Limoges – 26 Rue de la Boucherie – Parot François

Limoges-Rue-de-la-Boucherie

Limoges – 26 Rue de la Boucherie – Parot François – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

163 – Limoges – 26 Rue de la Boucherie – Parot François
éditeur L’Hirondelle – dos séparé 
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Avec son étroitesse et ses façades de maisons à colombages, la rue de la Boucherie est certainement l’une des plus typiques rues de Limoges . La boucherie Parrot était située au N° 26, à 20 mètres de la chapelle Saint-Aurélien. Cette boucherie Parrot est devenue le restaurant amphitryon.

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Carte postale de Compreignac – Le Moulin de la Rode en 1900

Compreignac le Moulin de la Rode – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Compreignac – Le Moulin de la Rode

Phot. H. C.T.L.

Dos séparé – circulé à découvert en 1906

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Compreignac , commune  située à  20 km de Limoges, en Haute Vienne dans la région du Limousin.

Sur cette carte postale de Compreignac les Compreignacois et les Compreignacoises ne sont pas de sortis, et pourtant à cette époque (1910) leur nombre était de 2180 .

Le Maire était Monsieur Fontanier et le Notaire Monsieur Lenoir.

Les petits commerçants à cette époque ne manquaient pas à Compreignac , 2 épiceries la maison Boyer (j) et Faure (L).

Les tabacs était tenus par Elie Martin et Vigneron.

Le médecin Monsieur Vergnaud, le pharmacie Fruquière, les hôteliers, Boyer, defiénas (j), Laplaque et leyter avaient fort à faire le 8 de chaque mois  » Jour de Foires à  Compreignac « . 

J’allais oublier les jours du marché  » le 8 et les 3e vendredi de chaque mois  » où tout ce beau monde devait se retrouver pour se raconter des bonnes histoires en buvant le vin des Maisons Caillaud (F) (JL), Moreau et Vigneron.

Cet endroit n’a quasiment pas changé avec l’aide de google maps, voici une photo du moulin 100 ans après, bien sûr pour avoir la même vue plongeante sur le moulin il faudrait monter sur la petite colline située derrière la route.

Le moulin de Rode 100 ans aprés

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les Troubles de Limoges le 17 avril 1905

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les Troubles de Limoges le 17 avril 1905

Reste de la barricade incendiée à l’entrée de la rue l’Amphithéâtre

Dos séparé circulé à découvert le 04/05/1905

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Durant tout le mois d’avril 1905, les ouvriers céramistes vont répandre l’agitation dans la ville, protestant contre les conditions de travail difficiles et les bas salaires.

Les grèves se généralisent en même temps dans d’autres corporations, les ouvriers de la chaussure et du feutre, les imprimeurs suivront le mouvement  et feront parties des premiers à se mettre en grève.

Le 17 avril, un cortège formé après un meeting se rend à la préfecture demander la libération d’ouvriers arrêtés.

Âpres le refus du préfet et l’intervention du maire Émile labussière , les manifestants gagnent la prison départementale et en défoncent l’entrée.

Âpres de violents affrontements les ouvriers se réfugient dans le jardin d’Orsay mais les militaires ouvre le feu et prend le jardin d’assaut.

Suite à cet assaut on déplore plusieurs blessés et un mort Camille Vardelle (19 ans), ouvrier porcelainier.

Âpres les funérailles de ce jeune ouvrier suivi par des milliers de personnes, les mouvements continueront encore quelques temps mais les salariés n’obtiendront pas satisfaction sur leurs principales revendications.

Mais tous ces évènements donneront à Limoges le surnom de ville rouge au point qu’un dessin parait dans

L’assiette au beurre avec la légende .

’Faites-nous peur, Monsieur Jaurès , parlez-nous de Limoges’ ! !

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Les troubles de Limoges – Barricade de la rue Montmailler

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Les troubles de Limoges

Barricade de la rue Montmailler en face l’Hôtel veyriras 17 avril 1905

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Durant tout le mois d’avril 1905, les ouvriers céramistes vont répandre l’agitation dans la ville, protestant contre les conditions de travail difficiles et les bas salaires.

Les grèves se généralisent en même temps dans d’autres corporations, les ouvriers de la chaussure et du feutre, les imprimeurs suivront le mouvement  et feront parties des premiers à se mettre en grève.

Le 17 avril, un cortège formé après un meeting se rend à la préfecture demander la libération d’ouvriers arrêtés.

Âpres le refus du préfet et l’intervention du maire Émile labussière , les manifestants gagnent la prison départementale et en défoncent l’entrée.

Âpres de violents affrontements les ouvriers se réfugient dans le jardin d’Orsay mais les militaires ouvre le feu et prend le jardin d’assaut.

Suite à cet assaut on déplore plusieurs blessés et un mort Camille Vardelle (19 ans), ouvrier porcelainier.

Âpres les funérailles de ce jeune ouvrier suivi par des milliers de personnes, les mouvements continueront encore quelques temps mais les salariés n’obtiendront pas satisfaction sur leurs principales revendications.

Mais tous ces évènements donneront à Limoges le surnom de ville rouge au point qu’un dessin parait dans

L’assiette au beurre avec la légende .

’Faites-nous peur, Monsieur Jaurès , parlez-nous de Limoges’ ! !

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Les troubles de Limoges – Barricade de la rue Mauvendière

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7  –  Les troubles de Limoges – Barricade de la rue Mauvendière

Dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Durant tout le mois d’avril 1915, les ouvriers céramistes vont répandre l’agitation dans la ville, protestant contre les conditions de travail difficiles et les bas salaires.

Les grèves se généralisent en même temps dans d’autres corporations, les ouvriers de la chaussure et du feutre, les imprimeurs suivront le mouvement  et feront parties des premiers à se mettre en grève.

Le 17 avril, un cortège formé après un meeting se rend à la préfecture demander la libération d’ouvriers arrêtés.

Âpres le refus du préfet et l’intervention du maire Émile labussière , les manifestants gagnent la prison départementale et en défoncent l’entrée.

Âpres de violents affrontements les ouvriers se réfugient dans le jardin d’Orsay mais les militaires ouvre le feu et prend le jardin d’assaut.

Suite à cet assaut on déplore plusieurs blessés et un mort Camille Vardelle (19 ans), ouvrier porcelainier.

Âpres les funérailles de ce jeune ouvrier suivi par des milliers de personnes, les mouvements continueront encore quelques temps mais les salariés n’obtiendront pas satisfaction sur leurs principales revendications.

Mais tous ces évènements donneront à Limoges le surnom de ville rouge au point qu’un dessin parait dans

L’assiette au beurre avec la légende .

’Faites-nous peur, Monsieur Jaurès , parlez-nous de Limoges’ ! !

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