Carte Postale Ancienne de Briare – Le Nouveau Port et ses Péniches

Briare-Le-Nouveau-Port

Briare – Le Nouveau Port – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

1885 . Briare – Le Nouveau Port
Logo ( Jeanne d’Arc) – L. Marchand, éditeur, Sully-sur-Loire 
Dos séparé – non circulé 
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Située à 10 kilomètres de Gien et 74 kilomètres d’Orléans dans département du Loiret, en région Centre. En 1900, la ville de Briare compte 5814 Briarois et Briaroises administrés par le maire Monsieur Yver. Les Mariniers ( Maîtres), Voituriers par eau en 1900 à Briare sont Mr Guingand ( Ernest) et Mr Mettier. Sur la gauche de la carte on distingue des chevaux qui servaient aux mariniers à tracter leurs embarcations ( halage animal), mais à défaut des chevaux l’homme ou la femme pouvaient aussi se retrouver à tirer le bateau à l’aide d’un harnais en tissu ou en cuir qu’il positionnait en travers de leur poitrine (halage à la bricole). Bien souvent on entend cette phrase  » tu es vraiment un marin d’eau douce », et bien cette phrase n’est en rien péjorative ou insultante pour les mariniers, car elle est une bien belle définition pour ces marins qui parcourent depuis des siècles inlassablement fleuves, rivières et canaux.

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Saint-Peravy – La-Colombe – La Route d’Orléans – Publicité Michelin

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Saint-Peravy – La-Colombe – La Route d’Orléans – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

63  –  Saint-Peravy – La-Colombe – La Route d’Orléans
Duguet, éditeur  – ND-Phot
Dos séparé – non circulé 
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Située à 19 kilomètres d’Orléans dans le département du Loiret en région centre, Saint-Peravy-La Colombe en 1910 compte 611 habitants administrés par le maire monsieur Faucheux (L). Sur cette carte postale le nom de l’éditeur indiqué n’est autre que l’épicier Mr Duguet. À noter qu’à cette époque 2 autres épiceries sont installées en ville, La maison Dolbeau et Picault. Le boucher est Mr Clayettes (H) et le boulanger est Mr Gatineau. Sur la droite sur la carte postale on distingue l’hôtel des voyageurs tenu par Mr Grenet. Sur la gauche 3 femmes posent pour le photographe en dessous d’une publicité pour les pneumatiques Michelin. A noter que le château de Saint-Péravy à cette époque est la propriété du comte de la Fontaine de Follin. 

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Environs d’Orléans – Olivet – Le Pont d’Olivet – Correspondance à décoder

Carte-Postale-Ancienne-Olivet-le pont-Correspondance codée

Olivet-le pont – Correspondance codée – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Environs d’Orléans – Olivet – Le Pont d’Olivet
éditeur B.F., Paris
Dos simple – circulé à découvert
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Cette carte du pont d’Olivet et de son lavoir est très connue et n’a pas vraiment de valeur marchande, trouvant cette carte très souvent entre 1 à 4 euros à l’achat, selon l’état. Mais encore une fois même sur des petites cartes postales ont peut toujours trouver un petit détail qui va faire d’une petite carte un bon sujet de recherche ou de discussion entre nous. Aujourd’hui nous avons le droit à une correspondance codée, étant nul en décryptage je fais appel à vos talents pour donner la traduction de cette correspondance. Merci de me laisser un commentaire si vous trouvez la solution.     

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Saint-Satur- La Mère Suzanne – La Centenaire née en 1812

Saint-Satur-La Mere Suzanne-la-Centenaire

Saint-Satur- La Mère Suzanne – La Centenaire née en 1812

La Mére Suzanne, la Centenaire de Saint-Satur née le 26 Novembre 1812 
Imprimerie Louis Augu
Dos séparé – circulé à découvert le 2 Décembre 1912
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Le 26 novembre mil neuf cent douze, Suzanne avec son Cabasson. S’en va, deci, delà, vendre son frais cresson. Et coiffée de la Calinette d’où s’échappent ses cheveux blancs, elle dit à tous une goguenette, cette bonne vieille, pour ses cent ans. « Émile Fiou ». Située dans le département du Cher en région Centre Saint-Satur est fière de sa centenaire. À cette époque les éditeurs de cartes postales sont à la recherche des personnalités de chaque région avec une originalité, ici c’est la mère Suzanne et ses cent ans, à Saint More c’était le Père Leleu qui vivait dans sa grotte, à Lamure-sur-Azergues c’est la cuisinière La Mélie, à Montluçon c’est Louis Coulon et sa barbe de 3 mètres. La liste est longue et le nombre de cartes postales nous montrant ces personnages haut en couleur font quand même très souvent partie des collections des régionalistes. 

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Auneau – La-Culture en Beauce – Le Labour

Auneau-La-Culture en Beauce - Le Labour

Auneau-La-Culture en Beauce – Le Labour – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Auneau ( E et L.) – La-Culture en Beauce – Le Labour
Nouvelle collection Porchert Auneau  
Dos séparé – circulé à découvert en 1931
( Timbre 15c exposition Coloniale internationale )
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Restons avec nos agriculteurs avec cet attelage de deux chevaux tirant cette charrue. Il existe des centaines voire certainement des milliers de cartes représentant ce moment si important en agriculture qu’est le labourage, mais a chaque région son attelage et sa charrue. Bien sûr la technique de labourage est bien souvent la même, mais le nombre et l’espèce animale attelés changent selon la région mais aussi selon les moyens financiers de l’agriculteur. Il n’était pas rare de voir des attelages de quatre voire six boeufs ou chevaux dans certaines régions ou des attelages mixtes mettant le cheval en avant suivi des boeufs pour tirer la charrue. Bien sûr ce labourage animal sera doucement évincé par l’arrivée du tracteur. Dès 1938 c’est plus de 30000 tracteurs utilisés en France et plus de 140000 en 1950 qui signent quasiment la fin des attelages bovins et hippomobiles … une diminution de la fatigue et l’augmentation de la production font dorénavant du tracteur l’outil indispensable de l’agriculteur.   

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