprenaient chacun 3 sortes de régimes. 

Durée des Études : 5 ans, répartie en 2 périodes : 1° de 12 à 15 ans environ :
Classes de 1er, 2e , 3e années; 2° de 15 à 17 ans : Classes de 4e et 5e années.
On ne pouvait passer d’une Classe dans une autre sans examen, que l’élève subissait sur les matières enseignées dans l’année précédente. Les examens de 3e et de 4e années donnaient droit à des Certificats d’études analogues, l’un au Brevet Élémentaire, l’autre au Brevet Supérieur.

les matières enseignées étaient, la morale, la langue et la littérature françaises, les littératures anciennes, les Langues vivantes vantées, l’Histoire, la géographie, les mathématiques, la physique, et la chimie, l’Histoire Naturelle, l’économie domestique, le dessin, la musique vocale, les travaux à l’aiguille, la gymnastique. L’enseignement religieux était donné dans quelques Lycées, sur la demande des parents, tantôt à l’intérieur de l’établissement, tantôt à la paroisse, où l’on accompagnait les élèves, pourvu que ce soit en dehors des heures de classe; de même, pour laisser à la famille le plus d’initiative possible, on groupait les cours obligatoires dans la matinée et consacré surtout l’après-midi aux cours facultatifs.

Encore un mot sur cette marque et éditeur de cartes postales à l’étoile, elle était installée au 2, rue d’Amsterdam à Paris et contrairement à ce qu’on peut lire dans de nombreux livres sur la cartophilie la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT et non pas G. PIROT.

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Carte postale de Louville la Chenard- A cheval sur la place

en panne de clignotants

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Louville la Chenard-la place

Cliché Barette à Voves – éditeur Sévot

Dos séparé – timbre recollé

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Comme toujours à cette époque les braves gens de Louville-la-Chenard se sont déplacés pour être de la fête et bien sur être sur le cliché du photographe.
Sous l’œil amusé des Louvilloises et au beau milieu de la place trois Louvillois s’amusent à faire les pitres sur un cheval.
En 1900 Louville-la-Chenard est une petite ville de 523 habitants située à 28 kilomètres de Chartres et à 63 kilomètres de Dreux, son maire est Monsieur Leprince et le notaire Mr Poisson.
L’éditeur de cette carte postale « Sevot » n’est autre que l’un des deux aubergistes de Louville-la-Chenard, l’autre étant « Mardelet »… citons tous les noms des commerçants et des petits metiers qui ont fait vivre cette ville.
Les agriculteurs, Gidoin, Joseph, Marchon, Pelletier, Poisson; Le Bourrelier Mr Hubert; La Chapellerie Michaux; le marchand de draps Mr Phillissien; Les épiciers, M.Chaussie et M.Michau; Les Maréchaux Mr Auger et Mr Hy; Les meniers, Mr Guillot et Mr Sevestre; La tuilerie Siron-Boudon et bien sur le vétérinaire Mr Marquis.  
A noter le Château de Louville en 1901: Vte au Brossin de Méré.
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Ménars – Entrée du Pays en 1910 – Route de Blois

41-Ménars-Entrée du Pays-Route de Blois - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Ménars – Entrée du Pays-Route de Blois

éditeur – Talbot  – C.Vannier, photographe à Blois

Dos séparé – circulé à découvert en 1909

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Dans les années 1910, il était bien rare qu’une ville, village ou hameau n’est pas une carte postale avec cette légende « Entrée du Pays » ..!

En 1910, les 429 habitants de cette petite ville de Ménars ont élu Mr  Louis Gautier comme maire de la ville.

Situés à 9 kilomètres de Blois, les ménarsois et les ménarsoises vivent au rythme de la campagne, les agriculteurs à cette époque sont nombreux à s’occuper des terres autour de leur petite ville … citons quelques noms de ces hommes de la terre; Mr Bury, Mr Lahaye (A), Mr Masson, Mr Rabier Henri et Rabier Philippe.

Le boucher à cette époque porte un bien joli et marrant nom, Mr Routaboule vous prépare les plus beaux morceaux de viande pour votre pot au feu.

Comme toujours à cette époque, les commerces ne manquent pas.. et pour 429 habitants on compte 2 boulangeries, un charcutier, notre boucher Routaboule, 5 épiceries , 1 débit de tabac, 1 fromager et bien sur 6 cafés.

Un petit tour avec Street View sur Google Maps pour voir l’entrée de la ville de Ménars 100 ans après l’édition de cette carte postale

Vous remarquerez à droite de l’image que le kiosque au toit de paille est toujours à la même place.

Ménars-entrée de la ville 100ans aprés l’édition de la carte postale

Ménars – entrée de la ville 100ans après l’édition de la carte postale – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

 

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Se laisser Dorloter et ne rien faire – Petite fille et le chat

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Carte studio du photographe et éditeur Armand NOYER .

Dos séparé – circulé sous enveloppe en 1916

Se laisser Dorloter et ne rien faire,

Voila ce qu’avant tout ce paresseux préfère

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Aujourd’hui je pense comme le petit chat « Se laisser Dorloter et ne rien faire« 

Mais un petit mot quand même sur l’éditeur de cette carte qui signait « AN Paris en écriture ronde »

il s’agit du photographe et éditeur Armand NOYER .

Très connu des collectionneurs, Armand Noyer a été l’un des principaux photographes cartophiles de la première moitié du XXé siècle .

Des milliers de cartes lui sont attribuées,des scènes enfantines comme la série  » le petit prédicateur  » où son fils en est la vedette, en passant par des séries sur les stars du cinéma,

des As de l’aviation, des célébrités, des sportifs et bien sûr des cartes sur de nombreux autres thèmes.

On connaît deux adresses où Armand Noyer aurait exercé son métier ou habité ( rue des Deux Gares 7509 et rue Ravignan à Montmartre), mais j’aimerais préciser qu’en 1909, Armant Noyer « éditeur  » était installé au 37 boulevard de Strasbourg dans le XXé arrondissement de Paris , sa spécialité était les cartes postales au ‘Bromure Glacé viré’ et ne réservait sa vente en exclusivité qu’aux maisons de gros.

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