CPA du Circuit de la Sarthe de 1906 – le Passage à Berfay

Circuit de la Sarthe de 1906-Berfay – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

13  – Circuit de la Sarthe de 1906 

Passage à Berfay

édition L.Joniaux – le Mans

Dos séparé-non circulé

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La petite balade continue sur le circuit de la Sarthe.

Nous voici arrivés dans la ville de Berfay.

Dans les années 1906 Berfay est une petite ville d’environ 580 habitants située à 8 kilomètres de Saint Calais et de 8 kilomètres de Vibraye

Le maire est Monsieur Genet ou Vivet  ( 1901 Vivet / 1911 Genet )

Citons quelques noms de commerçants de cette époque qui ont dù applaudirent ces fous du volant en 1906

Les épiciers : Brebion, Dupuis, Janvier, Senault; le Grainier: Louis Genet et  le Maréchal ferrant, Mr Halgrin.

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Circuit de la Sarthe de 1906 – Saint-Calais, les Treize -Vents

Circuit de la Sarthe de 1906-Saint-Calais -Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 12  –  Circuit de la Sarthe de 1906

Sortie de Saint-Calais, les Treize-Vents

édition L.Joniaux – le Mans

Dos séparé-non circulé

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Première petite carte postale sur quatre de ma collection.

Sur cette carte postale, pas question de course automobile .. mais plutôt un petit tour de balade sur le circuit de la Sarthe.

C’est une impression, mais notre conducteur a l’air de chercher son chemin !


Le mardi 26 et le mercredi 27 juin 1906, se  dispute le premier Grand Prix de vitesse de l’Automobile Club de France le départ sera donné à la sortie  du village de Montfort.

La course se déroulera  sur un circuit triangulaire  d’environ 104 km, ( Montfort , Le Mans, Ardenay, Bouloire , Saint-Calais, Berfay, Vibraye, La Ferté-Bernard, Connerré.)


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BARBIZON – Hôtel des Charmettes

Barbizon Hotel des Chaumettes - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

72   BARBIZON – Hôtel des Charmettes

éditeur -ELD (Ernest Le Deley)  A .SIRON.Édit. Barbizon

Dos séparé , circulé à découvert le 05/06 / 1906 .

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Il y avait du beau monde à l’époque à la sortie de l’hôtel restaurant des Charmettes de Barbizon.

Heureusement pour cette bande de joyeux drilles que l’alcootest n’existe pas, à coup sur il aurait viré au vert !!

Barbizon avant d’être cette ville mythique de la période pré-impressionniste etait qu’un hameau de boucherons.

Des 1830, de nombreux peintres viennent chercher l’inspiration cette ville située entre plaine et forêt elle deviendra très vite un lieu de prédilection pour tous les jeunes artistes.

Le peintre JK Bodmer a habité dans la petite maison qui se situe à la hauteur de la deuxième automobile sur la gauche de la cpa.

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La même vue 100 ans après

Barbizon 100 ans après

Photo google maps
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Paris Vécu – Les champs-Elysées

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Paris Vécu – Paris Vécu- Les Champs -Élysée
( N°26 )

L.J & Cie, éditeur , Angoulême – Paris

Dos séparé –  non circulé

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Pour nous situer,  l’homme se dirige vers la rue de Washington à la hauteur N° 100 de l’avenue des champs Élysée.

Comme on peut le voir sur cette carte les autos taxis mécaniques n’ont pas encore détrôné les fiacres hippomobiles.

Les premiers fiacres automobiles à essence datent environ des années  1903, et les clichés de cette série Paris Vécu on été pris entre 1901 à 1908.

Pour nous donner une idée vers 1890 Paris compte environ  75.000 chevaux pour environ  2,5 millions de parisiens, en 1900 2000 automobiles circulent à Paris pour plus de 17.000 chevaux utilisés pour les services des transports parisiens.

Mais le déclin des tractions hippomobiles est annoncé pour les transports parisiens.

Il commencera vraiment au début de la première guerre mondiale avec plus de 1500 fiacres envoyés à la casse, Les omnibus hippomobiles prendront le même chemin que les fiacres.

Seuls les particuliers, artisans et commerçants garderont encore quelque temps leurs attelages, les particuliers les plus fortunés pour se rappeler du charme des balades tranquilles vers le bois de Boulogne et pour les autres un moyen de travailler  plus économiquement  que l’investissement d’une automobile.



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Sapeurs Pompiers de la ville de Paris – Pompe à Vapeur

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2106- Service des SAPEURS-POMPIERS de la ville de Paris. Pompe à Vapeur à Traction Automobile.

édition ND Phot

Carte voyagée sous enveloppe. Timbre recollé sur l’image

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Le 1er juillet 1810, le prince de Schwarzenberg organise une soirée à l’Ambassade d’Autriche pour honorer le récent mariage de l’empereur Napoléon.

Vers 23h00, alors que le bal est ouvert, un incendie éclate avec une si soudaine violence que la panique désoriente une partie de l’assistance.

Une dizaine de morts est à déplorer.

L’insuffisance du système de sécurité est mise en évidence dans le procès-verbal dressé à la suite de ce drame. L’attention de Napoléon 1er est, de ce fait, attirée sur l’organisation de la lutte contre le feu à Paris. Par décret impérial du 18 septembre 1811, il confie cette mission à un corps militaire, le Bataillon de sapeurs-Pompiers de Paris.

Cette unité devient régiment en 1867 puis Brigade de sapeurs-Pompiers de Paris le 1er mars 1967.


Texte : Les soldats du feu


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