Tonnerre – Place du centre

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Tonnerre – Place du centre

Dos séparé -Non circulé

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Le Magasin de confection Jorry -Prieur trône en plein centre de la place  et l’hôtel du Lion d’Or est toujours la propriété de Monsieur Jusseaume.

J’ai imaginé quelques secondes ce que ferait de revoir en place le magasin Jorry -Prieur ,l’hôtel du Lion d’Or et la mercerie sur la place en 2010.

Alors, je me suis encore une fois amusé à faire un petit montage photo d’un mélange de 1900 et de 2010.

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Sur mon petit montage

Le Magasin Jorry -Prieur a remplacé le magasin d’électroménager (Gitem), l’hôtel du lion d’Or à pris la place de l’agence (89 immobilier)

et la mercerie est maintenant un magasin d’habits et sous-vêtements.

Petit montage 1900 -2010 - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Photo avec google Maps
 





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Paris – Station de Métropolitain – Pasteur

Station de métro Pasteur - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

1758     Paris –  Une Station de Métropolitain. _ LL.

éditeur LL. ( Levy Lucien  et fils )

Dos séparé – circulé à découvert en 1910 en destination de Montévideo (Uruguay )

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Cette carte date des années 1900/1910, et j’ai l’impression d’avoir connu cette ambiance.

Je m’explique avant que l’on me passe une camisole de force, dans les années 1960 je prenais assez souvent le métro avec mes parents et mon frère.

Et je me rappelle très bien de cette cabine de gardien  en plein milieu du quai, de ces bancs en bois ou des places étaient encore réservé, du préposé aux fermetures des  portes et de cette phrase  ‘attention à la fermeture des portes’,  de la poinçonneuse à l’entrée du quai en train de tricoter.

je me rappelle aussi des centaines voir des milliers de confettis et tickets sur le sol que je m’amusais à empiler pour en faire un gros paquet que ma mère me faisait lâcher en sortant du métro .

Il y avait aussi un peu plus tard ou a la même époque je me souviens plus très bien ce portillon qui se fermait juste avant l’arrivé de la rame de métro et que l’on essayait de forcer en vain pour passer.

Enfin je me rappelle aussi des gens qui se levaient naturellement pour laisser leur place assisse à une personne âgée ou à une femme enceinte !

J’ai encore la chance d’avoir ma maman qui (je ne vous dirait pas son age, mais ça commence par un 8 . ), prend encore le métro et bien croyez le si vous le voulez la plus part du temps elle reste debout quand les places assise sont occupées , et oui !!

Et vous, avez vous encore des souvenirs de cette époque , qui n’est pas si loin que ça !!


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Paris Vécu – Aux Champs – Elysées

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Paris Vécu – Aux Champs – Elysées ( N° 11)

L.J & Cie, éditeur , Angoulême – Paris

Dos simple –  non circulé

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Sur cette carte on distingue des nounous et nourrices

Les Nourrices vers 1900 étaient engagées par des jeunes femmes  bourgeoises  Parisiennes  pour allaiter leur bébé.

Ces nourrices étaient le plus souvent de jeunes mères vivant à la campagne, relevant de couches et ayant des bébés en pleine santé.

La région du Morvan a été certainement l’endroit le plus convoité pour trouver ces nourrices, contre un salaire nettement plus important que ces jeunes femmes pouvaient espérer toucher dans leur région, elles abandonnaient provisoirement leur mari et enfants pour aller travailler à Paris.

Il n’était pas rare que les nourrices restent souvent plus longtemps que prévu dans ces familles, devenant ainsi les nounous et gouvernantes des enfants qu’elles avaient allaités.

En contrepartie de leur dévouement et certainement pour les garder le plus longtemps possible à leur service, les familles bourgeoises faisaient en sorte de bien les traiter leur donnant une chambre particulière et des vêtements de qualité.

Les enfants grandissant et n’ayant plus besoin de nounous, un grand nombre de ces femmes étaient congédiées et devaient retourner dans leur campagne, ou elles étaient considérées très souvent par les habitants de leur petit village comme des filles de rien ayant abandonné famille et enfants pour travailler à Paris.

Mais tous les sacrifices de ces jeunes femmes avaient souvent qu’un seul but, ramener le plus d’argent possible pour se faire construire une maison, souvent appelée ironiquement par leurs détracteurs  « Maison de lait ».



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Montmorency – Ruines de la Maison de Grétry

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Montmorency – Ruines de la Maison de Grétry

édit , réservé au souvenir de Montmorency

Simi-Bromure A ,Breger , 9 rue thenard.

dos séparé – circulé à découvert en 1905

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Les ruines de la maison à Montmorency ou vécu André Modeste Gretry né à liége en 1741 et décédé en 1813.

De l’age de 57 ans jusqu’à sa mort André Modeste Gretry vécu dans cette maison qui fut auparavant la propriété de Jean-Jacques Rousseau.

André Grétry était un compositeur et un musicien célèbre, parmi ses plus grands succès on compte  Zémire et Azor , l’Amant Jaloux et la Caravane du Caire qui après adaptation deviendra un des chants militaires les plus populaires au sein de l’armée impériale de Napoléon Ier .

Un parcourt quand même peu ordinaire que celui André Modeste Gretry nommé directeur de musique de la reine Marie-Antoinette, Admiré de Robespierre et protégé de Napoléon, qui le décora chevalier de la Légion d’honneur en 1802.

Il fut enterré au cimetière du Père-Lachaise mais son cœur sera rapatrié dans sa ville natale en 1842 et déposé dans sa statue en bronze, en face de l’Opéra Royal de Wallonie

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Tout Paris – Square Parmentier

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79 – Square Parmentier (XIe arrt)

Collection  Fleury  – Tout Paris

Dos séparé -non circulé

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Encore un square ou enfant j’ai traîné mes guêtres , mais au plus profond de mes souvenirs, je ne me rappelle pas d’avoir appelé ce square autrement que Parmentier un peu  comme la place Voltaire qui s’appelle depuis des lustres la place Léon Blum.

Et pourtant à fin de la guerre de 1939  le square a été rebaptisé square Maurice Gardette à la mémoire de ce conseiller municipal du 11e arrondissement et conseiller général de la Seine, arrêté en tant que communiste et livré aux Allemands comme otage il sera  fusillé le 22 octobre 1941 avec 26 autres otages à Châteaubriant.

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