Rouen – A la Gavotte – Chaussures de Qualité Superieure

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Carte publicitaire
Rouen – A la Gavotte – Chaussures de Qualité Supérieure
Photo Couranlt quai Saint Ambroise Melun R.C . Elbeuf 184
Dos séparé – non circulé
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Au  numéro 122 rue de la Grosse Horloge à Rouen se trouvait cette superbe vitrine de chaussures de « Qualité Supérieure Spécialisée pour les enfants, fillettes et garçonnets. Aujourd’hui ce magasin est devenu un Bar « Au Roy Harold »

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Champagne Mercier – La Passerelle de l’Alma en 1900

 La passerelle de l'Alma - exposition Universelle de 1900 - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

La passerelle de l’Alma – exposition Universelle de 1900 – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

36  .  Paris – Exposition universelle de 1900 –  La Passerelle de l’Alma

éditeur Massias

Dos simple – Non circulé -publicité pour le Champagne MERCIER

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Cette carte postale est une carte avec un verso qui a servi de support publicitaire au célèbre « Champagne Mercier »

Pendant toute la durée de l’exposition universelle de 1900, ll fallait trouver une solution qui permettait aux visiteurs de traverser la Seine entre les ponts d’Iéna et Alexandre, sans emprunter les ponts existants, ceux-ci devant continuer leur service au public de la rue.

C’est pour cela que l’on a construit trois passerelles, ou mieux trois ponts nouveaux sur la Seine. Ceux-ci, en effet, malgré leur caractère provisoire, ont été établis comme s’ils devaient durer longtemps.

Deux des passerelles ont été faites contre les ponts des Invalides et de l’Alma et se trouvaient tournées l’une vers l’autre, la passerelle des Invalides étant en aval du pont du même nom, et la passerelle de l’Alma étant en amont du pont de l’Alma.

Les passerelles sur la Seine avaient 8 mètres de largeur et se trouvaient divisées en deux dans le sens de la longueur, de façon à séparer les deux courants de foule qui traversaient la Seine ; Les personnes allant dans un sens ne se rencontraient pas avec celles qui allaient dans l’autre, toutefois pour ne pas obliger des visiteurs qui s’étaient engagés dans une voie, à aller jusqu’au bout de la passerelle pour revenir ensuite sur leurs pas, si tel est leur désir, on a eu soin de ménager sur la barrière de séparation, des ouvertures par où le public pouvait passer pour prendre la direction opposée.

Vous remarquerez que tout était prévu pour manger et se désaltérer avant la traversée de la passerelle, et oui des kiosques avaient été placés à l’entrée des passerelles et servaient de buffet bar … en l’occurrence ici c’était le kiosque « Virgile Jacquet' » N° 67.

Source: Les travaux de l’Exposition de 1900 de A.Da.Cunha /préface Henri de parville 
édition Maison Masson et Cie
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1920 – Soissons les maisons provisoires rue du commerce

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6. Soissons

Les maisons provisoires de la rue du Commerce

Édition Nougarède, Soissons

Dos séparé – non circulé

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Sur 841 communes que comptait le département de l’Aisne, seules six n’ont subi aucune destruction et sur 530 000 habitants en 1914, seulement 196 800 y demeurent encore en 1918.

Au lendemain de l’armistice du 11 novembre 1918, les populations qui avaient dû quitter les zones de front reviennent en masse dans leurs villes et leurs villages détruits.

Les loger devient alors l’un des problèmes les plus préoccupants pour l’État qui se lance dans la construction d’habitations provisoires.

Les départements envahis et occupés sont marqués à jamais par l’ampleur des dommages causés par la guerre.

Sur les anciennes lignes de front, tels le Chemin des Dames, la Somme ou Verdun, le bilan de la guerre est particulièrement dramatique.

Champs dévastés par les trous d’obus, sols défoncés, forêts arasées, maisons pulvérisées, tel est le spectacle qui s’offre à la vue sur ces territoires pilonnés pendant trois ans et demi. Face à cette situation, la République se devait d’aider ses citoyens, mais cela supposait de trouver de l’argent pour financer la reconstruction, de définir une politique et un cadre juridique précis tout en aidant les sinistrés à tenir matériellement et physiquement jusqu’à la reconstruction définitive.

Rentrés au pays, les sinistrés découvrent la disparition de la maison familiale, des souvenirs et des objets de leur vie d’avant guerre et prennent conscience de la tâche qui les attend.

Texte intégral sur : Chemins de Mémoire 
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Photographie de Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux – La Grande Rue

Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux – La Grande Rue

Photographie G. Brindelet, 39 rue Saint Nicolas, Ferté-sous-Jouarre ( S.-et-M)

Dos séparé -circulé à découvert en 1907

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Restons dans le département de la Seine et Marne avec cette sympathique carte postale de la commune de Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux.

Encore une fois les habitants de cette ville sont au rendez vous du photographe, les Saint-Jeannais et Saint-Jeannaises posent tranquillement pour la postérité.

Il faut dire quand 1900 Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux est une petite ville de 603 habitants et les visiteurs se font rares même si la ville se situe qu’à 10 kilomètres de Meaux.

Le Maire de cette époque est Monsieur Tronchon ; le Boucher Monsieur Beaudoin ;Les agriculteurs Monsieur Bilbille, Mr Billard, Mr Maciet (L), Mr Martin, Mr Renoult, Mr Robcy, Mr Tronchon; le Boulanger Monsieur Leclerc; le Bourelier  Monsieur Jouard; le Charcutier  Monsieur Chapuis; le Charpentier en bateaux Monsieur Chouteau; les Cordonniers Monsieur Gratiot , Mr Notrel, Mr Urbain; les Épiciers  Monsieur Gratiot (tabac), Mr Hébert, Mr Mathieu, Mr Rochon; les Hôteliers Monsieur Chapuis, Mr Coquillon; Instruments aratoires, Monsieur Eckert,Mr Leclerc,Mr Rochon; Le Maréchal Ferrant, Monsieur Leclerc et le Plâtrier Monsieur Taupin.

Toutes ces personnes vivaient à Saint-Jean-les-Deux-Jumeaux dans les années 1900 et il n’est pas impossible que des descendants de ces personnes reconnaissent leurs ancêtres …….  Si c’était le cas merci de me laisser un commentaire !



 

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Carte postale de Toulon – Le quai Cronstadt en 1900

Toulon Quai Cronstadt – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

4405  –  Toulon – Quai Cronstadt

P.Ruat, édit , Marseille

Dos séparé – non circulé

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Voici une première carte postale d’une très longue série de CPAs de la région Provence Alpes Côte d’Azur.

Mais commençons par Toulon dans les années 1900.

En 1901 l’arrondissement de Toulon compte 9 cantons – 21 communes pour 179308 habitants .

Citons le nom du Maire  de cette époque (1901) : Victor Micholet son sous préfet Monsieur Poux-Laville et le nombre d’habitants 95276 (2 cantons) 

Cette ville maritime est bâtie au pied de hautes collines et au fond d’une baie dont une presqu’ile ferme presque l’enceinte.

Située à 80 kilomètres de Draguignan et 840 kilomètres de Paris, Toulon est le premier port militaire de la France .

l’Armée en 1901 à Toulon : 15éme corps (Marseille) – Général de brigade commandant la subdivision de Toulon : Colonel Joly  – Commandement la brigade d’infanterie de marine – Général de Trentinian.

Sous-intendant militaire : Appert – Bureau de recrutement (15e légion) .Commandement : Almes – Chef du Génie: Levy.

 

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