Carte Postale Ancienne d’Essigny le Grand – Grande rue et Route de la Gare

Carte Postale Ancienne d'Essigny-le-Grand - Grande rue et Route de la Gare

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Essigny le Grand –  Grande rue et Route de la Gare
éditeur L Petipas 
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Essigny-le-Grand est une commune située à 8 kilomètres de st Quentin dans le département de l’Aisne en région Hauts-de-France. En 1900, la ville compte 917  Essignaquois et Essignaquoises administrés par le maire monsieur Bouré. A cette époque les cafés et épiceries installés en ville sont les affaires de, M. Boniface, M. Bonniéres, M. Faucheux, M.Gorlier, M. leturque, M. Petitpas, M. Poidevin et M. Proux.  

 

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Carte postale Ancienne de la Place de Triors dans la Drôme

26-Triors-La place - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Triors (Drôme). – La Place

éditeur .Menier R.B.

Dos séparé – circulé à découvert

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Nous voici dans la Drôme dans le petit village de Triors, déjà au siècle dernier les photographes ne s’étaient pas beaucoup pressés pour photographier cette ville.

Comme d’habitude j’ai voulu voir ce qu’était devenue cette petite place .. et bien 100 ans après les voitures de Google-Maps n’ont pas pris la peine d’y passer.

Bien sur si vous avez la possibilité de prendre une photo de cette maison, ne vous gênez pas de me l’envoyer.

Alors parlons de Triors dans les années 1910,  285 Triorais et Trioraises habitent cette ville située seulement à 27 kilomètres de Valence et de 4 kilomètres de Châtillon-St Jean.

Le Maire de cette époque est Monsieur Pain (E), les cafés sont les établissements Arnoux, Maussert (H) et Morin; l’épicerie est tenue par Henri Maussert , le débit de tabac par Mr Morin et le pépiniériste est Mr Tardy (C), à noter que le Château de Triors appartient au Comte du Bouchage.

 

 

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Carte postale Ancienne de Melleray – Rue de Montmirail

Melleray-Rue de Montmirail - Cliquez  sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Melleray-Rue de Montmirail

éditeur, Aug Cocu , château du Loir

Dos séparé -circulé à découvert en 1908

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Oublions un peu les cartes illustrées fantaisies et revenons avec des cartes régionalistes, aujourd’hui un petit tour à Melleray dans la Sarthe.

Située à 47 kilomètres de Mamers et d’un kilomètre de Montmirail, Melleray  dans les années 1910 est une petite ville charmante de 957 habitants administrée par son maire  Monsieur Ferrant.

La gare de Montmirail-Melleray se trouve à 1,5 kilomètre du centre-ville

l’expéditrice de cette carte postale a marqué d’une croix une partie de sa petite famille, cette pratique était souvent utilisée à cette époque et c’est une des raisons que l’on retrouve autant d’animation sur les cartes postales des années 1900 ….

Les gens à cette époque étaient très friands de l’arrivée d’un photographe dans leur ville, bien sûr les plus petites villes de France étaient moins photographiées que les grandes villes et c’est ce qui fait aujourd’hui la rareté et la valeur de ces cartes de nos petits villages de Frances. 

Bien sûr à cette époque le photographe n’était pas embêté à demander le droit à l’image à toutes les personnes photographiées…c’est en grande partie pour cette raison qu’aujourd’hui vous ne trouvez en vente que des cartes postales de paysages ou des cartes fantaisies..l’article 9 du Code civil oblige..!!

Mais revenons en 1910 et citons quelques noms qui ont fait vivre cette ville de Melleray ; L’Eleveur d’abeille Mr Chéreau; l’Agriculteur Mr ferrand; le Marchand de bois Mr Montarou; Le Charbon en gros Mr Tourneboeuf ; le Marchand de chevaux Mr Rouault; le Cafetier Mr Paillet; les Epiceries, Frenard, Lausard et Tréfoux; le Marchand de fruit et volailles Mr Corroy, le Grain en gros Mr Bercy; les Maréchaux Mr guyon et  Mr Messager ; les Sages Femmes Mme Legros et Mme Saunier et terminons avec le marchand de tissus, la maison Letourneur. 

 

 

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Carte postale de Saint Aubin – Charancy – Un coin du pays

Saint Aubin Charancy – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

4. – saint-Aubin – CHARANCY – Un coin du Pays

Pothain, éditeur, Avalon

Dos séparé – circulé sous enveloppe

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Difficile ces jours ci de ne pas penser à la Nièvre !

