Moment d’intimité devant une tasse de thé

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Carte illustrée : photo de studio du photographe ; Stebbing Paris
éditeur étoile à 5 branches la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT

Et Quand nous serons trois .. Comme nous serons joyeux…!!

Quatrième et avant dernière carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque: Stebbing 

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Les Fiançailles en 1900 – photographie de Stebbing – Paris

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Carte illustrée : photo de studio du photographe ; Stebbing Paris
éditeur étoile à 5 branches la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT

Mon fiancé va venir !!!… Chères Fleurs, Soyez belles, aidez-moi à lui plaire.

Troisième carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque, Stebbing.

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Soirée de Contrat – Oui.. Nous nous aimerons Toujours.

Soirée de Contrat-photographe Stebbing - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Carte illustrée : photo de studio du photographe ; Stebbing Paris
éditeur étoile à 5 branches la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT

Oui ……. Nous nous aimerons Toujours.

Deuxième carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque, Stebbing. La pension est terminée pour cette jeune femme et le brevet est en poche, il est temps maintenant de trouver un mari…c’était très souvent les familles des futurs mariés qui se chargeaient de cette mission. Un contrat était passé entre les parents et les futurs époux sur les conditions de la dote, de l’avenir des futurs mariés, de l’argent et mobilier que les deux familles se proposaient à léguer à leur enfant le jour du mariage.

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Sortie de Pension de jeune fille en 1900 – Les Lycées de Jeunes Filles

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Sortie de Pension
photographe ; Stebbing Paris
Paris éditeur étoile à 5 branches
Je suis heureuse, voila mes derniers prix et mon brevet

Première carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque Stebbing

Ces quatre cartes postales vont nous montrer la vie que l’on espérait pour les jeunes filles de bonne famille dans les années 1900.
Après des études en pensionnat ou au lycée, les jeunes filles étaient prêtes à commencer leur (vie de femme.) !
Quelques mots sur les lycées en 1900, les Lycées de Jeunes Filles, organisés en France grâce aux efforts de Monsieur, Jules Ferry et Camille Sée, avaient pour but d’offrir aux Jeunes Filles un enseignement parallèle à celui des établissements secondaires de Jeunes Gens. La constitution administrative était réglée par la loi du 21 décembre 1880, complétée par décret du 14 janvier 1882. Le premier Lycée fondé en France a été celui de Montpellier. Paris possédait en 1900, 5 Lycées qui comprenaient chacun 3 sortes de régimes. 

Durée des Études : 5 ans, répartie en 2 périodes : 1° de 12 à 15 ans environ :
Classes de 1er, 2e , 3e années; 2° de 15 à 17 ans : Classes de 4e et 5e années.
On ne pouvait passer d’une Classe dans une autre sans examen, que l’élève subissait sur les matières enseignées dans l’année précédente. Les examens de 3e et de 4e années donnaient droit à des Certificats d’études analogues, l’un au Brevet Élémentaire, l’autre au Brevet Supérieur.

les matières enseignées étaient, la morale, la langue et la littérature françaises, les littératures anciennes, les Langues vivantes vantées, l’Histoire, la géographie, les mathématiques, la physique, et la chimie, l’Histoire Naturelle, l’économie domestique, le dessin, la musique vocale, les travaux à l’aiguille, la gymnastique. L’enseignement religieux était donné dans quelques Lycées, sur la demande des parents, tantôt à l’intérieur de l’établissement, tantôt à la paroisse, où l’on accompagnait les élèves, pourvu que ce soit en dehors des heures de classe; de même, pour laisser à la famille le plus d’initiative possible, on groupait les cours obligatoires dans la matinée et consacré surtout l’après-midi aux cours facultatifs.

Encore un mot sur cette marque et éditeur de cartes postales à l’étoile, elle était installée au 2, rue d’Amsterdam à Paris et contrairement à ce qu’on peut lire dans de nombreux livres sur la cartophilie la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT et non pas G. PIROT.

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Offrez du Muguet Porte Bonheur le 1er Mai 2013 comme au 1er Mai 1914

Muguet-Porte Bonheur- dos séparé - serie 3425 editeur MD paris- Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Carte illustrée
Muguet-Porte Bonheur 
série 3425 éditeur MD Paris
dos séparé

Il sera de tradition d’offrir un brin de Muguet pour apporter un peu bonheur pour l’année 2013 … en 1914 la tradition était la même avec bien sûr quelques petites différences … voici un récit du petit Parisien du premier mai 1914 … Deux mois plus tard l’Allemagne déclare la guerre à la France et commence la terrible guerre de 1914 / 1918.

Les Parisiens ont leurs traditions, aux
quelles ils tiennent fortement. Et celle du
 Muguet du premier mai 
Le « muguet porte-bonheur » est de celles-là. A coup sur, c’est une des plus charmantes…
C’est qu’il s’en est vendu, hier, sous le ciel maussade, de ces jolies petites fleurs, dont les corolles sentent si bon !…
Pas de midinette qui n’en portât à son 
corsage, pas d’employé qui n’en eût mis un 
brin a sa boutonnière avant de se rendre
à son bureau. Des cochers en avaient- même 
arboré à l’extrémité du manche de leur 
fouet.

Près des voiturettes des petites marchandes
, les clients les plus divers s’empressaient.


Par petits bouquets, le Muguet s’enlevait avec rapidité. Et les marchands, dont bientôt la voiturette était vide, repartaient
pour renouveler leur provision.


Rue de la Paix, les camelots firent aussi de bonnes affaires, à la sortie des ateliers, car des messieurs galants voulaient, à tout prix, offrir aux midinettes un modeste bouquet. Et la plupart d’entre elles acceptaient en souriant cet hommage rendu à leur gentillesse.
 La vente du Muguet, cette année, nous a déclaré M. Sauvage, secrétaire général de 
la chambre syndicale de la fleur, a été bien. supérieure à celle des années précédente».
 Grâce  au  temps propice dont nous avons
 été gratifiés, le Muguet a poussé en abondance dans les bois, et aussi chez-les horticulteurs qui le cultivent à l’intention des grands fleuristes…
Par suite des cours peu élevés, de nombreux gagne-petit, marchandes à la voiture ou simplement marchandes au panier, ont pu garnir leurs éventaires. Le chiffre de la vente de ce matin aux Halles peut être évalué à plus de deux cent mille francs…
Contrairement à ce qui avait été annoncé, les fleuristes en boutique n’ont fait aucune concurrence aux petits marchands, les premiers ne vendant à leur clientèle que du Muguet cultivé, alors que les seconds ne font commerce que de la fleur sauvage qui, seule d’ailleurs, a un sens symbolique..!

 

 

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