Le Plant – Champigny-sur-Marne – Villa Saint Rémy- d’Hier à Aujourd’hui

Carte Postale Ancienne - Le Plant Champigny - Villa Saint Rémy

Le Plant – Champigny-sur-Marne – Villa Saint Rémy- d’Hier à Aujourd’hui.

Carte Postale Ancienne – Le Plant Champigny – Villa Saint Rémy
éditeur ELD ( Ernest Louis le Deley )
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Hier je vous racontais d’ou venait le nom de ce quartier ( Le Plant ) de Champigny-sur-Marne, aujourd’hui parlons un peu de cette ville de Champigny. Commune d’Île-de-France, située dans le Val-de-Marne, Champigny-sur-Marne en 1910 compte 8520 Campinois, Campinoises où campiniens, campiniennes . Le maire de l’époque est M. Pouillet et son secrétaire de mairie M. Guépin. La poste- télégraphe est située 4 rue Duperthuis, l’hôpital Guittard 54 grande rue et l’ophelinat Véronesc , 64 rue des Sapins. Cent ans plus tard la rue existe toujours, comme vous pouvez le voir sur cette image Google-Maps. 

Le-Plant-Champigny-sur-Marne- Villa Saint Rémy- d'Hier à Aujourd'hui.

Le-Plant-Champigny-sur-Marne- Villa Saint Rémy- d’Hier à Aujourd’hui.

Le Plant – Champigny-sur-Marne – Villa Saint Rémy- d’Hier à Aujourd’hui.

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Tout Paris – La Villa du Bel-Air en 1910

Tout-Paris-La-Villa-du-bel-Air

Tout Paris – La Villa du Bel-Air

Tout Paris – 1101 –  La Villa du Bel-Air ( XIIe Arrt ) 
Collection F.Fleury
Dos séparé-circulé à découvert 
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Allons faire un petit tour dans le 12e arrondissement à l’angle du N° 9 de la rue du Niger et  du N° 1 de la Villa du Bel-Air. Voici quelques  noms des habitants de cette rue en 1910.  Au N°1 les architectes Mr Mr Chauliat et Mr Jourdin ; Au N° 2 l’épicerie est tenue par Mlle Farinet ; Au N° 4 habite Mr Martel Felix ; L’institution de jeunes filles est au N° 9 et madame Fischer en est la responsable ; Au N° 10 La librairie du Monopole est l’affaire de Mr Arnoult (J) ; Au N° 15 habite le député Mr Vaillant ; Le N° 17 était le studio photo du photographe Mr Gossin et finissons par le N° 18 ou se trouvait Mr Thomas de Castelnau  et Mr Thomas Raphael ( littérature ).  

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Villa Draveil – Villa Pécoul – l’Avenue de Beaumont – l’Avenue Jean-Jacques-Rousseau

 

Villa-Pécoul-Villa-Draveil

Villa Draveil – Villa Pécoul – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Villa Draveil – Villa Pécoul
éditeur – Bauthamy – Café restaurant,  Juvisy
dos séparé – circulé sous enveloppe
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Difficile d’imaginer cet endroit aujourd’hui tellement l’endroit a changé. Au loin et sur la gauche de cette carte postale on peut distinguer une maison assez particulière, dotée d’une tour et d’une grange terrage en guise de toit, cet endroit est aujourd’hui l’avenue de Beaumont. Difficile par contre de situer exactement l’endroit ou l’homme au premier plan pose fièrement devant le photographe, peut être ce qui est maintenant l’avenue Jean-Jacques-Rousseau ou l’avenue des Lilas. Bien sur si vous avez la réponse exacte n’hésitez pas à me laisser un commentaire.  

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Sèvres – Villa Brancas – Rue de la Grille du Château

Sévres - Villa Brancas - Rue de la Grille du Château

Sèvres – Villa Brancas – Rue de la Grille du Château

63 – Sévres – Villa Brancas – Rue de la Grille du Château  
collection Fleury – Dos séparé – circulé à découvert 
Genre Bromure  Viré – Reproduction interdite 
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Après un mercredi bien rempli avec les petits enfants à la maison,  continuons cette journée avec carte postale de Sèvres. Est-ce que le photographe a demandé à cette jeune femme de mettre son enfant dans cette petite charrette, ou est-ce tout simplement la petite balade journalière de cette maman. On ne sera jamais la réponse et c’est bien ainsi… mais que le cliché de cette carte est bien sympathique…

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91-Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte

91-Villa draveil-inondation 1910-terrasse du restaurant Lapreuvotte  - Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

91-Villa draveil-inondation 1910-terrasse du restaurant Lapreuvotte – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

 7 – Villa Draveil – Inondation 1910 – Terrasse du restaurant Lapreuvotte
édition EM  
Dos séparé – non circulé
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L’inondation de 1910 n’a pas épargné non plus la banlieue sud de Paris et la situation à été dramatique aussi pour les essonniens.
Mais passons les durs moments du mois de janvier et voyons le commencement de la décrue au début du mois de février.
Dans la vallée de l’orge, depuis Dourdan jusqu’à Juvisy, la situation est bien meilleure, sauf à Perray-Vaucluse, où la route et plusieurs chemins sont encore envahis et impraticables. L’orge et l’Yvette sont à peu près rentrés dans leurs lits.
À Ris-Orangis, Athis-Mons, Ablon, Viry-Châtillon, Draveil et Juvisy, la baisse de la Seine dans les dernières vingt-quatre heures n’a été que de dix centimètres ; le beau persistant, on s’attendait à mieux. La baisse précédente dans le même laps de temps avait été de quinze centimètres. Les chemins de halage, tout en n’étant pas tout à fait dégagés, sont praticables.
Dans la plaine, les lacs laissés par la crue diminuent sensiblement. Port-Aviation est en très grande partie dégagé.

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