Villaines sous-Lucé – Le chateau de Corbuon

Villaines-sous-Luce-Le-chateau-de-Corbuon

Villaines-sous-Luce-Le-chateau-de-Corbuon – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Villaines sous-Lucé-Le chateau de Corbuon
J.Redon – éditeur le grand Lucé
dos séparé – circulé à découvert 
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Situé à environ 6 kilomètres du centre-ville de Vilaines-Sous-Lucé et de 23 kilomètres de St-Calais, le petit lieu dit de Corbuon est constitué de quelques bâtiments et bien sur de son château. En 1900 Le château de Corbuon est la propriété de Mme de Cyresme, la ville de Vilaines sous Lucé à la même époque compte 1004 habitants administrés par le maire Monsieur Branjonneau. Le charron s’appelle Mr Ruffin, le marchand de grains est Mr Chouteau, le maréchal-ferrant est Mr David, le tanneur se nomme Mr Vannier et les marchands de nouveautés sont les maisons Refourd et Vérité. À noter que la fête Vilaine-sous-Lucé se déroule le premier juillet. 

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Le Docteur Zamenhof nous dit comment Naquit L’Espéranto

Zamenhof-inventeur de l'Esperanto

Zamenhof – Inventeur de l’Esperanto

Zamenhof – l’Inventeur de l’Esperanto
éditeur Eugene Pirou, 5 boulevard Saint-Germain
Dos séparé – non circulé
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Le Dr Zamenhof Nous Dit Comment Naquit L’espéranto
Avant le triomphe définitif de l’idée à la réalisation de laquelle il a consacré sa
vie, le père de la langue universelle travailla de longues années dans la solitude.

LA PREMIERE IDEE
L’idée à la réalisation de laquelle j’ai voué ma vie entière perça chez moi jusque dès ma première enfance et ne m’a jamais quitté depuis. J’ai vécu avec elle et je ne puis même pas me voir sans elle. Cette circonstance vous expliquera en partie pourquoi j’y ai travaillé avec tant d’obstination. et pourquoi, malgré toutes les difficultés et d’amertumes, je n’ai pas abandonna cette idée, comme l’on fait plusieurs autres, qui avaient travaillé dans la même voie.
Je naquis à Białystok, gouvernement de Grodno. Ce lieu de ma naissance et de mes jeunes années donna leur première direction a toutes mes idées futures. A Białystok, la population se compose de quatre éléments divers : Russes, Polonais, Allemands et juifs ; Chacun de ces éléments parle une langue qui lui est propre, et ses rapport avec les trois autres n’ont rien de sympathique. Dans une ville de ce genre, plus qu’ailleurs, une nature sensible doit sentir le lourd malaise de la diversité des langues et se persuade, à chaque pas, que cette diversité est sinon là seule, du moins la principale cause des discussions dans la famille humaine, qui se divise ainsi en partis ennemis.
Ceci tourmenta toujours beaucoup mon esprit d’enfant, et je me répétais sans cesse que, quand je serais grand, rien ne m’empêcherait de résoudre cette difficulté.
De longues armées passèrent, je continuais à penser à la nécessité d’une langue internationale. Je me convainquis alors Continuer la lecture

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Francaj Esperantistoj – Congrès de Lyon le 21 et 23 Avril 1911

Carte-Postale-Ancienne-Esperanto-Esperantistoj-Lyon

Carte-Postale-Ancienne-Esperanto-Esperantistoj-Lyon

1a  Nacia Kongreso de la Francaj Esperantistoj 
21-23 am Aprils  1911 à Lyon  – Ciam Antaûen
Jean Robert 1911
Dos séparé – Circulé à découvert le 22 avril 1911
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Je me rappelle qu’il y a environ 40 ans, j’ai assisté à une réunion sur l’espéranto. Impossible de me rappeler l’endroit exact où se passait cette assemblée de personnes parlant de l’avenir de cette langue, certainement vers la bastille…mais ou exactement ? Cette réunion était pourtant fort intéressante et j’avais commencé à apprendre cette langue qui pour moi à l’époque devait pouvoir être une langue internationale. Quarante ans plus tard c’est la cartophilie qui me rappelle ce moment qui était bien enfoui dans ma mémoire. 

C’est en 1898 que fut fondée la Société pour la Propagation de l’Espéranto. L’initiative venait de Louis de Beaufront, le premier en France à avoir assuré la diffusion de l’espéranto et qui fut certainement moins bien inspiré par la suite. C’est le brillant mathématicien Carlo Bourlet qui marque la vie et Continuer la lecture

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Les Petits Métiers Parisiens – La Marchande de Colliers et Bracelets

Les Petits Métiers Parisiens - La Marchande de Colliers et Bracelets

Les Petits Métiers Parisiens – La Marchande de Colliers et Bracelets – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Les Petits Métiers Parisiens – La Marchande de Colliers et Bracelets
Imprimerie H. Laas, E Pécaud & Cie, Paris 
Dos séparé – non circulé – Publicité : Desserts Coquin Ste-Savine ( Aube) 
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 Le Paris de 1900 est une grande ville peuplée de prés de 3 millions de Parisiens dont le quart de cette population vivent dans des taudis et n’ont pour la plupart que très peu de moyens. Vivant bien souvent dans une pauvreté totale « la belle époque » pour eux n’est pas facile tous les jours. Il existe bien des caisses syndicales et patronales organisées par métier et dont certaines avaient déjà mis en place des mécanismes d’assurance chômage, mais très peu peuvent en bénéficier n’ayant pas Continuer la lecture

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Baugy – Le champ de Foire – Cote des boeufs

Baugy-Le champ de Foire-Cote boeufs

Baugy-Le champ de Foire-Cote boeufs

Baugy ( Cher) – Le champ de Foire – Côté des Boeufs
éditeur EMB – dos séparé – circulé à découvert 
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C’est une sorte de rituel de vente qui se passait sur les champs de foire de nos villes et villages et qui malheureusement se perd de plus en plus.
Regarde comme ils sont beaux mes boeufs « Allez top là » et ils sont à toi. C’était très souvent comme cela que le rituel de ces ventes commençait, après avoir bien vanté la qualité de ses boeufs le vendeur annonçait un prix au futur acheteur et c’était le commencement d’une longue négociation. Faisant mine de ne pas trop être intéressé l’acheteur fera tout pour descendre le prix quitte à faire semblant de partir. La plupart du temps c’est le patois qui sera la langue de cette transaction qui se terminera par un accord sur le prix des deux protagonistes et par un « top là » accompagné par une violente tape dans la main. Ce « Top-là » et ce signe des deux mains se frappant l’une contre l’autre étaient le gage que l’affaire était conclue et que nul ne s’en dédiera.

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