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HAUTMONT – Rue de la Gare et coin de la Grand’ place
(Vue prise de la Grand’Place).
Laffineur-Samin,éditeur ,Haumont
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C’est jour de fête à Haumont,et le soleil est au rendez vous ,le photographe qui est un professionnel c’est placé avec le soleil dans le dos se qui oblige les enfants à se protéger de leur mains des rayons du soleil pour voir l’artiste au travail !
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80.- Le Vigan – Sortie de l’usine St. Euzéby.
B Soulier,Nouvelles Galerie,Le Vigan – Ch Bernheim,Photo- Edit,OA Nimes
Dos séparé – circulé à découvert en 1909 –
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Agrandissez la carte pour voir au premier plan le visage de ces ouvriers, quel age peuvent avoir ces enfants 10 /13 ans au maximum
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L’usine St Euzéby Filature (Peignerie de Déchets de Soie) dite Peignerie de Saint-Euzéby
historique Filature et peignage de déchets de soie créée en 1872 par Edmond Brouilhet, du Vigan, au nom de la S.N.C. Brouilhet, Lecques (Paul, directeur d’ usine à Briançon, fils d’ Alexandre, cordier au Vigan) et Cie ; 1880 Emile Hoppenot, filateur à Troyes, devient actionnaire majoritaire et directeur ; 1886 apport à la S.A. de filature de schappe à Lyon ; construction de divers bâtiments annexes (bureau, magasins, loge de portier (1880) , garage de locomobile (1882) et établissement (1898) d’ un embranchement ferroviaire d’ une centaine de mètres et d’ une passerelle en fer sur l’ Arre pour amener l’ eau d’ un canal existant sur la rive droite ; usine fermée vers 1950.
Dans la fournaise du cœur des usines. À cette époque (début 1900) on travaille en sabots. L’été les températures deviennent intolérables, à cause notamment de la vapeur d’eau qui s’échappe des bassines. L’hiver, en revanche, le manque d’isolation et la position relativement statique encourage le froid à s’engouffrer jusqu’aux os. Certes, tous les Cévenols ont alors un emploi, mais leurs conditions de travail ne sont pas forcément plus réjouissantes que celles des tâcherons dans les colonies françaises.
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En Auxois – Le Battoir
Cliché F.Perrot – Lib .J.Chatenay .Précy –
Phod A..B&C Nancy
Dos simple – circulé à découvert en 1905
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Dans la chaleur de l’été les paysans sont à l’ouvrage, c’est certainement les jours les plus importants de l’année.
On vient d’une ferme à l’autre se donner un coup de main, la batteuse mécanique vient de faire son apparition et commence à remplacer les chevaux.
La batteuse est souvent louée par plusieurs paysans à des grosses sociétés de battage ou à de gros agriculteurs. Elle est reliée à une machine à vapeur par d’énormes courroies.
La mécanique est bien rodée et chaque personne tient sa place, des premiers qui enfournent les gerbes dans la batteuse à ceux qui récupèrent les grains de blés dans les sacs à ceux qui récupèrent la paille.
Il ne faut pas oublier les mécaniciens qui vérifient à tout moment que cette belle mécanique moderne ne tombe pas en panne.
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102 – Environs de ROYAN – VALLIÈRES – sur la Falaise
Dos séparé – circulé à découvert en 1907 – édition des Nouvelles Galeries
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Bizarre d’avoir choisi cet endroit pour rempailler des chaises , ou alors un délire du photographe.
