Carte Postale Ancienne – De Champigny sur Marne à la Varenne – Le débarquement des Anglais

Carte Postale Ancienne - De Champigny sur Marne à la Varenne - Le débarquement des Anglais

Carte Postale Ancienne – De Champigny sur Marne à la Varenne – Le débarquement des Anglais

Carte Postale Ancienne – De Champigny sur Marne à la Varenne – Le débarquement des Anglais
éditeur FF Paris 
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Environ 3 kilomètres séparent Champigny-sur-Marne à La Varenne-Saint-Hilaire, la promenade sur la Marne se termine pour ces belles dames. Le brave homme qui aide ces charmantes personnes à sortir de la barque doit se dire… À moi ces petites Anglaises …! Mais il me semble voir plutôt un drapeau Suisse que l’Union Jack ou la croix de Saint Georges sur cette embarcation, où est-ce la British Red Cross…?. J’attends vos commentaires si vous avez une idée sur cette bien belle embarcation où sur cette gent féminine..! 

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Signal de Bougy – Juillet 1901- Sortie des actionnaires du GUGUSS et inauguration du nouveau Drapeau

SIGNAL-DE-BOUGY-Illustration-sortie-des-actionnaires-du-GUGUSS-et-inauguration-du-nouveau-drapeau

Signal de Bougy – Juillet 1901- Sortie des actionnaires du GUGUSS et inauguration du-nouveau Drapeau

Sortie des actionnaires du GUGUSS et inauguration du nouveau Drapeau – Juillet 1901 
illustrateur GTR 
dos simple – Non circulé 
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Voici une carte postale sur laquelle je me pose pas mal de questions, après une petite recherche sur la toile j’ai trouvé sur « Les termes Régionaux de Suisse Romande et de Savoie » une définition du mot Piogre qui dit ceci : Endroit non spécifié, que l’on ne veut pas dévoiler, ou très lointain et perdu ». C’est ainsi qu’évoquant la ville de Zebak dans l’usage du monde, Bouvier écrit, pour conclure, une phrase qui contredit sa fonction en laissant les choses ouvertes : « Zebak c´est Piogre ». Expression, en réponse à un curieux : Tu vas où ? — À Piogre, ferrer les mouches. Marc Monnier né à Florence le 7 décembre 1829 et mort à Genève le 18 avril 1885, écrit en 1861 dans Les amours Permisses, Continuer la lecture

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La Fanfare de Cocumont en juin 1914

Fanfare de Cocumont en juin 1914

Fanfare de Cocumont en juin 1914

Fanfare de Cocumont en juin 1914 ( Lot & Garonne) Juin 1914 
Président : M. Défons, conseiller d’arrondissement. Directeur M. Dupeyron, Officier d’Académie
Dos séparé – non circulé
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La date fatidique du 4 août 1914 est proche, mais personne à Cocumont en ce mois de juin n’imagine que la Grande guerre va bientôt commencer et durée 4 ans. Cocumont dans ces années 1910 est une ville d’environ 1400 habitants administrée par le maire Mr Marzelles. Le président de cette fanfare est Mr Défons Frantz, Quincaillier de son métier et le directeur est Mr Dupeyron.
Les fêtes patronales de Cocumont avaient lieu le 24 juin et les 29 aout, c’était l’occasion d’entendre cette fanfare dans les rues de cette ville du Lot et Garonne située à 16 kilomètres de Marmande

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Nos Marionnettes de Gaston-Cony-Oeuvre de Propagande

Nos-Marionnettes-Gaston-Coty-président-fondateur-Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Nos-Marionnettes- Oeuvre de Propagande et de Perfectionnement

Président-fondateur : Gaston-Cony

éditeur : collection G.Cony – Paris

dos séparé – non circulé

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Gaston Cony est un personnage à redécouvrir; il joue en effet un rôle important dans la vie intellectuelle parisienne durant la Grande Guerre et les premières années qui suivirent l’armistice. Il est alors l’un des plus grands marionnettistes français. Son père, prestidigitateur avec G. Méliès au Théâtre Robert-Houdin, avait créé en 1890 le castelet des Buttes-Chaumont. Ce petit théâtre avait été transformé en Guignol de la guerre dès août 1914 par les soins de G. Cony qui y faisait jouer des pièces de son cru, œuvres essentiellement patriotiques et anti-allemandes. Un certain nombre d’entre elles furent d’ailleurs réunies dans un recueil intitulé Guignol fait la guerre où figurent, par exemple, Guignol en sentinelle, Le Kaiser en fuite, Noël en fuite et, enfin Guignol poilu, laquelle, selon toute vraisemblance, inspira à Apollinaire le titre du poème qui nous intéresse ici.

