Croix Rouge Française-Société de Secours aux Blessés Militaires

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Société de Secours aux Blessés Militaires

191. – Hôtel Camastra ,magasin généraux,Vêtements.

Dos séparé – Circulé le 26 juillet 1915

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Le 25 mai 1864, Henri Dunant crée la Société de Secours aux Blessés Militaires (S.S.B.M.) pour venir en aide aux blessés militaires en campagne.

Peu de temps après, a son initiative, le 22 août 1864 est signé La convention de Genève par 16 Pays.

Durant la guerre franco-allemande de 1870-1871 des organisations publics et privés ont créées des groupements appelés « Ambulances » (ex : Ambulances de la presse, ambulance de Bretagne, ambulances municipales, etc…) pour assister les victimes civiles et militaires du conflit. Ces ambulances n’étaient pas affiliées à la Croix Rouge, ce qui a posé des problèmes sur les champs de bataille et a rapidement restreint leurs interventions à Paris et aux arrières. En 1872, la guerre étant terminée, ces ambulances ont été dissoutes ou on rejoint la S.S.B.M.

En 1876, création de cours publics et gratuits pour dames infirmières.

En avril 1877, Création de la 1ère école d’ambulancières des Dames Françaises à Paris.

Quelques années plus tard deux autres sociétés sont fondées dans le même but :
– en 1879, l’Association des Dames de France (A.D.F.) par le docteur Duchaussoy, d’obédience catholique,
– en 1881, l’Union des Femmes de France (U.F.F.) par Mme Koechlin-Schwartz et M. Douglas-Hogg, d’obédience protestante, scission d’une partie de l’A.D.F.

En 1884, édition du premier Manuel de l’Infirmière par l’U.F.F.

En 1895, création du premier hôpital école à Paris par l’A.D.F.

En février 1907, ces trois sociétés créèrent un Comité Central de la Croix Rouge Française sous la présidence du président de la S.S.B.M. car cette dernière était la seule reconnue par le Comité International de la Croix Rouge à Genève. Chaque société gardait son autonomie de gestion.

En 1913, création des premières écoles d’infirmières visiteuses (ancêtres des assistantes sociales).

Pendant la 1ère guerre mondiale ces trois Sociétés ont gérées des hôpitaux auxiliaires, cependant pas avec les mêmes prérogatives. La S.S.B.M.A.D.F. et L’U.F.F. ne pouvaient gérer des hôpitaux auxiliaires que dans la zone de l’intérieur et n’étaient pas autorisées à prêter leur concours à d’autres activités. avait une certaine dépendance vis-à-vis de l’Etat et, de ce fait, autorisée à prêter son concours dans les services avancés de la zone des armées ; elle pouvait y installer des formations auxiliaires, concourir au service des trains sanitaires et les infirmières de gare dépendaient de cette société. L’

En 1916 création du statut d’infirmière de guerre plus communément appelé « auxiliaire ».

Un service de propagande C.R.F. est créé, il est en charge de l’organisation des « Journées Nationales » (quête, affichage, vente d’insigne, etc…).

En 1922, La Croix-Rouge Française de la Jeunesse est fondée dans le but d’enseigner aux enfants l’entraide et l’hygiène.

En 1922, création du diplôme d’état d’infirmière et du diplôme d’état de visiteuse d’hygiène sociale.


Texte : Historique de la Croix Rouge Française

et de la Défense Passive.



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Paris – Gobelins – Ruelle des Gobelins

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112 . – Gobelins – Ruelle des Gobelins

Ed Vieux Paris B.C

Dos séparé – non circulé

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A cette époque le quartier est très populaire, à voir les façades des maisons on peut s’imaginer dans quelles conditions vivaient  les ouvriers des entreprises du quartier,

A deux pas de la manufacture des Gobelins, cette ruelle est construite sur l’ancien lit de la rivière de la  Bièvre. En 1935 la ruelle sera débaptisée pour s’appeler la rue Berbier-du-Mets, en l’honneur de Gédéon Berbier-du-Mets intendant et Contrôleur général des Meubles de la Couronne de louis XIV.

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Billancourt – Bords de seine

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Billancourt – Bords de seine

P.Marmusse,Paris

Dos séparé – non circulé

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Tout naturellement une petite ballade en petit  voilier sur la seine ,elle est pas belle la vie !!!

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Paris – Place Daumesnil

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168  –  Paris – Place Daumesnil   G. I.

Dos séparé -circulé à découvert

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Comme mon père, j’ai toujours appelé cette place, la place Daumesnil un peu comme la place Léon Blum que j’ai toujours appelé la place voltaire.

On change les noms des rues ou des places  mais notre mémoire garde les anciens,comme pour se rattacher à notre enfance ou à des doux souvenirs ,et pourtant La place Daumesnil, est depuis 1947 la  place Félix Éboué, en hommage à l’administrateur colonial  et homme politique français Félix Éboué .

Le centre de la place est ornée par la Fontaine du château d’eau  (ou fontaine aux lions), de Gabriel Daviout avec  les huit lions sculptés par Jacquemart.

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Paris-Port saint Nicolas

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119 . – Paris-Port saint Nicolas

Dos simple – circulé à découvert

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La navigation pour traverser Paris était rendue périlleuse par l’étroitesse de la rivière encombrée de ponts aux nombreuses piles. C’est pourquoi la grande majorité des ports se situaient en amont de l’île de la Cité. Le Port Saint Nicolas a été le seul port important à l’aval de la Cité pendant des siècles. Il recevait essentiellement des produits alimentaires divers et le foin destiné à la nombreuse cavalerie royale.

Il a été aménagé en agréable promenade depuis 1942.

source:Lefildutemps
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