Un petit film d’animation IA d’une minute sur Chateau-Renard


Bonjour à tous
Un petit clin d’œil pour ma copine qui habite Château-Renard qui aime les gens, leur âme et bien sûr la Belle Époque.
Un petit film d’animation d’une minute sur Chateau-Renard.

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Charny Orée de Puisaye et ses 14 villages en animation IA

Le film de charny orée de puisaye en image et son
Bonjour à tous
Ce film est une promenade dans le temps.
Un voyage né à partir de cartes postales anciennes, figées depuis plus d’un siècle, que l’intelligence artificielle a doucement réveillées.
Les visages s’animent, les rues respirent, les villages reprennent vie.
Ces images viennent de quatorze villages : Chambeugle, Charny, Chêne-Arnoult, Chevillon, Dicy, Fontenouilles, Grandchamp, Malicorne, Marchais-Beton, Perreux, Prunoy, Saint-Denis-sur-Ouanne, Saint-Martin-sur-Ouanne et Villefranche-Saint-Phal.
Quatorze cœurs battant à l’unisson, unis, dans la mémoire et la lumière de ce film pour former aujourd’hui la commune nouvelle de Charny-Orée-de-Puisaye.
Les mots que j’y ai posés ne sont pas des explications, mais des échos : une voix qui traverse les époques pour redonner du sens à ces scènes d’autrefois.
Ici, la technologie ne remplace pas la mémoire, elle l’éclaire.
Elle redonne mouvement à l’immobile, souffle à la poussière du temps.
Ce film n’a qu’une ambition : la beauté du regard.
Celle qui fait revivre nos villages, nos histoires, et ce lien fragile entre hier et aujourd’hui.
Un hommage à la Puisaye, à Charny et à ses villages, à la poésie du passé qui continue de vivre en nous.
Un film de Pascal Crosnier – 2025

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Charny en 1908 la rue de l’égalité s’anime. Le début d’un petit film sur Charny Orée de Puisaye

C’est, un matin, tranquille à Charny.
La rue de l’Égalité s’éveille doucement, pavés encore humides, volets à demi ouverts.
Les femmes bavardent, les tabliers sentent la farine et le savon.
Les hommes, eux, ont déjà la main sur le vélo prêt pour aller travailler
Les enfants traînent au milieu, rieurs, les joues rouges, un peu curieux devant le photographe.
Personne ne sait encore qu’il vient de figer leur vie pour cent ans.
Depuis ce jour, leur regard traverse le temps.
Et dans le calme de la vieille carte postale, tout s’anime, on entend presque encore le bruit des sabots… Et le cœur du village battre.

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Courtenay Champ de Foire – Les Grands Ormes

 

la foire à Courtenay en 1900

Courtenay Champ de Foire – Les Grands Ormes

Courtenay était, au moyen-âge, une ville fortifiée et une petite place de guerre.
Elle avait une ceinture de remparts avec, de distance en distance, des portes qui y donnaient accès.
L’avenue des Ormes et le Champ de Foire étaient en bordure des courtines des murailles, mais ils n’étaient pas encore plantés.
Cette partie du boulevard à l’Ouest de la rue de la Porte-Neuve, faisait partie des jardins du Château.

Sous les grands ormes de Courtenay, vers 1900, c’est jour de foire.
Les bœufs et les vaches, alignés devant les arbres, sont attachés aux troncs ; les maquignons discutent, la casquette vissée sur la tête.
On négocie ferme, on pèse du regard, on hoche la tête : tout se fait à la parole donnée.
Les enfants, bien droits dans leurs habits du dimanche, tiennent fièrement un veau.
Un peu plus loin, sous une toile de fortune, on sert du vin ou du cidre, pendant que les hommes refont le monde.
L’air sent le foin, le cuir, la bouse et le crottin… un parfum d’autrefois.
Chaque bête, chaque visage raconte une vie de labeur et de fierté rurale.
Ici, la foire, c’est plus qu’un marché : c’est le cœur de Courtenay qui bat.
Les grands ormes, immobiles, gardent la mémoire de ces jours de rires, de trocs et de poignées de main.

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La Grande rue du Pré-St-Gervais à la belle époque

Paris pré st Gervais

Un petit clin d’œil à Sandrine Manteau, connue aussi sous le nom de Madame Sacha.

La Grande rue du pré-St-Gervais.

Dans un petit appartement du Pré-Saint-Gervais vivait Sandrine, une jeune blanchisseuse à l’âme rêveuse. Chaque jour, elle frotte le linge des rupins de Paris à la teinturerie de Monsieur Pikulski, et chaque soir, pour oublier sa fatigue, elle s’arrête au café de Monsieur Arbel, boire une limonade bien fraîche. En fredonnant tout le temps, elle s’imagine déjà sur les planches des cabarets parisiens, chantant les airs de la Belle Époque. Frou-Frou… Viens Poupoule… Sa voix vibrante en secret, comme une promesse. Sandrine attend son heure de gloire, discrète étoile du Pré-Saint-Gervais, rêvant un jour de charmer les foules du tout Paris, comme le grand, Aristide Bruant.

Et si on parlait un peu des commerçants de cette Grande rue en 1910. Comme d’habitude, les cafés ne manquent pas, Mr Koerfer au 11, MR Arbel au 51 et Mr Huron au 79. Au 63. Les métiers de bouche ne manquent pas à cette époque, rendez vous compte, 2 charcuteries, Mr Boulllanger au 74 et Mr Lerat au 81. 2 boucheries, Mr Bottier au 46 et Mr Combacau au 49, 4 épiceries, Mr Creuzet au 86, Mr Haricot au 45, Mr Pantel au 71 et Mr Prunet au 63. La liste des commerçants dans la Grande rue au Pré-St-Gervais à la belle époque serait trop longue, mais si vous voulez savoir qui y travaillait, vous pouvez me laisser un message.

 

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