Château de Courances – La Ferme en 1905

 

Milly -Chateau de Courances-La Ferme

Milly -Château de Courances – La Ferme

Château de Courances – La Ferme
Cliché A. Mousseron 
dos séparé – circulé à découvert en 1907
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Courances en 1910 est une petite ville située à 30 kilomètres d’étampes, 4 kilomètres de Milly et à  8 kilomètres de la gare de Boutigny. Les 329 habitants de Courances sont administrés par le maire Mis de Ganay. Quelques noms de commerçants de cette époque avec les aubergistes Charlot, Guerin et Merienne; Les épiciers, Benoist et Charlot; Le Marechal ferrant Mr Leroy; le Tourneur Mr Journet et les deux boulangers Mr Bedu et Métais.

Savez-vous pourquoi le château de Courances est un lieu unique en France ? Continuer la lecture

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Aulnay-lès-Bondy- Ferme Saint Antoine de Savigny – intérieur de la cour

93-Aulnay-lès-Bondy- Ferme Saint Antoine de Savigny – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 

410 – Ferme Saint Antoine de Savigny (S-et Oise) Intérieur de la cour
éditeur H.W
dos séparé -circulé sous enveloppe
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La légende de cette carte postale est prometteuse quand on collectionneur la ville de Savigny-sur-Orge, et pourtant il n’en est rien car nous sommes à Aulnay-lès-Bondy.

Aulnay les Bondy dans les années 1900 était située dans le département de Seine et-oise Oise au même titre que Savigny-sur-Orge et bien d’autres villes de l’ile de France. Il faut quand même expliquer la réorganisation de la région Parisienne suite à loi du 10 juillet 1964 et mise en vigueur au 1er janvier 1968. Cette loi supprimant les départements de la Seine, « remplacé par ceux de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis, et du Val-de-Marne » et de Seine-et-Oise « remplacé par ceux de l’Essonne, des Yvelines, et du Val d’Oise », seule la Seine-et-Marne ne fut pas concernée par ce redécoupage.

Mais revenons à cette ferme de Saint-Antoine de Savigny ( pas sur orge malheureusement) et de son emplacement exact dans les années 1900, nous sommes donc à Aulnay les Bondy à 37 kilomètres de Pontoise et 15 kilomètres de Paris.
Le maire à cette époque des 1878 habitants d’Aulnay les Bondy est monsieur Buchet (C), les agriculteurs sont les familles Dalleux, Frotiée Pierre et Henri, Marcognet, Papillon et Féculier.

Dés l’ouverture de la gare Paris-Soissons en 1875, la petite ville prendra très vite de l’ampleur  au point  de vouloir couper en deux la ville d’un coté le vieux Pays  » Aulnay-les-Bondy  » et de l’autre la ville plus urbaine d’Aulnay-sous-Bois …

Le temps fera l’histoire d’Aulnay-sous-Bois, mais qui se rappelle encore de d’Aulnay-lès-Bondy…? 

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La Vie au Champs – Picorée du Matin

La Vie au Champs-Picorée du Matin - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

La Vie au Champs-Picorée du Matin – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

La Vie au Champs-Picorée du Matin 

éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )

Dos séparé – circulé sous enveloppe en 1917

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À l’heure on l’on prend des chevaux pour des vaches, j’aime bien repenser qu’il existait dans les fermes de nos campagnes des animaux en pleine liberté.

Bien sûr ces genres de scènes existent toujours, mais elles deviennent de plus en plus rares … je me rappelle encore de ce petit village du Morvan où les canards, poules, oies, pintades et dindons se promenaient dans la seule et unique rue du village.

Les années ont passé et les agriculteurs se sont fait de plus en plus rares et beaucoup de maisons se sont vendues à des gens de la ville qui trouvaient que ces animaux en pleine liberté étaient tellement pittoresques.

