Nogent – Le Perreux – Les bords de la Marne et l’ile d’amour

Carte postale Ancienne-Nogent-Le perreux-Les bords de la Marne-l'ile d'amour

Nogent-Le perreux-Les bords de la Marne-l’ile d’amour

Nogent-Le Perreux – Les bords de la Marne et l’ile d’amour
éditeur E.M
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L’Ile d’Amour, on dit que les femmes de petites vertus amenaient leur amant d’un jour sur cette ile d’Amour, quand il était repu et bien endormi, elle le délestait de son argent et repartait avec la barque le laissant sur l’île… à jurer, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus.

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Juvisy-sur-Orge – La Conquête de l’air – Préparatifs de départ de Delagrange

Juvisy-sur-Orge - La Conquête de l'air - Préparatifs de départ de Delagrange

Juvisy-sur-Orge – La Conquête de l’air – Préparatifs de départ de Delagrange – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Juvisy-sur-Orge – La Conquête de l’air – Préparatifs de départ de Delagrange
P.A Collection Paul Allorge, Montlhéry  – série CL 9. 
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Le 23 mai 1909, l’inauguration de ce qui s’appellera dorénavant  PORT AVIATION  La réunion débuta par une épreuve de cerfs-volants. Quant aux essais d’aéroplanes, c’est seulement après quatre heures qu’ils commencerent. Tour à tour les aviateurs de Pischoff, Routier et Delagrange tentèrent des envolées. Les meilleurs résultats furent obtenus par Delagrange qui, notamment, vers sept heures du soir, réussit un vol superbe de 14 minutes. Rougier, dont on espérait une superbe performance, fut peu heureux, et dans un atterrissage brusque brisa son équilibreur.

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Les Bords du Loiret – Pres Madagascar – Olivet

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Les-Bords-du-Loiret-Pres-Madagascar-Olivet

172 – Les Bords du Loiret – Pres Madagascar – Olivet
éditeur ND phot 
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Rien de t’elle qu’une petite promenade sur les bords du Loiret au début du XX ème siècle. Renommé pour ces guinguettes Olivet et son restaurant Madagascar était le lieu rêvé pour les citadins Orléanais et les autres en quête d’un bol d’air et d’amusement. À cette époque le propriétaire Fernant Couillard propose de déjeuner ou diner à toute heure. La location de barques est prévue et même un service de canot automobile est à votre disposition en appelant le 31. Fermons les yeux et imaginez-vous devant un bon verre de vin blanc entrain de manger une petite friture de gardons du Loiret. ( A noter que ce restaurant Madagascar existe toujours, la friture est encore au menu…. les éperlans ont remplacé les petits gardons, mais le cadre reste bien agréable pour passer un bon moment  ( Madagascar 315 rue de la Reine Blanche, Olivet 45160).

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Ferrières en Gâtinais – Le Pont des Martinets sur la cléry

Ferrières-Le-Pont-des-Martinets

Ferrières en Gâtinais – Le Pont des Martinets sur la Cléry – Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Ferrières ( Loiret) – Le Pont des Martinets
éditeur V.O
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Ferrières-en-Gâtinais et plus exactement le petit pont des Martinets posé sur la Cléry. Cette petite rivière qui coule tranquillement dans l’Yonne et dans le Loiret est un affluent du Loing et sous-affluent de la Seine. En 1900 la ville de Ferrières compte 1675 habitants administrés par le maire Mr Daujean. Située à 13 kilomètres de Montargis et 108 km de Paris la ville à cette époque est une charmante ville avec de très nombreux commerces et artisans, voici juste quelques noms parmi des dizaines qui ont fait vivre cette ville. Mr Beauvais le Bouchers, Mr Bajard l’épicier, Mr Gourder le Marchand de beurre et oeufs, Mr Bajou le Charron, Mr Leboucq le Boulanger et Mr Amiot le Cafetier.

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Chelles – Les surprises de la pêche à la ligne

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Chelles – Les surprises de la pêche à la ligne -Cliquez sur la carte pour l’agrandir et en voir tous les détails

Chelles – Les surprises de la pêche à la ligne
éditeur Boudot – Dos séparé 
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La pêche, il y a bien longtemps que je n’ai pas fait une vraie partie de pêche à la ligne. je me rappelle encore de ces petits matins ou mon père me réveillait à 5 heures pour se préparer à partir la journée entière à la pêche. Bien souvent on arrivait au bord de l’eau et on voyait le soleil se lever et les premiers rayons du jour se refléter sur l’étang, c’était le bon moment pour sortir nos cannes et monter nos lignes. C’est la meilleure heure de la pêche me répétait papa, en positionnant méticuleusement son pliant en toile orange et s’asseyant dessus pour au moins 8 heures. Le premier poisson arrivait rapidement et on sortait la bourriche de son sac, et oui il ne fallait jamais mettre la bourriche à l’eau avant le premier poisson, de peur que cela porte la guigne… Elle était chouette cette époque …!
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