Le Saint Bernard – Barry – Sauveteur qui sauva 40 personnes

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Asnières – Le Chien Sauveteur au cimetière des Chiens

Barry (du Grand Saint-Bernard)

Il Sauva la vie  à 40 personnes ,Il fut tué par la 41éme !..

éditeur : B.F.,Paris

Dos séparé circulé à découvert en 1906

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Voici ce que l’on pouvait lire en 1816 dans l’Almanach Bernois « Alpenrosen »

Pendant douze ans, Barry travailla et fut fidèle à son service envers les malheureux. Seul il a sauvé plus de quarante personnes.

Le zèle qu’il déployait était extraordinaire.

On n’eut jamais besoin de l’exhorter au travail.

Sentait-il un homme en danger, aussitôt il courait à son aide.

S’il ne pouvait rien faire, il retournait au couvent et réclamait du secours par ses aboiements et son attitude.

 

 


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Le Repos Hebdomadaire – Les Déjeuners sur l’herbe

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143 – Le Repos Hebdomadaire

Les Déjeuners sur l’herbe

E.Faciolle,ohoto-édit;Le Perreux

Dos séparé -circulé à découvert en 1911

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Après un rude combat contre le patronat ,les ouvriers peuvent enfin profiter de leur dimanche  pour respirer  l’air pur de la campagne proche de Paris ,sur cette carte nous sommes certainement sur les bords de Marne :  (Perreux ,Champigny ,Nogent ,etc !)

*Trente ans avant les congés payés arrachés par la grève généralisée lors du Front populaire, la CGT obtient enfin le dimanche chômé.
Mais aujourd’hui c’est le lundi de Pentecôte que les pouvoirs publics suppriment.

Le 13 juillet 1906, le Parlement vote la loi Sarrier, instaurant le repos dominical obligatoire de 24 heures pour les ouvriers et les employés de commerce. Mais la bataille fut rude pour obtenir cette avancée, parfois même contre des personnes inattendues.

Ce combat se situe dans le contexte de l’abaissement du temps de travail. La loi du 30 mars 1900, appliquée à partir de 1904, instaure la semaine de 60 heures.

Nous sommes encore loin des quinze jours de congés payés de 1936, mais le dimanche chômé est le bienvenu, d’autant qu’il revient de loin. Ce repos dominical avait été précédemment instauré le 18 novembre 1814, sous la pression de l’Église qui souhaitait que les travailleurs puissent se rendre à la messe du dimanche matin. Mais, le 12 juillet 1880, cette loi est abrogée par des députés anticléricaux bornés qui n’ont pas compris qu’ils renvoyaient ainsi à l’atelier des ouvriers brisés par la fatigue.

Pourtant, le grand penseur anarchiste, Proudhon, peu soupçonnable de «jésuiterie curaillonne», avait publié une brochure au titre évocateur: «De la célébration du dimanche considérée sous les rapports de l’hygiène publique, de la morale, des relations de famille et de cité». Dans la même veine, le docteur Féré écrivait à cette époque: «Le repos hebdomadaire autorise une restauration des poumons, un rétablissement de la circulation sanguine et de l’activité sensorielle, un apaisement du système nerveux, une reviviscence des capacités d’attention et de raisonnement logique. Le respect du dimanche désamorce le surmenage.»*


*Texte : Force Ouvrière Hebdo n°2776*
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Verdelot – Le Pont de la Fée

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Verdelot  ( S et M )  –  Le Pont de la Fée

Phototypie Brindelet ,39,rue St – Nicolas,Ferté-s-Jouarre (S-et-M) Plaque Jougla

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Tu te souviens du pont qu’on traversait naguère pour passer la rivière tout près de la maison le petit pont de bois qui ne tenait plus guère que par un grand mystère et de piquets tout droit. ( Et non ce n’est pas le petit pont d’Yves Duteil).

Le pont est celui de la fée et les vaches dans la rivière sont la propriété des fermiers de la ferme de la fée située sur la commune de Verdelot ,petite ville en 1900 de 938 habitants située à 23 kilomètres de Coulommiers .

A cette époque le Maire de Verdelot est Monsieur Morigneau et le commandant des sapeurs pompiers est Monsieur Herbin .

Comme d’habitude à cette époque, les commerces et petits métiers ne manquent pas dans cette petite commune :

7 aubergistes , 1 boulanger (M.Navarre), 1 Charcutier (M.Devaux), 3 épiciers , 1 maréchal ferrant (M.Loubinoux ),1 médecin (M. Lemaire ), 2 Meuniers , 1 menuisier ( M.Royé ), et bien d’autres petits métiers et commerces !!


 

 


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Les Mureaux – Rue Maurice-Berteaux

 

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13 . – Les Mureaux ( S.-et O.) – Rue Maurice-Berteaux

Phototypie L’abeille Paris

Dos séparé -non circulé

Dans les années 1910 ,les Mureaux est une ville d’environ  2,230 habitants ,située à 30 kilomètres de Versailles et 41 kilomètres de Paris.

En 1911 le Maire est Monsieur Auber et le lieutenant des sapeurs pompiers est Monsieur Marie.

Sur cette carte deux noms sont écrits sur la façade des maisons .

La maison ‘Gezequel’  était une épicerie  ,ce qui est incroyable c’est le nombre d’épiciers dans cette ville en 1911 ,pas moins de 14 épiciers pour 2,230 habitants, une épicerie pour 159 habitants !!

Le deuxième nom ‘L.Paré’ est l’une des trois boucheries des Mureaux à cette époque .

On aperçoit devant la boucherie L.Paré un cheval ,certainement un attelage de livraison .

A la différence des autres boutiques de l’époque , j’ai remarqué que les boucheries étaient  équipées de grilles métalliques d’environ 1 mètre de hauteur fixées devant la portes d’entrée .

je ne vois pas trop l’utilité de ces grilles ,à part le fait d’éviter que les chiens entrent dans la boucherie sans y avoir été invités !

Si vous avez une autre explication de l’utilité de ces grilles ,merci de me laisser un commentaire .


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Vimpelles – Route de Bray – Café Tabac – Maison PICHOT

Café tabac maison Pichot - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

955 . Vimpelles – Route de Bray – Café Tabac – Maison PICHOT

Photo Édit .E Mignon,Nangis ,Seine et Marne

Dos séparé -non circulé

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Carte de Vimpelles qui malgré le peu d’animation est très appréciée des collectionneurs de cette ville.

On y voit la famille Pichot presque au complet devant leur établissement.

La ville de Vimpelles se situe à 19 kilomètres de Provins et de Donne-Marie-en-Montois et à 103 kilomètres de Paris.

En 1911 ,le maire est Monsieur Cocardau et le commandant des sapeurs pompiers est monsieur Blanc .

Sur les 489 habitants de cette petite ville ,signalons les noms des 5 agriculteurs de Vimpelles : M.Boursier ,R.Faucillon , R.Picard , Vve Poulain et G.Thibault .

Quelques petits commerces sont installés dans la ville , le Boucher -charcutier Monsieur Lenoir , les épiciers marchands de vin , Delaroche,Hautin, Pelletier , Rothenfluh à Cutrelles.

L’unique entreprise de maçonnerie  « Martin » s’occupe de la réfection et de la construction des maisons et fermes de Vimpelles !

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