Nous voici à Charancy petit village de la Nièvre département où j’ai passé de très bons moments de ma vie.

Sur le devant on pourrait croire à un vélo, mais il n’en est rien c’est bien un cyclomoteur.

Si vous regardez de plus près (cliquez sur l’image) vous apercevez la carotte du tabac sur la façade de la maison et en dessous de cette carotte un fagot de branches.

C

Ce fagot était appelé « le bouchon » en voici l’histoire
Une ordonnance royale. Historiquement, le « bouchon » dont l’appellation provient du vieux français « bousche » (petite botte, petite gerbe) est le nom donné généralement au branchage que tout débiteur de boisson se devait de mettre à la façade de sa maison. Dès le XIVe siècle, nous trouvons trace de cette obligation. En 1680, une ordonnance royale dicte encore plus clairement à tout vendeur de vin « à huis coupé et pot renversé » : « Nul ne pourra tenir taverne sans faire déclaration, ni mettre bouchon. » Le bouchon ne serait donc que l’ancêtre de l’actuel droit de licence de nos débits de boisson instauré en 1816.
Dans de nombreux villages, la pose du bouchon avait lieu la veille de la fête du pays. Les « jeunes gens » (groupe d’âge pouvant aller des conscrits à tous les hommes non mariés) allaient déposer l’ancien « bouchon » (le brûlant parfois) et suspendre le nouveau de café en café, en échange de quoi le patron de chaque établissement se devait de l’arroser. Les bouteilles vides étaient alors accrochées au « bouchon ».
Du genévrier ou du sapin. Le bouchon devait être choisi dans une essence d’arbre à feuillage persistant. Dans notre région, c’était généralement le genévrier qui faisait les frais de cette tradition, et parfois le sapin. L’arbuste ou la branche était alors décoré de rubans de couleurs (dits « fleurets ») et accroché indifféremment cime en l’air ou en bas. Un inventaire réalisé à partir des cartes postales anciennes a permis de dénombrer 183 communes différentes dont les cafés, au début du XXe siècle apparaissent ornés d’un « bouchon ». Cela représente plus de 52 % des 349 communes que comptait alors le Loiret.
Ces communes à bouchon se situaient essentiellement en Beauce, Gâtinais occidental, Orléanais et Puisaye. Dans ces secteurs, la coutume a perduré encore assez longtemps. En 1962, Jean Driard déclare à propos du Gâtinais de l’Ouest : « On voit également dans ma contrée le bouchon de genévrier au-dessus de la porte des petits cafés de village, mais cela tend à se perdre ». On en trouve cependant encore trace, dans les années 1970, dans une dizaine de communes. Aujourd’hui rares sont celles, à l’exemple de Charmont-en-Beauce, Guignonville ou Gondreville-la-Franche, à maintenir la tradition.
C.Chenault

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Environ de Lagny-Noisiel – Usine Menier

Usine Menier - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

254  –  Environ de Lagny-Noisiel – Usine Menier

éditeur ERT
Dos séparé – non circulé

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La période des industriels chocolatiers Menier de 1824 à 1959.
Jean Antoine Brutus Menier, s’appuyant sur l’énergie hydraulique, développe une fabrique de pulvérisation de poudre pharmaceutique et de chocolat afin d’enrober les substances.

En 1836, il donne naissance à la tablette de chocolat.

Le moulin est modifié à plusieurs reprises afin de palier les exigences de la production sans cesse croissante.
Émile-Justin Menier, son fils, transforme l’entreprise familiale en un véritable empire du chocolat en faisant appel aux plus grands architectes et ingénieurs.

Homme politique et soucieux du progrès social, il développe la commune avec la construction de la cité ouvrière et d’équipements collectifs.
La troisième génération de Menier mène l’entreprise à son apogée à la fin du XIXe siècle.

Les innovations sont primées lors de plusieurs expositions universelles et l’entreprise est détentrice en 1900 de plus de 50 % des parts mondiales du marché du chocolat, grâce à d’efficaces conquêtes de marchés.


Les générations suivantes ont tenté de continuer l’œuvre de leurs prédécesseurs, mais la concurrence internationale et les deux guerres mondiales ont mis à mal la production à Noisiel.

L’usine changera plusieurs fois de propriétaire avant de cesser sa production et de devenir aujourd’hui le siège social de Nestlé France.

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Un petit montage avec plusieurs publicités MENIER sur fond de Chocolat !

pubicité Menier

Texte sur le Site de Noisiel
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