Paris. – Place Saint Michel,travaux du métropolitain

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1702 Paris. – Place Saint Michel,travaux du métropolitain ,intérieur du caisson
éditeur ND Phot
Dos séparé – non circulé
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la station Saint-Michel
de la ligne 4, en construction, au niveau du sol, Place Saint-Michel. La traversée de la Seine par la ligne 4, commencée en août 2005, et terminée en décembre 1909, était la première effectuée par le Métropolitain, et a exigé de la part des ingénieurs, la mise en œuvre de techniques originales, dont certaines ont été reprises d’ailleurs ces dernières années pour les prolongements en grande banlieue des lignes existantes.

Les stations Saint-Michel et Cité, à proximité immédiate de la Seine, ne pouvaient être construites par les moyens habituels (creusement en souterrain) en raison des risques d’infiltration des eaux de la Seine dans le chantier. On a donc construit les deux stations à l’air libre, au niveau du sol. Chaque station comprenait 3 caissons métalliques : le caisson central (représenté sur ta carte) de 66m de long, et à ses extrémités, deux caissons à axe vertical et base elliptique de petit axe 18,5m et grand axe 26m, qui recevront les escaliers et ascenseurs d’accès.

Tout cet ensemble a été construit au-dessus de son emplacement définitif. Du béton fut coulé à l’intérieur de l’ossature (entre parois extérieure et intérieure de la charpente), le poids total de l’ensemble atteignant 11000 tonnes. Ensuite ?

C’est tout simple! On creuse sous la station, et …. elle s’enfonce dans le sol jusqu’à atteindre son emplacement définitif. A Saint-Michel, l’altitude (cote) du rail est 18,55m, alors que la voie publique est à 34,02m soit 15 mètres plus haut.

Les ouvriers travaillaient dans une « chambre » à la base de la structure. Ils étaient « ravitaillés » en air frais au moyen de pompes maintenant une certaine pression dans la chambre de travail, à la fois pour permettre aux ouvriers de respirer, et pour éviter les infiltrations d’eau.

Le plus remarquable dans tout cela, c’est que la même méthode fut employée pour mettre en place les caissons qui permettent au métro de franchir la Seine.
Les caissons, d’abord « coulés » de façon à reposer sur le lit de la Seine, furent ensuite « foncés » dans le fond même du fleuve, de sorte qu’aujourd’hui, entre Cité et Saint-Michel, on a , au-dessus de la tête, une bonne épaisseur de terre, puis l’eau de la Seine, et enfin l’air libre et les petits oiseaux.

Texte:Dominique1594
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Alimentation générale du Boulevard Montparnasse

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Alimentation générale du Boulevard Montparnasse J .HAZARD   –  115,Boulevard Montparnasse

Dos séparé – Circulé à découvert

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C’était l’époque ou les plus grands magasins d’alimentation avaient cette allure.

On fait ces courses avec le panier en osier ou on se fait livrer à domicile par un triporteur.

Le triporteur qui revient à la mode et qui est en train de revenir peupler nos villes.

L’alimentation en 1900 à Paris, quelques chiffres.

On mange en moyenne en 1900, 900gr de pain par jour et par consommateur, aujourd’hui 160 gr.

Il est vrai que peu de personne aujourd’hui mette leur pain à tremper dans leur soupe pour en faire un repas.

De même pour les pommes de terre passées en moyenne de 100 kg par an et par personne à 63 Kg.

Mais les Français sont devenus sérieux avec une consommation de vin qui est passée en un siècle de 100 à 38 litres.

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Paris-Auteuil – Rue Ribèra

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2333   Paris-Auteuil – Rue Ribèra prise  rue la fontaine (XVI éme arrt)

Éditeur F.F paris

Dos séparé – circulé à découvert

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100 ans après,  le magasin  de gauche  sur la carte  ou l’on peut lire diners et pains chauds est  une  boulangerie  ou il est écrit  sur la vitrine .

3éme prix du concours 2005 de la meilleure baquette de la ville de Paris décerné à votre boulanger « DESGRANGES »

et à droite sur la carte le tabac restaurant est toujours une brasserie , tabac  « le Ribera »



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G. RUGEL,Antiquaire

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G. RUGEL, Antiquaire

2,Rue d’Hauteville – Paris (Xéme)

Vente au Commerce . Installation et Décoration , téléphone Provence 20.69 , Reg .comm Seine 24.786

Dos séparé – non circulé

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Il y avait à cette époque un autre magasin « antiquaire RUGEL » – Route de Paris. LUZARCHES ( Val-d’Oise ). téléphone 67.
il existe certainement une cartes postale de ce deuxième magasin

 » Connaissez vous cette carte »

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Le Marché aux Chevaux du boulevard de l’hôpital

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Carte Photo du Marché aux chevaux du boulevard de l’hôpital

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Le marché aux chevaux du boulevard de l’hôpital,fut ouvert en 1877 et fut construit par Magne.

On ne bouge plus pour que la photo soit nette,   gens d’écuries,   maquignons, et acheteurs ne bougent plus,sauf un cheval qui rend l’image flou.

Symboliquement un maquignon et un acheteur font mine de se taper dans la main ,signe que l’on est d’accord sur le prix de la vente .

A l’intérieur du marché  les garçons d’écurie préparent et présentent  les chevaux aux acheteurs,après de longues discussions sur  les prix aux bruits des hennissement des chevaux ,on se tape fort dans la main .

Il était indispensable ensuite, d’aller boire une chopine dans l’une des  buvettes aménagées dans le marché !!

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