Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

Publié le 8 juin 2015 par Pascal

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Un soir, vaincu par le labeur
Où s’obstine le front de l’homme,
Je m’assoupis, et dans mon somme
M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle
Pensée ; elle voulait s’ouvrir,
Et moi je m’en sentais mourir :
Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet :
A mesure que ses pétales
Forçaient les ténèbres natales,
Ma force à moi diminuait.

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Tout Paris – les Buttes Chaumont – Le chemin de fer de ceinture au Tunnel

Publié le 7 juin 2015 par Pascal

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Tout-Paris-Buttes-Chaumont-chemin-de-fer-de-ceinture-au-tunnel.

Tout Paris – les Buttes Chaumont – Le chemin de fer de ceinture au Tunnel

éditeur – Collection Fleury

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Sortons de notre « train-train » quotidien pour allez voir le chemin de fer dans le Paris de la belle époque. En 1900, la longueur d’exploitation est de 141 kilomètres pour la grande Ceinture et de 32 kilomètres pour la Ceinture de Paris. c’est Le Baron Alphonse de ROTHSCHILD, ou, en son absence, M. Van BLARENBERGHE qui préside le Syndicat des Chemins de Ceinture de Paris. Ce Syndicat de Grande Ceinture étant une association entre les Compagnies de l’Est, du Nord, d’Orléans et de P-L-M., formée en 1875, dans laquelle est entrée la Compagnie de I’O. en 1880. Le Chemin de fer de la petite Ceinture fait le tour de Paris, à l’intérieur des fortifications. Le trajet entier dure

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Tout Paris – Ecole Centrale – vue prise de la rue Turbigo

Publié le 6 juin 2015 par Pascal

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Tout Paris – Ecole Centrale – vue prise de la rue Turbigo – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Tout Paris – 106 – Ecole Centrale ( III arrt ) – vue prise de la rue Turbigo

éditeur Collection F.Fleury

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La rue Turbigo dans les années 1900 et la rue Montgolfier où se trouve l’école centrale Paris, ou tout simplement centrale, mais le nom officiel est École centrale des arts et manufactures. Située au 1 de la rue Montgolfier, l’école est fondée en 1829 pour former des ingénieurs pour l’industrie et les services publics. En 1900 l’admission se fait par concours ( 2 par an « juillet et octobre ») en adressant sa demande au directeur de l’école avant le 20 juin ou le 10 septembre. L’âge minimum pour s’inscrire est de 17 ans et il vous sera demandé de fournir un certificat de moralité et un certificat de vaccination. Le nombre d’élèves est de 680 et la durée des études sera de 3 ans avant de recevoir le diplôme d’ingénieur des arts et Manufactures.

Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – Vue panoramique en 1910

Publié le 5 juin 2015 par Pascal

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Fontenay-aux-Roses-La-rue-des-chataigniers-vue-panoramique

Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – vue panoramique – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

42 Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – Vue panoramique

éditeur FF Paris ( F.Fleury )

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Erreur dans la légende de cette carte postale ou découpage de secteurs avec le temps, en tout cas en cherchant cette rue avec Google Maps je me retrouve à Clamart. Il faut bien choisir, alors parlons de la ville de Fontenay-aux-Roses située dans le département des Hauts-de-Seine en région Île-de-France. En 1910 la ville est un arrondissement et canton de Sceaux et compte 4023 habitants administrés par le maire et Docteur Monsieur Soubise. À cette époque la poste et télégraphes se situent place Carnot, l’asile Ledru-Rollin est au 2 rue de Bagneux et l’École Normale Supérieure d’institutrice dirigée par Madame Dejean de la Bâtie au 1,3et 5 de la rue Boucicaut.

Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN

Publié le 4 juin 2015 par Pascal

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Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN

Un dahlia

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,
Elève sans orgueil sa tête sans odeur,
Irritant au milieu des jasmins agaçants !

Paul VERLAINE (1844-1896)

Catharina Klein est née en 1861 à Eylau, petite ville de Prusse-Orientale. Artiste peintre de nationalité allemande. Catharina Klein est également connue sous le nom de
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Cartes Postales Anciennes

Cartes Postales Anciennes de Bastille91

Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

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Un soir, vaincu par le labeur
Où s’obstine le front de l’homme,
Je m’assoupis, et dans mon somme
M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle
Pensée ; elle voulait s’ouvrir,
Et moi je m’en sentais mourir :
Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet :
A mesure que ses pétales
Forçaient les ténèbres natales,
Ma force à moi diminuait.

Tout Paris – les Buttes Chaumont – Le chemin de fer de ceinture au Tunnel

Tout Paris – les Buttes Chaumont – Le chemin de fer de ceinture au Tunnel

éditeur – Collection Fleury

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Tout Paris – Ecole Centrale – vue prise de la rue Turbigo

Tout Paris – 106 – Ecole Centrale ( III arrt ) – vue prise de la rue Turbigo

éditeur Collection F.Fleury

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Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – Vue panoramique en 1910

42 Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – Vue panoramique

éditeur FF Paris ( F.Fleury )

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Le Bouquet de DAHLIA signée Catharina KLEIN

Un dahlia

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,
Elève sans orgueil sa tête sans odeur,
Irritant au milieu des jasmins agaçants !

Paul VERLAINE (1844-1896)

Bonne fête à tous les Armande et Armand avec ce bouquet signé Catharina KLEIN

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Un soir, vaincu par le labeur Où s’obstine le front de l’homme, Je m’assoupis, et dans mon somme M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle Pensée ; elle voulait s’ouvrir, Et moi je m’en sentais mourir : Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet : A mesure que ses pétales Forçaient les ténèbres natales, Ma force à moi diminuait.

Tout Paris – les Buttes Chaumont – Le chemin de fer de ceinture au Tunnel

éditeur – Collection Fleury

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Tout Paris – 106 – Ecole Centrale ( III arrt ) – vue prise de la rue Turbigo

éditeur Collection F.Fleury

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42 Fontenay-aux-Roses – La rue des Châtaigniers – Vue panoramique

éditeur FF Paris ( F.Fleury )

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Un dahlia

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf, Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun Arôme, et la beauté sereine de ton corps Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins Exhalent celles-là qui vont fanant les foins, Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur, Elève sans orgueil sa tête sans odeur, Irritant au milieu des jasmins agaçants !

Paul VERLAINE (1844-1896)

Un soir, vaincu par le labeur
Où s’obstine le front de l’homme,
Je m’assoupis, et dans mon somme
M’apparut un bouton de fleur.

C’était cette fleur qu’on appelle
Pensée ; elle voulait s’ouvrir,
Et moi je m’en sentais mourir :
Toute ma vie allait en elle.

Echange invisible et muet :
A mesure que ses pétales
Forçaient les ténèbres natales,
Ma force à moi diminuait.

Courtisane au sein dur, à l’oeil opaque et brun
S’ouvrant avec lenteur comme celui d’un boeuf,
Ton grand torse reluit ainsi qu’un marbre neuf.

Fleur grasse et riche, autour de toi ne flotte aucun
Arôme, et la beauté sereine de ton corps
Déroule, mate, ses impeccables accords.

Tu ne sens même pas la chair, ce goût qu’au moins
Exhalent celles-là qui vont fanant les foins,
Et tu trônes, Idole insensible à l’encens.

Ainsi le Dahlia, roi vêtu de splendeur,
Elève sans orgueil sa tête sans odeur,
Irritant au milieu des jasmins agaçants !