
Les Cris de Paris – Le Quotidien – Le Petit Bleu de Paris – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
Les Cris de Paris – Le Quotidien – Le Petit Bleu de Paris – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
Voici un magnifique attelage auquel les spécialistes du site de l’attelage Français pourraient donner un nom. Ce qui est sur c’est que cette jeune femme a l’air de bien s’amuser à conduire cet attelage (sans nom pour instant). Les routes du Paris de 1900 ne sont pas toujours appropriées pour les sabots des chevaux et c’est bien souvent grâce aux maréchaux-ferrants si ces jeunes femmes conduisent si facilement leurs chevaux. On compte en 1900 à Paris environ 160 maréchaux-ferrants. Leurs Forges sont généralement installées dans les quartiers où la population chevaline est nombreuse. Quelques-uns de ces Établissements (15 à 30) sont dirigés par des vétérinaires qui y donnent des consultations. Le prix de la ferrure est de 5 frs. à 7 frs. suivant la perfection du travail. Les fers en caoutchouc de 6 à 8 frs. les 2 pieds, suivant la qualité et la forme de la matière employée. Les fers peuvent être payés à la pièce, mais les maréchaux font aussi des abonnements pour l’entretien de la ferrure, à des prix qui varient avec le service des chevaux, qui amène une usure plus ou moins rapide.
Dinan – La porte de l’hôtel Beaumanoir – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
Comme promis, un petit clin d’oeil a une personne qui travaille dans une Banque Nationale de notre capitale. Nous voici à Dinan dans les années 1910, devant cette grande porte qui se trouve encore à l’angle des rues Lardrerie et Haute Voix. Ne cherchez pas aujourd’hui à voir la statuette de la sainte vierge que l’on voit sur cette carte postale car son emplacement est vide, bien sur si vous savez ce qu’est devenue cette statuette, n’hésitez pas à me laisser un message. Mais revenons en 1910, à cette époque le maire est monsieur Jouanin Jules et la ville compte 11078 Dinannais et Dinannaises. Voici ce que l’on pouvait lire à cette époque
Et si i gèle cette nuit ?
Ben mon vieux on pourra s’asseoir
Poulbot N°11– A, Ternois, éditeur 56 rue d’Aboukir Paris – Visé 11
Dos séparé – non circulé
§
Suite et fin de cette série de l’illustrateur Poulbot sur le patriotisme vu par Poulbot pour atteindre la victoire de cette Première Guerre mondiale.
Et si i gèle cette nuit ?
Ben mon vieux on pourra s’asseoir
La Fête Foraine Le Marchand de Coco – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails
Nous sommes dans les années 1900 et les enfants qui s’amusent à la fête foraine se désaltèrent en buvant du Coco. Pour les très jeunes et moins jeunes, n’imaginez pas que ce coco était le jus de la noix de Coco que l’on trouve maintenant un peu partout dans les supermarchés…Que nenni, en fait cette boisson était le résultat tout simplement de la macération de bois de réglisse dans de l’eau citronnée que l’on servait bien frais. À cette époque le verre de coco était bon marché et se vendait environ 5 centimes, ce qui était à la Belle Époque encore accessible à beaucoup. Bien souvent le marchand de coco de la belle saison se transformait en hiver en vendeur de tisane bien chaude, en passant de… » Venez boire le Coco.. Le Coco.. Le Coco.. bien frais » À… Venez boire ma tisane…elle est chaude très chaude ma tisane…!