Cartes postales Anciennes de Baccarat – la Passerelle et les Cristalleries

Cartes postales Anciennes de Baccarat - la Passerelle et les Cristalleries

Cartes postales Anciennes de Baccarat – la Passerelle et les Cristalleries – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Baccarat – la Passerelle et les Cristalleries
éditeur :  A. Sampitié, receveur Buraliste, baccarat
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Allons faire un petit tour dans la célèbre ville de Bocorrot (en Lorraine) mais plus connue sous le nom Baccarat, célèbre pour sa cristallerie mondialement connu. La ville se trouve dans le nord-est de la France dans le département de Meurthe-et-Moselle. En 1910 la ville de Baccarat compte 6996 habitants administrés par le maire monsieur Adrien MICHAUT. À cette époque le commandant des sapeurs-pompiers est M. Mangenot et c’est l’armée du  Continuer la lecture

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Fabrique de lustrine – toitures en carton pétrifié « Asfaltina »- Terrasses en ciment volcanique « Andernach »

fabrique-de-lustrine

fabrique-de-lustrine

Fabrique de lustrine – Les toitures légères sont établies en carton pétrifié « Asfaltina » et les terrasses en ciment volcanique « Andernach ».
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Aujourd’hui, c’est un peu la carte mystère, j’ai vainement cherché à localiser exactement cette carte, mais en vain. j’ai bien trouvé des cartes similaires avec comme indication la région du Pas de Calais, mais sans aucune certitude. Bien sur si vous connaissez cet endroit merci de me laisser un commentaire. Alors parlons de ce qui était fabriqué dans cette usine ( à moins que je me trompe) La Lustrine était et peut être est encore une certaine étoffe de soie dont on distingue plusieurs sortes à savoir la Lustrine à poil, la Lustrine Continuer la lecture

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Au Pays du Champagne – Maison Moët & Chandon – La mise en Bouteilles

Au Pays du Champagne - Moët & Chandon

Au Pays du Champagne – Moët & Chandon – La mise en Bouteilles

Au Pays du Champagne – Maison  Moët & Chandon
La mise en Bouteilles ( 343) 
éditeur imprimeur – Choque -Epernay 
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Comment les bulles viennent au Champagne ?
L’élaboration du vin expliquée en 9 étapes :
Etape 1 – Les vendanges : à l’issue de la vendange, le raisin est pressé.
Etape 2 – La vinification du champagne commence classiquement comme celle du vin blanc. Le moût – jus de raisin qui n’a pas encore fermenté – est installé dans des cuves ou dans des fûts, selon les Maisons, pour que s’effectue la première fermentation dite « alcoolique ».
Etape 3 – Cette fermentation alcoolique est également appelée « transformation du sucre en alcool ».
Etape 4 – Composition de l’assemblage : la fermentation terminée, le vin toujours tranquille mais clarifié, est prêt à entrer dans la composition de
l’assemblage. Cette opération incontournable et primordiale intervient en général au printemps suivant la vendange. L’élaborateur détermine, à partir de ces vins tranquilles – dits « vins clairs » différenciés soit par l’année de vendange, soit par le cru, soit par le cépage – la composition de la future cuvée. Pour cela, il se fie à son expérience, à sa mémoire olfactive et sensitive ainsi qu’à son intuition.
Etape 5 – Mise en bouteille : une fois la cuvée mise au point, le vin reçoit des levures naturelles et quelques grammes de sucre, avant d’être mis en bouteilles. Ces dernières sont alors bouchées et couchées dans les caves champenoises creusées dans la craie.
Etape 6 – La deuxième fermentation beaucoup plus longue que la première commence. Le vin tranquille devient tout doucement effervescent et développe ses arômes dans le calme et l’obscurité. Un dépôt – constitué de lies à l’origine du bouquet du futur vin – doit alors être évacué.
Etape 7 – Le remuage est une opération qui consiste à amener tout doucement le dépôt vers le col de la bouteille, et ensuite au dégorgement qui permet l’expulsion dudit dépôt. Vient le moment d’ajouter dans la bouteille une liqueur, composée de vieux vins, à laquelle on ajoute une petite quantité de sucre de canne, dont la proportion varie selon le type de vin, brut, demi-sec ou sec.
Etape 8 – Le champagne est prêt : la bouteille peut être bouchée, muselée, habillée d’une collerette et d’une étiquette, et enfin coiffée d’une capsule.
Etape 9 – Le champagne peut être dégusté !
(http://www.epernay.fr/)

 

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Au Pays du Champagne – Moët & Chandon – Fabrication des Muselets

Au-Pays du Champagne - Moët & Chandon - Fabrication des Muselets

Au-Pays du Champagne – Moët & Chandon – Fabrication des Muselets

Au-Pays du Champagne – Maison  Moët & Chandon
 Fabrication des Muselets ( 350) 
éditeur imprimeur – Choque -Epernay 
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Passons trois jours au Pays du Champagne dans la maison Moët & Chandon. Sur cette première carte postale les femmes sont en-train de fabriquer les muselets de cette célèbre marque de Champagne. Le muselet est pour (mémoire) constitué de 3 parties : la ceinture en fil d’acier, le corps ou cage composé de quatre pattes et d’une tête en fil d’acier et la plaque ronde en fer blanc ( capsule) qui est aujourd’hui très collectionnée par les placomusophiles. Demain un petit tour à la mise en bouteilles…

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Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

28-Châteaudun-Phototypie Laussedat – Atelier des Machines – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Châteaudun – Phototypie Laussedat – Atelier des Machines

Dos séparé -non circulé

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Voici une carte peu courante et intéressante pour les collectionneurs de cet éditeur, on y voit l’intérieur de l’imprimerie Laussedat installée à Châteaudun.

Cette imprimerie a participé à de nombreuses éditions de cartes postales, certaines d’entre telles sont bien cotées.

À cette époque de l’âge d’or de la carte postale, les imprimeries spécialisées dans ce domaine ne chôment pas, c’est par millions que ces petits bouts de cartons de 14 cm par 9 cm vont sortir des ateliers.

Les cartes postales étaient constituées de 3 feuillets, le papier utilisé le plus souvent pour la phototypie était un papier laminé à grain ou à demi-grain;

La majorité des cartes postales de cette époque ont été imprimées par ce procédé aujourd’hui quasiment abandonné …!  Bien dommage ..  le résultat était pourtant si beau. Le principe avait été trouvé par Alphonse Poitevin en 1860 sous le nom de « photolithographie », le principe reposait sur la sensibilité à la lumière de la gélatine associée au bichromate de potasse.

je ne vous détaillerai pas toutes les étapes de ce procédé, mais pour simplifier on utilisait une plaque de verre recouverte d’une couche de gélatine bichromatée, le procédé consistait ensuite à mettre un cliché photographique sur verre en contact avec la plaque gélatinée et le passer sous une lumière ultraviolette. Après un long rinçage à l’eau et un bain de glycérine, la plaque passait sous un rouleau d’encre grasse avant d’être mise sur le plateau de la presse. Cette technique permettait rarement de produire plus d’un millier de cartes postales par plaque de verre.

 

 

 

 

 

 

 

 

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