Chousy-sur-Cisse – Fabrique de Balais – Vue de l’intérieure

Chousy-sur-Cisse-Fabrique-de-Balais.

Chousy-sur-Cisse – Fabrique de Balais – Vue de l’intérieure – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Chousy-sur-Cisse – Fabrique de Balais – Vue de l’intérieure
éditeur Chassier – Phototypie Vannier-Blois 
dos séparé – non circulé 
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Située à 10 kilomètres de Blois, Chousy-sur-Cisse est une commune située dans le département de Loir-et-Cher en région Centre . En 1910, la fabrique de balais Ragon et Cie est bien installée dans cette commune administrée par le maire de l’époque Monsieur Gillard ( J. B). Cette fabrique de balais est importante pour les 1402 habitants et les ateliers ne chôment pas. Il faut dire qu’à cette époque l’utilisation de ces balais est journalière pour toute la population française. l’arrivée des matières plastique et des aspirateurs électriques verra le déclin de cette fabrication semi-artisanal. Il reste, en France très très peu de fabricants de ces balais, leur fabrication étant aujourd’hui faite malheureusement dans d’autres pays que la France.  

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Carte Postale de Rosières-en-Picardie – La Fabrique

Rosieres-en-Picardie-La Fabrique

Rosieres-en-Picardie – La Fabrique

Rosières-en-Picardie – La Fabrique
Rohaut, éditeur
Dos séparé – circulé sous enveloppe en 1914
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Cette carte postale est assez peu courante et très appréciée des collectionneurs de cette région de Picardie. Rosières-en-Santerre ou Rosières de Picardie, comme il est écrit sur les bottins en 1910 est située à 23 kilomètres de Montdidier et 139 km de Paris. À cette époque Rosières compte 2399 habitants administrés par le maire Monsieur Thiebaud (J.), son juge de paix est Mr Caron. Difficile de dire (pour moi) avec certitude si ce cliché nous montre la fabrique de briques Brillard ou celle de Fournier-Roussel, ou encore celle de Galland Ernest (spécialiste des gilets et fabrication de torchons d’essuyage cellulaires) ou celle de la sucrerie Blériot et Cie. Que les spécialistes de cette ville de Rosières-en-Santerre ne se gênent surtout pas pour me laisser un commentaire s’ils ont la réponse. Bien sur comme beaucoup de villes de cette région Rosières ne sera pas épargnée par la Grande guerre, et dès octobre 1914 la ville sera bombardée par les lignes Allemandes, les premières cibles seront justement les usines et par conséquent de la proximité du village, une quarantaine de maisons seront détruites. 

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Étrépagny – La Fabrique de Sucre en 1910

Etrepagny-Fabrique de Sucre

Etrepagny – Fabrique de Sucre

Étrépagny  ( Eure) – La Fabrique de Sucre 
Lapaire, éditeur, à Etrépagny l’Eure 
Dos séparé – non circulé 
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Nous voilà à Étrépagny dans le département de l’Eure en région de Haute Normandie. Dans les années 1910 cette commune compte 2349 habitants administrée par le maire Mr Drouelt (L). Située à 104m d’altitude et à 18 kilomètres des Andelys, Étrépagny en 1910 ne manque pas de commerces et de fabriques, tous les métiers sont bien présents et en grand nombre pour une ville d’un peu plus de 2000 Sterpinaciens et Sterpinaciennes. Citons les fabriques de briques et de tuiles, Maison Menessier Henri et Rigel Émile. La fabrique de Dominos, Maison Rouget. La fabrique d’orgues, Maison Richard (J) et Cie et bien sûr cette fabrique de sucre que l’on voit sur cette carte postale, fabrique centrale qui avait en 1910 Monsieur Krug comme directeur. 

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Carte Postale Ancienne de Creysse – La Fabrique de papiers

Creysse-Fabrique de papiers

Creysse – Fabrique de papiers

Creysse-Fabrique de papiers 
poste et télégraphe à Mouleydier – Gare à Creysse-Mouleydier 
éditeur V.Lefebvre, libraire à Bergerac (Dordogne)
Dos séparé -circulé à découvert
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Restons en Dordogne avec cette carte postale de la ville de Creysse et de sa fabrique de papier. En 1910 Creysse est une petite ville de 782 habitants administrée par le maire Mr de la Panouse. La fabrique de papier à cette époque appartient à Bernard-Dumas et Cie ( succ. A. Fioroni). À noter la fabrique de vinaigre tenue par la maison Laururie. Il y a Trois châteaux sur les terres de Creysse à cette époque ; Château Le Roc appartenant à M. Gagnelé; Château Malbernac du Marquis de Foucauld et le château Tiregand du Comte de la Panouse.

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Le Grand Hall de la sucrerie de Païl’Mel de Toury

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Sucrerie et Fabrique de Païl’Mel de Toury ( Eure -et-Loir)

Le Grand Hall

Dos séparé ( publicitaire ) – non circulé

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Le Peïl’Mel

Publicité ou Publi-reportage parue en 1922 dans la presse Agricole

Alimentation des chevaux et du bétail

Grosse économie, Meilleur santé par le Païl’Mel

Le Païl’Mel, contenant aux 100 kilos environ 25 à 27 kilos de sucre et 90 kilos de mélasse, est le moins cher de tous les aliments mélassés, celui qui donne au plus bas prix le kilogramme de matières digestibles.

Le Païl’Mel, composé de paille de blé hachée, stérilisée et de mélasse étroitement incorporées par les procédés Maurice Lambert, offre un produit non visqueux, pulvérulent, d’une composition régulière, d’un emploi facile et d’une conservation parfaite, dans un grenier sec.

Un kilo de Païl’Mel remplace un kilo d’avoine.

La valeur nutritive de Païl’Mel est voisine de celle de l’avoine et son emploi est tout indiqué pour le cheval de troupe.

Le Païl’Mel, aux chevaux, facilite la digestion, supprime les coliques, donne un poil brillant, augmente la vigueur et l’énergie, constitue un excellent remède pour les chevaux poussifs.

Le Païl’Mel aux bœufs d’engrais et aux porcs, donne un engraissement rapide et une viande de première qualité.

Le Païl’Mel, aux vaches laitières, augmente la qualité du lait.

Le Païl’Mel, rapidement assimilable, active la digestion des autres matières alimentaires auxquelles il est mélangé.

texte : sur moulin Chauffour
  

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Le Païl'Mem - Usine de Toury



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