en panne de clignotants
Louville la Chenard-la place
Cliché Barette à Voves – éditeur Sévot
Dos séparé – timbre recollé
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en panne de clignotants
Louville la Chenard-la place
Cliché Barette à Voves – éditeur Sévot
Dos séparé – timbre recollé
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41-Ménars-Entrée du Pays-Route de Blois – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
Ménars – Entrée du Pays-Route de Blois
éditeur – Talbot – C.Vannier, photographe à Blois
Dos séparé – circulé à découvert en 1909
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Dans les années 1910, il était bien rare qu’une ville, village ou hameau n’est pas une carte postale avec cette légende « Entrée du Pays » ..!
En 1910, les 429 habitants de cette petite ville de Ménars ont élu Mr Louis Gautier comme maire de la ville.
Situés à 9 kilomètres de Blois, les ménarsois et les ménarsoises vivent au rythme de la campagne, les agriculteurs à cette époque sont nombreux à s’occuper des terres autour de leur petite ville … citons quelques noms de ces hommes de la terre; Mr Bury, Mr Lahaye (A), Mr Masson, Mr Rabier Henri et Rabier Philippe.
Le boucher à cette époque porte un bien joli et marrant nom, Mr Routaboule vous prépare les plus beaux morceaux de viande pour votre pot au feu.
Comme toujours à cette époque, les commerces ne manquent pas.. et pour 429 habitants on compte 2 boulangeries, un charcutier, notre boucher Routaboule, 5 épiceries , 1 débit de tabac, 1 fromager et bien sur 6 cafés.
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Un petit tour avec Street View sur Google Maps pour voir l’entrée de la ville de Ménars 100 ans après l’édition de cette carte postale
Vous remarquerez à droite de l’image que le kiosque au toit de paille est toujours à la même place.
Ménars – entrée de la ville 100ans après l’édition de la carte postale – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
77- Marlotte – hôtel de la renaissance-Vue intérieure – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
174 – Marlotte – hôtel de la renaissance – Vue intérieure
éditeur A. Siron – Barbizon ( S. et M)
Dos séparé – circulé à découvert en 1906
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Voici une vue de l’intérieur de l’Hôtel de la Renaissance qui était situé vers le N° 37 de la Rue Murger à Bourron-Marlotte,
Sur la façade de l’hôtel de la Renaissance le propriétaire avait fait écrire en grandes lettres que l’hôtel possédait des grands jardins et bosquets.
l’hôtel de la Renaissance était un très grand hôtel de 100 chambres, le premier prix d’une pension complète dans cet hôtel coutait 6Frs , la maison Mallet ne regardait pas à la dépense pour satisfaire les clients de l’hôtel et avait mis en place des voitures à disposition des clients.
Cette grande maison, surnommée « le château », avait été édifiée par le baron et grand financier Alfred de Niedermeyer (1832-1904), fils du musicien Suisse Louis de Niedermeyer
Dés le 19 siècle, la proximité de Barbizon et la foret de Fontainebleau attirent un grand nombre d’artistes à Marlotte et à Bourron, ces deux villes sont encore bien distinctes… Marlotte attendra 1919 pour fusionner avec la ville de Bourron .
Les artistes peintres se plaisent à Marlotte ou à Bourron et il n’est pas rare de croiser dans les rues ou dans les auberges ceux qui deviendront les plus grands peintres de notre histoire, Corot ,Pissarro,Renoir, Monet, Sisley Cézanne etc..
J’ai eu la chance de visiter Marlotte et manger au restaurant Gastronomique » les prémices « , je me rappelle encore du menu dégustation « une surprise du chef ». et les vins servis par un sommelier extraordinaire …
Noté 16/20 par Gault et Millau le sympathique chef viendra vous saluer à votre sortie … un sacré beau et bon moment…!
Amancey – ( Doubs ) – La Gare
Dos séparé – circulé à découvert
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Voici une carte postale qui sera très appréciée par les collectionneurs des « Petites Gares’ » et par les collectionneurs de cette petite ville de Amancey.
Amancey en 1910 est une petite ville de 618 habitants située à 33 kilomètres de Besançon dans le Doubs, administrée par le maire Monsieur Bart Elie, le juge de paix est Mr Morfaux, l’huissier Mr Devaux, le notaire Mr Renaud.
On compte en 1910 à Amancey 4 aubergistes , Billaud-Layet, Boutteçon, Dentu et Moulet; 1 cordonniers, Germain (Charles); 2 coopérative d’épiceries, La Maréchal et la Vaudable; 2 Maréchaux, Mr Malans et Maréchal (L); 1 Platrier Mr Martin; 2 marchands de tissus en gros, Mr Destaing et Grand et 1 marchand de Beurre et Œufs, Mr Garnier.
Je n’ai pas réussi à retrouver cette gare en me baladant sur Google maps, j’ai bien trouvé une ancienne vue du quartier de la gare avec ce que j’ai encerclé en rouge ce que je crois être les bâtiments de la gare.
Bien sur si vous savez ce qu’est devenu cette gare ou si vous avez la possibilité de la photographier…merci de me laisser un commentaire…
18arrt-Paris-Vieux Montmartre-la rue Saint-Vincent – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
205 – Paris – Vieux Montmartre – La rue Saint-Vincent
éditeur P.P.C Paris
dos simple – circulé à découvert en 1906
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Restons à Paris dans le XVIIIe arrondissement.
Ancienne voie de la commune de Montmartre, la rue Saint-Vincent commence rue de la Bonne et finit Rue Girardon et place Constantin-Pecqueur.
Elle provient d’un sentier mentionné en 1325, c’était la « sente » du jardin de l’Abbesse, en 1672 elle est mentionnée comme chemin et en 1825 elle devient le chemin des Ruelles Saint-Vincent, du prénom d’un certain Compoint (propriétaire).
Le célèbre chansonnier Aristide Bruant (1851/1925) habita au numéro 30 de cette rue et composa en 1909 la célèbre chanson rue Saint-Vincent (ou Rose Blanche).
Mais bien sûr d’autres chansons parlent de la rue Saint-Vincent, comme celle écrite en 1955 par Jean Renoir sur une musique de Georges van Parys pour le film French Cancan, cette complainte de la butte sera interprétée par de nombreux chanteurs et chanteuses … mais j’ai choisi l’interprétation de serge Mouloudji