Préfailles – La Plage de Guirouard

Préfailles – La Plage de Guirouard – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Préfailles – La Plage de Guirouard
Deffain éditeur, Préfailles 
dos séparé – circulé 
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Préfailles est une commune de l’Ouest de la France située à 26 kilomètres de Paimboeuf dans le département de la Loire-Atlantique en région Pays de la Loire. En 1911 Préfailles compte 492 Préfaillais et Préfaillaises administrés par le Maire Mr Hamelle(L). L’établissement Hydrothérapique était tenu par Monsieur Gendron, à cette époque les cures et les bains de mer sont à la mode et les plages de Préfailles et Quirouard sont très fréquentées. Difficile de voir ce que transporte l’âne, bien sûr les plages des environs de Préfailles étaient très réputées pour sa pêche dans les rochers … alors est-ce que cette femme revenait de la pêche ?… ce qui est sur c’est que les dormeurs et les homards étaient encore très nombreux à cette époque sur ces plages.

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La Normandie Pittoresque – T’cheu nous, chest la rue sans bout, as-tu fini t’commenche

La Normandie Pittoresque

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La Normandie Pittoresque 
éditeur – Le Goubey – Saint Pierre-église – Ci. A . V 
Dos séparé – non circulé 
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Une petite dernière CPA de la Normandie Pittoresque pour finir la semaine et retrouver la femme au petit chien accompagné de cette belle et jeune Normande et son beau sourire. Bien sur, la légende de cette carte : T’cheu nous, chest la rue sans bout, as-tu fini t’commenche… reste encore un demi-mystère pour moi et comme d’habitude si vous avez une idée de sa traduction exacte, n’hésitez pas à laisser un commentaire. 

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Soirée de Contrat – Oui.. Nous nous aimerons Toujours.

Soirée de Contrat-photographe Stebbing - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Carte illustrée : photo de studio du photographe ; Stebbing Paris
éditeur étoile à 5 branches la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT

Oui ……. Nous nous aimerons Toujours.

Deuxième carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque, Stebbing. La pension est terminée pour cette jeune femme et le brevet est en poche, il est temps maintenant de trouver un mari…c’était très souvent les familles des futurs mariés qui se chargeaient de cette mission. Un contrat était passé entre les parents et les futurs époux sur les conditions de la dote, de l’avenir des futurs mariés, de l’argent et mobilier que les deux familles se proposaient à léguer à leur enfant le jour du mariage.

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Sortie de Pension de jeune fille en 1900 – Les Lycées de Jeunes Filles

Sortie de Pension de jeune fille - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Sortie de Pension
photographe ; Stebbing Paris
Paris éditeur étoile à 5 branches
Je suis heureuse, voila mes derniers prix et mon brevet

Première carte postale d’une série de cinq du célèbre photographe de l’époque Stebbing

Ces quatre cartes postales vont nous montrer la vie que l’on espérait pour les jeunes filles de bonne famille dans les années 1900.
Après des études en pensionnat ou au lycée, les jeunes filles étaient prêtes à commencer leur (vie de femme.) !
Quelques mots sur les lycées en 1900, les Lycées de Jeunes Filles, organisés en France grâce aux efforts de Monsieur, Jules Ferry et Camille Sée, avaient pour but d’offrir aux Jeunes Filles un enseignement parallèle à celui des établissements secondaires de Jeunes Gens. La constitution administrative était réglée par la loi du 21 décembre 1880, complétée par décret du 14 janvier 1882. Le premier Lycée fondé en France a été celui de Montpellier. Paris possédait en 1900, 5 Lycées qui comprenaient chacun 3 sortes de régimes. 

Durée des Études : 5 ans, répartie en 2 périodes : 1° de 12 à 15 ans environ :
Classes de 1er, 2e , 3e années; 2° de 15 à 17 ans : Classes de 4e et 5e années.
On ne pouvait passer d’une Classe dans une autre sans examen, que l’élève subissait sur les matières enseignées dans l’année précédente. Les examens de 3e et de 4e années donnaient droit à des Certificats d’études analogues, l’un au Brevet Élémentaire, l’autre au Brevet Supérieur.

les matières enseignées étaient, la morale, la langue et la littérature françaises, les littératures anciennes, les Langues vivantes vantées, l’Histoire, la géographie, les mathématiques, la physique, et la chimie, l’Histoire Naturelle, l’économie domestique, le dessin, la musique vocale, les travaux à l’aiguille, la gymnastique. L’enseignement religieux était donné dans quelques Lycées, sur la demande des parents, tantôt à l’intérieur de l’établissement, tantôt à la paroisse, où l’on accompagnait les élèves, pourvu que ce soit en dehors des heures de classe; de même, pour laisser à la famille le plus d’initiative possible, on groupait les cours obligatoires dans la matinée et consacré surtout l’après-midi aux cours facultatifs.

Encore un mot sur cette marque et éditeur de cartes postales à l’étoile, elle était installée au 2, rue d’Amsterdam à Paris et contrairement à ce qu’on peut lire dans de nombreux livres sur la cartophilie la marque « étoile » 2, rue d’Amsterdam à Paris. était gérée par  G PIPROT et non pas G. PIROT.

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CPA Paris Vécu – Le Marché dans la rue – Avec son petit chien

Paris Vecu-Le Marche dans la rue -avec petit chien - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

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Paris Vécu- Le Marché dans la rue ( N°67)

L.J & Cie, éditeur , Angoulême – Paris

Dos séparé –  non circulé

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Pas la plus facile carte postale à trouver de la série des 105 que compose cette merveilleuse série Paris-Vécu de l’éditeur Laroche-Joubert (L.J. et Cie, Angoulême-Paris).

Regardez sur la droite de la carte postale comment la très jeune fille a l’air complétement absorbée par la lecture de ce qui ressemble à une carte postale..!  

Quelques mots sur les petites marchandes des quatre saisons avec leur charrette à bras, comme le nom l’indique ces marchandes vendaient un peu de tout en fonction, justement de la saison.

A la veille de la première guerre mondiale les petits marchands de quatre saisons étaient très nombreux dans les rues de Paris.

Il ne faut pas oublier  qu’une grande partie des Parisiens (près de 4 millions intra-muros) faisaient partie de se qu’on à appelé ‘le petit peuple’ et les fins de mois étaient souvent difficiles.

Les légumes étaient la nourriture de base et la plus abordable servant à faire la soupe que l’on mangeait régulièrement  matin, midi et soir.

De nombreux marchands et marchandes de quatre saisons se fournissaient aux halles mais il y avait aussi les maraîchers de la région Parisienne qui avait leurs revendeurs spécialisés de leur production propre à leur ville.

Des villes comme Arpajon ou Brétigny sur orge étaient réputées pour leurs haricots blancs ou flageolets, Montlhéry pour ces potirons, Chambourcy pour ses choux fleurs, Mézières et ses poireaux, Rosny pour ses petits choux de Bruxelles, Montesson pour les navets .
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