Paris – Dépôt des tramways – Avenue de Versailles

Paris - Depot des tramways-Avenue de Versailles

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Paris – Dépôt des tramways-Avenue de Versailles
éditeur ELD – Ernest Louis le Deley
Dos séparé – circulé à découvert en 1905
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 On ne pouvait monter en tramway avec des paquets de nature à incommoder les autres voyageurs. Les receveurs étaient tenus d’aider les voyageurs et surtout les femmes et les enfants à monter et à descendre. Le receveur et le cocher n’avaient pas le droit de fumer pendant le service. Le Cocher pouvait le faire quand l’impériale était inoccupée. Les voyageurs étaient tenus de faire l’appoint de la monnaie, c’est-à-dire de payer exactement leurs 15 ou 30 centimes. On ne pouvait obliger le receveur à faire la monnaie d’une pièce. Il était interdit de cracher à l’intérieur d’un tramway. De même, on ne pouvait pas se tenir debout sur l’impériale. Voila c’étaient des conseils que l’on pouvait lire dans les années 1900.  

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Curiosités Orléanaises- Mardié – Femme à barbe âgée de 88 ans

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Curiosités Orléanaises- Mardié – Femme à barbe âgée de 88 ans

Curiosités Orléanaises – ( Mardié ) – Femme à barbe âgée de 88 ansédition Maréchal Thibault, Mardié 
Dos séparé – circulé à découvert en 1913 
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Mardié est une commune située dans le département du Loiret en Région Centre. En 1913 en plus de cette femme à barbe la ville compte 836 habitants administrés par le maire monsieur Desbrosses-Debernes. A cette époque à Manié, on cultive et on commercialise les asperges par le biais des maisons Beaulieu-Beltoise; Germond; Jullien; Rousseau et Vaillant.

 

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Paris – La Maternité – l’école d’Accouchement

Paris-La-Maternité

Paris – La Maternité – l’école d’Accouchemen – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails 

26  – Paris – La Maternité
éditeur A.B 
Dos séparé – circulé à découvert en 1907 
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À l’angle du Boulevard Port-Royal et de la rue du Faubourg Saint-Jacques, l’entrée de ce bâtiment est l’école d’accouchement. Cet établissement était destiné à former des sages-femmes de première classe. L’admission dans cette école n’était pas chose simple à cette époque, par exemple les femmes mariées devaient produire, en outre, une pièce dûment légalisée constatant qu’elles avaient l’autorisation par leur mari à apprendre la profession de Sage Femme. Si la future élève était veuve, elle devait fournir un acte de décès du mari et un certificat de bonne vie et moeurs, délivré par le maire. Seules les femmes âgées de 19 ans révolus jusqu’à 35 ans étaient acceptées comme élèves. Voilà mesdames, c’était il y a cent ans … vous remarquerez que les hommes ne sont pas mentionnés car il faudra attendre les années 1980 pour voir les premières sages-femmes du genre masculin.       

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Le verdict des crimes de l’Impasse Ronsin – l’Affaire Steinheil

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Madame Steinheil devant la cour d’assises – Attitude de Mme Steinheil devant la cour d’assises- L’Affaire de l’Impasse Ronsin – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Madame Steinheil devant la cour d’assises – Attitude de Mme Steinheil devant la cour d’assises
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley)
Dos séparé – non circulé
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C’est le grand jour du verdict de cette mystérieuse et retentissante affaire Steinheil. Le timbre retentit, les jurés réapparaissent dans la salle. Messieurs, la cour ! annonce ensuite l’huissier …l’émotion est à son comble. Le chef du jury lit le verdict : Mme Steinheil est déclarée non coupable, en conséquence elle est acquittée. Des applaudissements frénétiques partent de tous les points de la salle. Le public est délirant « les manifestations se prolongent malgré la menace du président de faire évacuer la salle. Quand on introduit l’accusée, qui avait été déjà mise au courant de l’heureux événement par des officiers de la garde, le tumulte devient effroyable. Mme Steinheil est tellement émue quelle

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Madame Steinheil devant la cour d’assises – Le Tribunal

Madame Steinheil devant la cour d'assises-Le tribunal

Madame Steinheil devant la cour d’assises-Le tribunal

Madame Steinheil devant la cour d’assises – Le Tribunal
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley)
Dos séparé – non circulé 
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Avant-dernier jour de cette histoire et de cette affaire Steinheil, nous sommes le 13 novembre 1909 et la parole est à l’avocat général.  » Vous avez eu un complice, femme ou homme, il était dans votre entourage … Nommez-le !. Le prétoire est comme d’habitude entièrement garni, et la partie réservée au public debout est archicomble. L’avocat général rappelle que le ligotage de Mme Steinheil a été une mise en scène et du chiqué. Il évoque aussi cette histoire de 6000 frs qui aurait été retiré la veille par Mr Steinheil et qui aurait été le mobile du crime… mais après vérification auprès du Crédit Lyonnais du boulevard Pasteur on va s’apercevoir que Mr Steinheil n’avait rien tiré du tout. Parlons maintenant des bijoux que Mme Steinheil dit que l’on lui a volés et que l’on retrouve bien cachés dans la maison de campagne du couple. En cette fin de journée et à la veille de la sentence, toutes les contradictions de Mme Steinheil l’accusent d’une complicité avec les criminels de son mari et de sa mère… Le verdict demain !

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