Orleans – Brasserie Gavot freres – Lavage des Fûts

Orleans - Brasserie Gavot freres - Lavage des Fûts

Orleans – Brasserie Gavot frères – Lavage des Fûts – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Brasserie Gavot frères – Orleans – Le  Hall – Lavage des Fûts
dos séparé – non circulé 
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Orléans a longtemps été considéré pendant des siècles comme la capitale française du vinaigre de vin, mais en 1900 on fabrique aussi une boisson traditionnellement produite dans le nord de la France. Deux brasseries à cette époque ont déjà obtenu des distinctions pour leur bière. La première est la brasserie Schmetz qui changera de nom à plusieurs reprises pour fermer définitivement ses portes en 1939. La deuxième est la brasserie Gavot, appelée aussi brasserie du Héron car dès 1870 François Philippe Gavot installe une brasserie au 18 de la rue du héron et 3 rue des Trois Maillets, la brasserie cessera son activité en 1951 .

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Carte postale Ancienne de la Brasserie Bofinger

Brasserie Bofinger - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Bofinger

Carte publicitaire de la brasserie Bofinger 

Dos séparé – non circulé

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Le  Colmarien Frédéric Bofinger ouvre en 1864, l’ établissement « éponyme ».

Après l’annexion de l’Alsace par la Prusse, de nombreux Alsaciens se sont regroupés dans le quartier du Marais et du Faubourg Saint-Antoine pour y exercer le plus souvent les métiers du bois.

L’établissement de Bofinger sera le  premier endroit de Paris où l’on pourra boire la bière à la pompe, il faut rappeler qu’à cette époque, la bière était servie comme le vin.

Dans les années vingt de la belle époque l’établissement sera repris par le gendre de Bofinger qui décidera de transformer l’établissement en un lieu somptueux .

L’architecte Legay, le décorateur Mitgen, les maîtres verriers Néret et Royé feront de cet endroit le lieu culte que l’on connaît aujourd’hui.

En 1989, la brasserie Bofinger sera classée à l’Inventaire des Monuments Historiques, protégeant ainsi cette brasserie.

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Voici une petite vidéo you tub sur la brasserie Bofinger qui vous donnera peut-être envie d’y aller déguster une bonne choucroute.

C’est un appel de l’estomac, mais si le directeur de la brasserie Bofinger regarde mon site je suis disponible pour une invitation pour 2 personnes le jour de sa convenance !

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SÈVRES. – Brasserie de la Meuse

Brasserie de la Meuse - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

A.D. Paris . – SÈVRES. – Brasserie de la Meuse

Dos séparé – non circulé.

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En 1900, l’usine produit 60000 hectolitres par an et emploie une centaine d’ouvriers. La diversité (blondes, brunes) et la qualité des bières produites à Sèvres s’impose rapidement sur le marché parisien, devant les bières allemandes et autrichiennes.

Lors de la première guerre mondiale, l’entreprise n’est pas affectée et contribue à « l’effort de guerre » en accueillant dans les carrières un abattoir de porcs et une fabrique de salaison. L’usine est modernisée par l’installation de nombreuses machines allemandes. Il fut notamment installé un système de refroidissement composé de tuyauteries remplies d’eau salée. Un grand nombre de cuves de fermentation en béton furent également construites au second niveau de la carrière.

La Brasserie de la Meuse ,Hors concours ,Membre du Jury .

Exposition ,Universelle de Paris en 1900.

Siège social à Paris ,au 29 rue de la Chapelle.

Usine à BAR-LE-DUC (Meuse) et à Sèvres (S et O)

(*Voila ce que l’on peut lire sur le Bottin DIDOT de 1901.*)


Bock publicitaire dés années 1900

Bock publicitaire dés années 1900


Tout savoir sur les caves Brasserie du Roy sur ce site vraiment très intéressant


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