Attelage de chien sur l’ile de Saint Pierre et Miquelon

Attelage de chien sur l'ile de Saint Pierre et Miquelon

Attelage de chien sur l’ile de Saint Pierre et Miquelon

Attelage de chien sur l’ile de Saint Pierre et Miquelon
éditeur M. Bréhier saint Pierre 
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Dans les années 1920 les Saint Pierrais sont au nombre de 3900, le maire est monsieur Gloanec et le gouverneur M. Bensch. Situé à 20 kilomètres de la côte ouest de Terre-Neuve Saint-Pierre à cette époque est très réputé pour la pêche à la morue. En 1925 les armateurs pour la pêche installés sont nombreux en voici quelques noms, la pêcherie de Fécamp, la pêcherie de France, les pêcheries nouvelles d’Arcachon, M. Huret de la morue Française et la pêcherie de France. Bien sur, pas de morue exportée sans les sécheries de M. Cordon, M. Gauvain, M. Legentil, M. Lespagnol et M. Nicolas, tous installés sur l’ile de Saint-Pierre. Sur cette carte postale on peut voir un chien tirer une petite charrette bien chargée pour un si petit animal. Rappelons que dès 1824 des interdictions et des réglementations sur ces attelages à chiens sont décidées par quelques préfets français. En 1897, 59 départements permettaient encore la circulation des voitures à chiens, 28 l’interdisant formellement et c’est l’une des raisons pour laquelle on ne trouve pas des cartes postales de ces attelages dans tous les départements de France. ( Les cartes les plus recherchées et les plus cotées sont bien évidemment localisées dans les départements interdisant cette pratique d’attelage ).

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Nogent – Le Perreux – Les bords de la Marne et l’ile d’amour

Carte postale Ancienne-Nogent-Le perreux-Les bords de la Marne-l'ile d'amour

Nogent-Le perreux-Les bords de la Marne-l’ile d’amour

Nogent-Le Perreux – Les bords de la Marne et l’ile d’amour
éditeur E.M
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L’Ile d’Amour, on dit que les femmes de petites vertus amenaient leur amant d’un jour sur cette ile d’Amour, quand il était repu et bien endormi, elle le délestait de son argent et repartait avec la barque le laissant sur l’île… à jurer, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.

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