Carte postale ancienne de Ravieres – La rue Gaumart

89-Ravieres- rue Gaumart

89-Ravieres- rue Gaumart

 Ravieres  ( Yonne) – La rue Gaumart 
éditeur – Chabrillac, Paris 
dos séparé – circulé à découvert
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Pour faire plaisir à Gérard et aux autres amateurs de cette région, restons encore un peu dans le département de l’Yonne dans la petite ville de Ravières rue Gaumard (aujourd’hui rue Mornier Simon)

Ravieres en 1910 est une moyenne ville de 1632 habitants administrée par le maire monsieur Rizier Camille de son prénom, la ville est située à 32 kilomètres de Tonnerre et d’une centaine kilomètres de La Ferté-Loupière ! 

Cette carte postale nous donne un aperçu des magasins et commerçants que l’on pouvait trouver à cette époque dans nos petites villes de France.

Pour 1632 habitants, pas moins de 3 boulangeries : Boudier; Guinot et Rose, 5 bouchers charcutiers avec les maisons, Balacé, Bolatre, Charpentier (A) et ( M) et Chaussin. Deux salons de coiffure avec Mr Pagnot (sur la carte) et Mr Pernot . 7 épiceries, 8 cafés, sans compter tous les autres petits commerces et artisans installés à Ravières en 1910. 

Combien de petits commerçants et artisans exercent encore à Ravières ?

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Rouen – A la Gavotte – Chaussures de Qualité Superieure

76-Rouen-A la Gavotte-chaussures-de Qualité - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Carte publicitaire
Rouen – A la Gavotte – Chaussures de Qualité Supérieure
Photo Couranlt quai Saint Ambroise Melun R.C . Elbeuf 184
Dos séparé – non circulé
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Au  numéro 122 rue de la Grosse Horloge à Rouen se trouvait cette superbe vitrine de chaussures de « Qualité Supérieure Spécialisée pour les enfants, fillettes et garçonnets. Aujourd’hui ce magasin est devenu un Bar « Au Roy Harold »

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Tonnerre – Rue de l’Hôpital et de l’Hôtel-de-Ville

Tonnerre - A la glaneuse - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tonnerre – Rue de l’Hôpital et de l’Hôtel-de-Ville

Dos simple – circulé à découvert en 1903

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A la Glaneuse, magasin de chaussures à Tonnerre.

Drôle de nom de magasin quand on connaît l’origine des glaneurs ou glaneuses.

Au moyen age, une ordonnance donnait le droit aux indigents, personnes infirmes, personnes âgées , enfants et toutes autres personnes ne pouvant travailler à ‘glaner’, c’est-à-dire à ramasser les épis de blé restant dans les champs après que le laboureur ait retiré ses gerbes de blé.

Les glaneuses les plus connues sont immortalisées par le tableau de Millet.

Mais vers 1900, il ne fallait pas être glaneurs ou glaneuses pour s’acheter des chaussures.

10 à 15 francs était un prix moyen pour s’acheter une belle paire de chaussures de ville et pour vous donner une idée le facteur rural touchait un salaire entre 55 à 95 fr par mois (chef ou pas chef), le kilo de boeuf frôlait les 2 fr, Le paquet de tabac gris 0.40fr et le kilo de beurre à 3fr.

Alors, le propriétaire de « A la Glaneuse » à certainement pris l’autre sens du mot  ‘glaner’

« Chercher, pour Profiter d’une bonne affaire pas cher »

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil – Atelier de Finissage

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 6 – Atelier de Finissage

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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Dernière carte de la série de six  , l’atelier de finissage .

Le cuir a été tanné , tracé ,coupé ,assemblé , formé, cousu et maintenant dans les mains des finisseuses !

Si vous connaissez l’histoire de La maison « Blassier,Beaussang et H.Dauteuil » ou si vous avez de la documentation sur cette maison de Mouy en picardie !

N’hésitez pas à me laisser un commentaire .

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –Atelier des Piqueuses

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Maison Blassier,Beaussang et H.Dauteuil –

N° 5 – Atelier des Piqueuses

imp.Debray-Bollez,à Crèvecœur

Dos séparé – non circulé

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l’atelier des piqueuses , peu ou pas de machines à piquer apparentes dans l’atelier .

les ouvrières de Mouy devaient certainement coudre les tiges et les semelles à la mains.

Pourtant la machine  à coudre les tiges et les semelles  existait déjà à cette époque avec l’invention dès 1856 de l’américain Lyman Reed Blake qui inventera de nombreuses machines pour aider à accélérer le processus de la fabrication des chaussures.

Aujourd’hui quand on voit le prix d’une paire de chaussures cousues main, cela me laisse rêveur !



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