Petit à petit ces braves gens de la ville ont fait pousser du gazon et les clôtures se sont mises en place, mais les animaux en liberté que l’on trouvait si pittoresques devenaient moins amusants car les fientes de ces gallinacés sur le gazon ou sur les capots de leur voiture faisait désordre.

Alors petit à petit les derniers agriculteurs ont rentré leurs poules et canards chez eux, bien protégés derrière des grillages, et maintenant quand je me promène dans cette rue…plus aucune fiente par terre …mais plus d’animaux non plus … alors quand mes petits-enfants me demandent de voir les poules et les canards on va les voir derrière leurs grillages. 

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Carte Postale de Fleville – Vue venant de Grandpré

08-Fleville-Vue-Venant-de-Grandpré – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 Fleville – Vue de Grandpré

éditeur  Vve Ravariny – Cliché Durand

Phototypie Combier, Macon

Dos séparé – circulé sous enveloppe en 1925

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On a plus l’habitude de trouver des cartes de Fléville venant de Saint Juvin que de Grandpré mais le photographe Mr durand en avait décidé autrement.

Fléville est une petite ville des Ardennes située à 10 kilomètres de Grandpré et de 5 kilomètres de Saint Juvin.

Mais allons faire faire un petit tour en 1911 à Fléville … Le maire est Monsieur Levasseur (A), agriculteur de son métier.

Le bon pain est fait par les boulangers Gérard et Mater, le petit café ou le verre de rouge se boivent chez Bigault (Cel), Dromart, Gillet et Morin.

les Flévilloises font leurs courses dans les épiceries Bigault ( C) et Dartois et achètent les plats et moules à gâteaux chez le ferblantier Bourgrain.

Pour la laine mérinos passons voir Mr Lesage, Mr Levasseur Célestin et Levasseur Mabille.

Bien sur, pas de ville dans les années 1900 sans maréchal-ferrant, les maisons Estennevin et Montchot s’occupent bien des chevaux pendant que le charron Mr Prioux se charge des attelages en tous genres.

Citons avant de partir de Fléville, les cordonniers Mr dartois et Mr Touly, les menuisiers Mr Albert, Mr Collinet et le tailleur Mr Gilbin.

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Carte postale Ancienne de Sommecaise – Le Chasserat,Moulin

Sommecaise – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

4 .  Sommecaise – Le Chamerat,Moulin
Édition Thuiland
Cliché Ismaël, Sens
Dos séparé – circulé à découvert
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Une ferme traditionnelle des années 1900, mais que l’on voit de moins en moins aujourd’hui dans nos campagnes !
Connaissant pas trop mal l’Yonne et le Morvan, j’ai encore la chance de connaitre cette ambiance de ferme où poules et canards sont encore à l’air libre.   
Mais parlons un peu de cette petite ville de Sommecaise en 1900 .
Située à 24 kilomètres de Joigny et de 5 kilomètres de la Ferté-Loupière ,le Maire de l’époque est Monsieur Henrion (L.).
Citons quelques noms de personnes qui ont fait la vie de cette petite ville 477 habitants.
Les Aubergistes ; Moreau et Thuiland (Alex) –  Les Charrons ; Delion et Henrion.
Les épiciers ; Beaujard (A) , Niel (E) et Thuiland (A).
La Poterie-Quincaillerie ; Beaujard – les Sabotiers Maillot et Rapin .
et pour finir la Scierie à vapeur de Monsieur Thuiland .

J’ai cherché à retrouver cette ferme avec google-maps , mais je n’ai rien trouvé !
Alors si vous connaissez cette ferme ou si vous reconnaissez ces bâtiments ..merci de me laisser un commentaire . 

Suite au commentaire de Françoise que je remercie, il s’agit en définitive du Moulin de Chassera ou Chasserat ? et non pas Chamerat comme il est écrit sur cette carte postale (erreur de l’éditeur ou de l’imprimeur).
Voici l’endroit ou se trouvait le Moulin (carte de Cassini)

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