En Bourgogne – Le repas des vendanges

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2  . En Bourgogne – Le repas des vendanges

Cliché Ismaël sens

Dos séparé -circulé sous enveloppe

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Je trouve cette carte particulièrement belle , et vous !

Au verso la correspondance est intéressante et témoigne d’une grande amitié entre deux camarades d’une même ville séparé par leur travail.

J’aime aussi cette façon de l’époque de terminer la correspondance avec un ami en écrivant.

« Cordiale et ferme poignée de main « , ton ami

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Vernantes – La Gare

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Vernantes (M.-et-L.)  –  La Gare

Collection Bergeau

Dos séparé – circulé à découvert en 1927

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Petite ville de Maine et Loire ,Vernantes appartient à l’arrondissement de Saumur et au canton de Longué-Jumelles.
Au recensement de 2006 ,  on compte 1 900  Vernantais, Vernantaises.

Pour vous donner une idée en 1911 ,Vernantes avait 1865 habitants ,6 aubergistes , 3 boulangeries ,3 bouchers et 5 épiceries .

Je serais curieux de savoir le nombre de petits commerces qu’il restent aujourd’hui à Vernantes.

Si vous pouvez me renseigner ,laissez moi un commentaire ,merci !

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Carte Photo – Grand Hôtel Crozatier à Paris 12

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Carte Photo

Grand Hôtel CROZATIER

Dos séparé – circulé  sous enveloppe

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Une carte photo relativement facile à localiser quand on possède un Bottin Didot de Paris de 1909 .

Le café appartient à Monsieur RIFFLET , 13 rue Crozatier à Paris ,en 1909 la blanchisserie n’est plus ou n’est pas au nom de Perrin  (n’ayant aucune date apparente sur la carte ,rien d’étonnant )

Mais pour confirmer cette localisation « le Grand  l’hôtel Crozatier existe bien au 13 de cette rue en 1909 .

voila ,encore une carte photo à classer dans Paris 12 éme arrondissement !

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Laitiere Flamande – Attelage de Chien

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Laitière Flamande .

E.G. Déposé . Série 2.N.5

Dos simple , circulé à découvert en 1905

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Au XIXème siècle, le chien devient le cheval du pauvre, nombreuses corporations de petits métiers et de gagne-petit  se servent de ce style d’attelages, marchandes de lait, rémouleurs, marchandes de 4 saisons, Chiffonniers, mutilés de guerre, infirmes formeront la grande majorité des utilisateurs.

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Établissement du Robinson de brévannes

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ÉTABLISSEMENT DU ROBINSON DE BRÉVANNES ( S-et-O)
La Glissade Aérienne,12 mètres de Longueur.

Édition Bron -Dos séparé

circulé à découvert en 1913

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Guinguettes de la banlieue parisienne
La plupart des établissements étaient situés près d’un cours d’eau ou d’un lac. Cependant, certains se sont installés dans des lieux insolites, mais toujours joignables de la capitale par le chemin de fer.

Les guinguettes de Robinson en sont l’exemple typique.

Installées dans et autour de châtaigniers centenaires, elles apportaient au Parisien une note d’exotisme, de retour à la nature, si cher à Jean-Jacques Rousseau. Aussi, il n’est guère étonnant qu’elles se soient édifiées dans cette Vallée de Chevreuse qu’il connaissait si bien. Construites dès 1848, des cabanes en bois étaient perchées en haut de ces arbres où l’on servait le déjeuner dans des paniers hissés par des cordes. Des attractions agrémentaient le lieu, comme la promenade à dos d’âne.

Les cabanes dans les châtaigniers à Robinson.
On doit la popularité de Robinson à des établissements bal-restaurants construits dans de grands châtaigniers. Le Val d’Aulnay, domaine qui sépare le Plessis (Piquet) de Châtenay-Malabry, est en effet très boisé et notamment en châtaigniers.

En 1848, Joseph Gueusquin, amateur des récits de Robinson Crusoé, eut l’idée d’installer dans les plus gros châtaigniers des plateformes et autres cabanes reliées entres elles. Il y établit un bal-restaurant sous l’enseigne de « Grand Robinson ». Celui-ci fut rebaptisé « le Vrai Arbre » en 1888. La mode est lancée et le Tout-Paris se presse les dimanches à Robinson pour fréquenter la dizaine de guinguettes construites entre la deuxième moitié du XIXe et le début du XXe siècle.

La ligne de train est spécialement prolongée jusqu’à Robinson et la station de train Sceaux-Robinson est construite en 1895.

Les guinguettes de Robinson deviennent un des hauts lieux de la fête et attirent de prestigieux invités tels que le tsar de Russie et le roi d’Espagne.

Les plus célèbres guinguettes de Robinson : « Au Vrai Arbre », « Le Grand Arbre », « l’Arbre des Roches », »au Grand Saint-Eloi », « La renommée des pommes de terre frites » et « L’Ermitage » …

On voit que le succès fut si grand que ces établissements se firent concurrence, si bien que, ne sachant plus ensuite lequel avait été le premier, chacun y allait de sa publicité « Au Vrai Arbre », un peu comme pour la « vraie » source de la Loire ! La commune prit même le nom officiel du Plessis-Robinson, tant la renommée de ces guinguettes profitait à la commune.

L’inauguration de la ligne de Sceaux, futur R.E.R. B, en 1946, a ensuite bien facilité leur accès… mais c’était pour voir la fin de cette épopée.


Texte : Culture Guinguette
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