Verrières-le-Buisson – La Cour du Cadran

Verrières-le-Buisson-La-Cour-du-Cadran

Verrières-le-Buisson-La-Cour-du-Cadran

Verrières-le-Buisson- (S.et.O) La-Cour du Cadran
Editeur Bancal Bazar 
dos séparé – circulé à découvert
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Nous sommes devant la « maison du cadran solaire » située au 26 rue d’Estienne d’Orves. La maison remonterait au début du XVII siècle. Cette maison aurait appartenu successivement aux abbés de Saint-Germain, et ensuite à Louis de Longueil (écuyer gentilhomme de la vénerie du roi) . En 1786 la cour est plus vaste et ne compte aucun bâtiment côté rue. Le cadran solaire que l’on voit sur la carte postale  porte la date de 1867. Sur le cadran une devise en latin qui incitait à user du temps présent et à songer à sa fin. La lucarne et sa poulie que l’on voit au-dessus du cadran sera retirée pour faire place à une petite lucarne et des velux 

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Le Petit Journal Grande cour des Expeditions et des Départs

Le-Petit-Journal-Grande-cour-des-Expeditions-et-des-Départs

Le Petit Journal Grande cour des Expéditions et des Départs – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Petit Journal Grande cour des Expéditions et des Départs

Dos séparé – non circulé 

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Nous voici au beau milieu des poussettes et attelages hippomobiles du célèbre quotidien parisien républicain et conservateur du  » Petit Journal » créer en 1863 par Moïse Polydore Millaud (1813/1871) journaliste, banquier, grand entrepreneur de presse du XIX siècle. Voici ce que l’on pouvait lire en 1900 sur ce journal: « Le Petit Journal, quotidien est le plus répandu de tous les journaux du monde avec un tirage de plus d’un million d’exemplaires chaque jour ». Pour revenir à cette carte postale et aux poussettes que l’on voit au premier plan, j’ai bien écrit poussette, car c’est le nom exact que l’on donnait à ces engins de transport à trois roues en 1900 … à ne pas confondre avec la voiture à bras qui elle ne comportait que deux roues et une béquille.     

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Porcelaine et Verreries – Mr Albert-Briatte au 163 rue de Charonne – Paris-11arrt

 

Paris-11arrt-Porcelaine-et-verrerie-163rue-de-charonne-Albert-Briatte

Paris-11arrt – Porcelaine et verrerie 163rue de Charonne – Mr Albert-Briatte

Carte publicitaire de la maison  Albert-Briatte intallée au 163 / 163 bis rue de Charonne à Paris dans le 11e arrondissement.

Pour les amoureux du XIe arrondissement de Paris (quartier de ma jeunesse) voici une carte dont la maison de Porcelaines et verreries se servait pour recevoir les commandes ou messages des clients ou futurs clients. Bizarre cette mention « Cette carte est Remboursable » cela voudrait dire qu’il fallait acheter cette carte publicitaire et certainement se la faire rembourser si l’on passait une commande ?? . Si vous avez une explication exacte de cette mention « Cette carte est Remboursable » ….merci de me laisser un commentaire.

 Voici le verso de la carte : 

carte postale ancienne-verso -albert briatte-porcelaine et verreries

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Marlotte – Vue interieur de l’hôtel de la Renaissance en 1900

77- Marlotte - hôtel de la renaissance-Vue intérieure - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

77- Marlotte – hôtel de la renaissance-Vue intérieure – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

174  –   Marlotte – hôtel de la renaissance – Vue intérieure

éditeur A. Siron – Barbizon ( S. et M)

Dos séparé – circulé à découvert en 1906

Voici une vue de l’intérieur de l’Hôtel de la Renaissance qui était situé vers le N° 37 de la Rue Murger à Bourron-Marlotte,

Sur la façade de l’hôtel de la Renaissance le propriétaire avait fait écrire en grandes lettres que l’hôtel possédait des grands jardins et bosquets.

l’hôtel de la Renaissance était un très grand hôtel de 100 chambres, le premier prix d’une pension complète dans cet hôtel coutait 6Frs , la maison Mallet ne regardait pas à la dépense pour satisfaire les clients de l’hôtel et avait mis en place des voitures à disposition des clients.  

Cette grande maison, surnommée « le château », avait  été édifiée par le baron et grand financier Alfred de Niedermeyer (1832-1904), fils du musicien Suisse Louis de Niedermeyer

Dés le 19 siècle, la proximité de Barbizon et la foret de Fontainebleau attirent un grand nombre d’artistes à Marlotte et à Bourron, ces deux villes sont encore bien distinctes…  Marlotte attendra 1919 pour fusionner avec la ville de Bourron .

Les artistes peintres se plaisent à Marlotte ou à Bourron et il n’est pas rare de croiser dans les rues ou dans les auberges ceux qui deviendront les plus grands peintres de notre histoire, Corot ,Pissarro,Renoir, Monet, Sisley Cézanne etc..

J’ai eu la chance de visiter Marlotte et manger au restaurant Gastronomique  » les prémices « , je me rappelle encore du menu dégustation « une surprise du chef ». et les vins servis par un sommelier extraordinaire …
Noté 16/20 par Gault et Millau le sympathique chef viendra vous saluer à votre sortie … un sacré beau et bon moment…!

 

 

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carte postale de l’Église du Val de grâce – Vue prise de l’intérieur

Église du Val de grâce - cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

21  – Église du Val de grâce – Vue prise de l’intérieur

Dos séparé – non circulé

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Voila ce que l’on pouvait lire en 1900 sur  l’hôpital militaire et école du  le Val-de-grâce
277 bis, R. Saint-Jacques

Fondé par Anne d’Autriche sous le nom de « Val de Grâce de Notre Dame de la Crèche à l’occasion de la naissance de Louis, XIV.

Bâti en 1645 par Mansard Il Sert d’abord de Couvent aux Bénédictins,
  l’Église est surmontée d’un Dôme peint par Mignard, et séparée de la rue St-Jacques par une cour où se dresse la statue de Larrey.

Très vaste et magnifique Jardin, l’École et l’Hôpital sont situés à droite au fond de LA Cour.

Même organisation que tous les Hôpitaux militaires, mais servant en outre d’École d’Application où viennent passer un an les Docteurs en Médecine ou Pharmaciens sortant de l’École de Santé Militaire de Lyon, avant d’être nommés Médecins ou Pharmaciens.

 

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