CPA Tout paris- Abattoirs de la Villette – Arrivage de Bestiaux

CPA Tout paris- Abattoirs de la villette - Arrivage de Bestiaux

CPA Tout paris- Abattoirs de la villette – Arrivage de Bestiaux- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tout paris- Abattoirs de la Villette – Arrivage de Bestiaux
éditeur F. Fleury 
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La grande histoire des abattoirs de la Villette commence en 1859 quand il est décidé de construire des abattoirs et un marché à bestiaux et se terminera dans les années 1970. Quelques détails sur les abattoirs de la Villette, le plus important avec 180 échaudoirs, 324 bouchers, 24 charcutiers. Des étables contenants 2947 bœufs, 1500 veaux, 9725 moutons. Le Mardi et Vendredi (lendemains de marché), sont les jours de grandes tueries. On abat en hiver par jour, 1200 bœufs, 800 moutons et 500 veaux. Par an en gros bétail, 252000 têtes, 205000 veaux, moutons et Chèvres 1676000 et 23000 porcs.les viandes sorties en Boucheries sont de 126 millions de Kilos par an et 16 millions de Kilos en charcuterie.
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Les Abattoirs de la Villette – La Criée

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Les Abattoirs de la Villette – La Criée
dos séparé – circulé à découvert en 1905 
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Avant d’être passées à la criée toutes les viandes étaient pesées. Chaque lot pesé était revêtu d’une étiquette détachée d’un livre à souche tenu par le préposé. Un receveur nommé aussi par la ville était chargé du recouvrement des droits. La viande vendue à la criée étant considérée comme vendue en entrepôt et devait acquitter à la sortie de l’abattoir un droit de 0,12 centimes par kilogramme à l’octroi. Des ouvriers appartenant aux courtiers étaient chargés de livrer aux bouchers les lots de viande qu’ils avait achetés. Ce travail etait rétribué à raison de 0,10 centimes par lot.

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Abattoirs de la Villette – Le Comptage des peaux

Abattoirs de la villette -comtage des peaux

Abattoirs de la Villette -comptage des peaux

F.B   349    Paris  –  Abattoirs de la Villette – comptage des peaux
éditeur F.B
Dos séparé – non circulé
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On récupère et on compte les peaux aux abattoirs de la Villette, les peaux seront ensuite salées ou séchées pour être conservées, trempées, tannées et passeront ensuite par le refendage et le dérayage pour ensuite repasser par un re-tannage et la teinture.   

 


 

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Carte postale des Abattoirs de la Villette – égorgement du veau

Abattoirs-de-la-villette-égorgement-du-veau

Abattoirs-de-la-villette-égorgement-du-veau

Abattoirs de la Villette – égorgement du veau
éditeur F.B
Dos séparé – non circulé
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Âmes sensibles, s’abstenir de regarder cette carte postale.!
La grande histoire des abattoirs de la Villette commence en 1859 quand il est décidé de construire des abattoirs et un marché à bestiaux et se termine dans les années 1970.

Quelques détails sur les abattoirs de la Villette, le plus important en 1900 avec 180 échaudoirs, 324 bouchers et 24 charcutiers.
Des étables contenants 2947 bœufs, 1500 veaux, 9725 moutons. Les lendemains de marché « Mardi et Vendredi », sont les jours de grandes tueries.
On abat en hiver par jour, 1200 bœufs, 800 moutons et 500 veaux. Par an en gros bétail, 252000 têtes, 205000 veaux, moutons et Chèvres 1676000 et 23000 porcs.
Les viandes sorties en Boucheries représentent 126 millions de Kilos par an et 16 millions de Kilos en charcuterie.

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Paris – Abattoirs de la Villette en 1900 – Grattage des Moutons

Abattoirs de la Villette-grattage des moutons

Abattoirs de la Villette-grattage des moutons

Paris – Abattoirs de la Villette – Grattage des moutons
éditeur F.B
Dos séparé – non circulé
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En 1906, on compte en France 912 abattoirs. Dans un important volume qu’il vient de consacrer à la question, Monsieur de Loverdo, ingénieur sanitaire, s’exprime ainsi sur leur compte : « On ne saurait mieux les comparer, à quelques exceptions près, qu’à ces anciennes maisons des quartiers du centre de Paris, aux appartements bas et sombres, aux pièces à alcôves fermées, aux cabinets d’aisances sans jour ni air, aux escaliers obscurs et gluants, aux cours humides et infectes » Le plus considérable de tous par son étendue, celui de la Villette n’est pas le moins critiquable. L’an passé, le docteur Moreau montrait avec force tous les inconvénients qu’il présente.

Chose curieuse : il y a cent ans, la situation était meilleure que maintenant. 

Les premiers abattoirs français, construits de 1780 à 1812 à Rochefort, Blois, Grenoble, Orléans valaient mieux que ceux d’aujourd’hui. Dans leurs lignes

générales, ils se rapprochaient davantage des modernes d’Allemagne, 

qui peuvent passer pour des modèles, que de ceux qu’on a bâtis chez nous au dix-neuvième siècle. Continuer la lecture

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