Mais Cony est aussi le fondateur, en 1917, de Nos marionnettes, œuvre de propagation de la culture guignolesque, que La Tramontane mentionne dans sa notule. Cette Œuvre française de propagande et de perfectionnement avait aussi son organe officiel, la revue Marionnettes et guignols, Artistique-revue, publiée à Nice. L’entreprise bénéficiait, outre le patronage officiel de Raymond Poincaré, d’un important comité de soutien formé d’écrivains et de poètes parmi lesquels on rencontre Pierre Mac Orlan, Edmond Rostand, Henri Barbusse et, évidem­ment, Guillaume Apollinaire.

Poème écrit le  3 avril 1917 par Guillaume Apollinaire à Gaston Cony 

GUIGNOL-POILU

A Gaston Cony

Guignol, depuis ma tendre enfance

Je t’aime et toujours pense à toi,

N’es-tu pas un vrai fils de France?…

Honnête, tu nargues la Loi.

 Je te vis aux Champs-Elysées,

Les baraques sont toujours là.

La joue et la bouche rasées,

Ton catogan, ton ventre plat,

 Je les revis aux Tuileries,

Je te vis surtout lyonnais,

Il faut donc que toujours tu ries?…

La bonne humeur, tu la connais!…

 Je me souviens des parodies,

Tu jouais la grande opéra.

Toujours, toujours, quoi que tu dies,

Je ris, je t’aime et cœtera…

Je t’ai vu dans La Dame Blanche,

L’Africaine, les Frères Coq,

Les Cloches, Faust, chaque dimanche,

Et maintenant soldat de Foch

Ou de Pétain, pour notre belle

France, en haut des Buttes-Chaumont,

Sous les ordres du grand Nivelle

Tu nous montres à tous comme on

Peut garder par ce temps de guerre

Une gaieté de bon aloi.

Ô mon cher Guignol militaire,

Toi qui ne rosses plus, ma foi,

Ni commissaire, ni gendarme,

Mais zigouilles les sales Boches,

Lundi, fais-moi donc rire aux larmes,

J’aurai des mouchoirs plein mes poches!.

Épitaphe de Gaston CONY

Les Guignols sont des Philosophes, les plus terribles catastrophes n’ont jamais éteint leur gaîté.

Ils restent dans cette atmosphère lorsque nous les quittons pour faire le grand saut dans l’éternité 

                                                                                                              Gaston CONY

Texte:Guignol au front des revues de Patrice ALLAIN et Gabriel PARNET

 

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Le Palais du Costume de l’exposition universelle de 1900 à Paris

le palais du Costume – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Palais du Costume

Baschet, édit

Dos simple -non circulé

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 Le Palais du Costume était l’un des nombreux palais ou pavillons construits pour la cinquième exposition universelle de 1900 organisée à Paris après celle de 1855, 1867,1878 et celle de 1889.

L’inauguration fut faite par le président Émile Loubet le 14 avril et ouvrira au public le 15 avril.

Après 212 jours d’ouverture et plus de 50 millions de visiteurs, elle se termine le 12 novembre,

Mais revenons à ce palais du Costume de l’architecte M. Marcel, d’une surface de plus de 2500m2  il était installé face à la tour Eiffel.

 Les Parisiens et visiteurs de l’époque pouvaient y voir 34 mises en scène façon  musée Grévin mais à une échelle beaucoup plus luxueuse retraçant toute l’histoire du costume de l’Antiquité au XX° siècle.

 Plus d’un million de visiteurs payant 1,50fr viendront admirer les costumes de Mr.Félix.

Les précisions sur ce tailleur sont bizarrement très minces et je n’ai rien trouvé de plus sur ce couturier sur des sites pourtant très bien documentés :

Voir ce Site : Exposition Universelle 

   Alors j’ai cherché sur mes bottins de 1900 et à cette époque un seul Félix tailleur pour dames était installé à Paris dans les beaux quartiers de paris :

FÉLIX. T. 245-79.. 15 Fg St-Honore » , alors peut être une piste ?

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