Carte Postale Ancienne de Chateaumeillant ( Cher) Intérieur de ferme

Carte Postale Ancienne de Chateaumeillant ( Cher) Intérieur de ferme

Carte Postale Ancienne de Chateaumeillant ( Cher) Intérieur de ferme

Carte Postale Ancienne de Châteaumeillant ( Cher) Intérieur de ferme – Allons faire un petit tour à 36 km de St-Amand dans la commune de Châteaumeillant, située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire. Impossible pour moi de situer exactement cette ferme, est-ce que cet endroit est toujours une ferme ou une maison d’habitation… ? Si vous avez la réponse, n’hésitez pas à me laisser un commentaire. Mais revenons à Châteaumeillant à la belle époque et plus exactement en 1900. À cette époque, la ville compte 3 790 Castelmeillantais et Castelmeillantaises, administrés par le maire M. Jean Bourin. Quelques mots sur la vie des paysans en 1900, bien sûr l’électricité n’est pas encore d’actualité, pas d’eau courante et c’est au puits ou à la fontaine que l’on va remplir les seaux, pas de salle de bains, juste une bassine posée sur une table. Pour les WC, une petite cabane au fond du jardin équipée d’une Continuer la lecture

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Carte Postale Ancienne de Longperrier – Retour des champs

Longperrier – Retour des champs

Longperrier – Retour des champs – Située dans le département de Seine-et-Marne à 23 kilomètres de Meaux, Longperrier en 1900 compte 359 habitants administrés par le maire M. Sainte-Beuve. Difficile de savoir à qui appartenaient ces bœufs même si à cette époque deux agriculteurs sont installés sur la commune M. Louis Bouchard et Alfred Sainte-Beuve. Pour se désaltérer en 1900, on pouvait toujours aller au bar de la Veuve de M. Lebœuf, chez M. Maille, M. Pasquier ou chez Léon Moreau. Citons quelques noms de cette époque qui ont fait vivre cette commune et commençons par les Charcutiers M. Margotteau et M. Pasquier, le Charron M. Bernard, le Marchand de cidre en gros M. Michel-Dufour, les Cordonniers M. Dumont et M. Maille, le Vannier M. Bélouis et terminons par le Menuisier M. Lemaitre et le Maréchal ferrant M. Ersnest Berlot. Non loin de cette rue Vivier se trouvait une mare alimentée par une source venue d’un pré voisin. Cette mare servit longtemps d’abreuvoir, mais fut abandonnée et comblée avec l’arrivée de l’eau courante dans le village.  

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Cartes de Collections de la ligue du coin de terre et du Foyer de Pithiviers

Cartes de Collections de la ligue du coin de terre et du Foyer de Pithiviers

Cartes de Collections de la ligue du coin de terre et du Foyer de Pithiviers – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Cartes de Collections de la ligue du coin de terre et du Foyer de Pithiviers
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LA LIGUE DU COIN DE TERRE ET DU FOYER, a été fondée en 1896 par l’Abbé Lemire. L’abbé sera à l’origine du développement en France des jardins ouvriers.
 « Voici le paragraphe 3 du statut de la ligue du coin de terre et du Foyer
qui résume bien son but et son esprit . Premièrement, d’assurer la jouissance permanente et, autant que possible la propriété d’un coin de terre à cultiver et d’une Habitation convenable, pour toute famille, honnête et laborieuse.
2° De soutenir les sociétés pour la construction d’habitations
ouvrières à bon marché et les coopératives qui ont le même but.
 3° D’amener les oeuvres et les institutions de charité privées ou d’assistance publique à procurer à leurs assistés un coin de terre insaisissable et à leur y faciliter la construction d’une maison.
4° D’engager l’État, les départements et les communes à poursuivre le même but dans l’usage de leurs biens.
5° De favoriser toutes donations ou legs affectés à des oeuvres semblables.
6° De réclamer le vote de lois déclarant insaisissable et exemptant d’impôt un bien de famille minimum et facilitant l’acquisition, la conservation et la transmission de ce bien. 7° De constituer des caisses de loyer.
8° D’intervenir auprès des pouvoirs publics pour obtenir des règlements conformes à l’hygiène et à la morale dans les questions de voirie et de construction de maisons ouvrières.
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Carte Postale Ancienne – Salon et Foire Nationale de semences

Carte Postale Ancienne - Salon et Foire Nationale de semences

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3e Salon et Foire Nationale de semences, Grand palais des champs-Elysées, Paris 1924 – Rc 24330 Lille. 
éditeur Nobécourt
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L’établissement Alphonse Bataille est venu de Fretin dans le nord, pour exposer leur semence de première qualité au troisième Salon de la Machine agricole. Du 19 janvier au 27 le grand Grand-Palais des Champs-Elysées a ouvert ses portes aux constructeurs français et étrangers qui rivaliseront de zèle pour faire valoir leurs machines et leurs instruments aux agriculteurs. En même temps que le Salon de la Machine agricole, se tenait la troisième Foire nationale de semences,. M. Rousset, directeur des Services agricoles de la Seine, était le commissaire général. Cette année 1924 laissera une place spéciale à la préparation des graines de betteraves à sucre.

 

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Auneau – La-Culture en Beauce – Le Labour

Auneau-La-Culture en Beauce - Le Labour

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Auneau ( E et L.) – La-Culture en Beauce – Le Labour
Nouvelle collection Porchert Auneau  
Dos séparé – circulé à découvert en 1931
( Timbre 15c exposition Coloniale internationale )
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Restons avec nos agriculteurs avec cet attelage de deux chevaux tirant cette charrue. Il existe des centaines voire certainement des milliers de cartes représentant ce moment si important en agriculture qu’est le labourage, mais a chaque région son attelage et sa charrue. Bien sûr la technique de labourage est bien souvent la même, mais le nombre et l’espèce animale attelés changent selon la région mais aussi selon les moyens financiers de l’agriculteur. Il n’était pas rare de voir des attelages de quatre voire six boeufs ou chevaux dans certaines régions ou des attelages mixtes mettant le cheval en avant suivi des boeufs pour tirer la charrue. Bien sûr ce labourage animal sera doucement évincé par l’arrivée du tracteur. Dès 1938 c’est plus de 30000 tracteurs utilisés en France et plus de 140000 en 1950 qui signent quasiment la fin des attelages bovins et hippomobiles … une diminution de la fatigue et l’augmentation de la production font dorénavant du tracteur l’outil indispensable de l’agriculteur.   

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