Le Marché aux Chevaux du boulevard de l’hôpital

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Carte Photo du Marché aux chevaux du boulevard de l’hôpital

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Le marché aux chevaux du boulevard de l’hôpital,fut ouvert en 1877 et fut construit par Magne.

On ne bouge plus pour que la photo soit nette,   gens d’écuries,   maquignons, et acheteurs ne bougent plus,sauf un cheval qui rend l’image flou.

Symboliquement un maquignon et un acheteur font mine de se taper dans la main ,signe que l’on est d’accord sur le prix de la vente .

A l’intérieur du marché  les garçons d’écurie préparent et présentent  les chevaux aux acheteurs,après de longues discussions sur  les prix aux bruits des hennissement des chevaux ,on se tape fort dans la main .

Il était indispensable ensuite, d’aller boire une chopine dans l’une des  buvettes aménagées dans le marché !!

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Les Marchés de Paris – Le Marché aux Chevaux

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840 – Les Marchés de Paris  – Le Marché aux Chevaux

éditeur ND .Phot

Dos séparé – circulé à découvert en 1906

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Le marché aux chevaux était très important à cette époque où le cheval et la mule étaient le principal moyen de locomotion de qui n’allait pas à pied. La profession de marchand de chevaux (maquignons) a toujours été libre à Paris, on compte 118 marchés aux chevaux en 1900, 83 en 1914 et le chiffre ne cessera de baisser.

Source et lien :le piéton de Paris
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Paris Vécu – Dans la rue

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Paris Vécu – Dans la rue  (N°94)

L.J & cie, éditeur , Angoulème – Paris

Dos simple –   circulé sous enveloppe

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Il y a une bonne quarantaine d’années j’accompagnais souvent un vieux monsieur,  tapissier de son métier qui travaillait au 95 rue de Charonne dans le Onzième arrondissement de Paris.

On partait avec sa voiture à bras, en direction du square Saint Bernard chercher du crin végétal, ressorts et bien d’autres fournitures de tapisserie, pour que Monsieur Larotte confectionne sièges , matelas et sommiers.

Je me rappelle encore du bruit que faisaient les roues sur les pavés de la cour du 95, et la force de cet homme tirant cette voiture pleine à ras bords  de fourniture.

C’est ce Monsieur qui m’a appris les premières basses de mon métier.

Le jeudi pour quelques francs, je  dégarnissais des sièges ou je cardais de la laine.

C’est lui le premier à m’avoir donné le goût pour ce métier de Tapissier.

Merci Monsieur Larotte .

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Paris Vécu – un carrefour

un carrefour

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Paris Vécu – un Carrefour  (N° 10)

L . j . & ,éditeur , Angoulème – Paris

Dos simple – Non circulé

Pas si facile que ça de circuler dans paris de 1900, entre l’autobus à l’impériale, les attelages , les voitures de livraisons et les piétons

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